Julie, partie 04

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Elle commença dans un premier temps à poser normalement pour moi, toujours à califourchon sur moi. Elle remuait légèrement son bassin afin de déceler un début d'érection à travers mon jean, sans succès jusque-là, mais sentir ce petit cul remuer aussi bien sur moi était vraiment très engageant. Elle ne tarderait pas à sentir mon sexe se gonfler si elle poursuivait sur cette voie.

Je flattais Julie à chaque nouvelle pose, sincèrement charmé par sa beauté pure et la sensualité flagrante avec laquelle elle utilisait son corps face à l'objectif. Comme elle l'avait elle-même révélé, elle passait beaucoup de temps à prendre des nudes.

Comme elle ne pouvait pas jouer avec son décolleté avec un tel haut, elle pivota toujours sur moi pour m'offrir son dos nu à shooter, tout comme son petit cul ultra moulé dans son slim. Avec cette pose je l'imaginais sans problème, entièrement nue, chevauchant mon sexe en se tenant fermement à mes genoux, claquant de plus en plus fort ces fesses incroyables sur mon bassin. L'alcool et le désir commençaient à ravager mon esprit déjà bien enivré, je le sentais, je n'allais pas tarder à bander. Julie avait ramené ses cheveux devant elle pour libérer son dos ; elle m'offrait sa nuque et sa silhouette délicate à shooter. Clic ! Clic !

— Putain... ai-je soupiré.

Julie tourna légèrement la tête pour regarder mon expression.

— T'aimes bien ? demanda-t-elle dans un murmure presque félin.

— Ça va commencer à m'exciter tout ça... Entre ton dos, et là tes fesses à deux centimètres de mes mains... Aie aie aie.

En entendant ça, Julie lâcha un petit rire amusé et remua son petit cul de plus belle sur mon bassin. Je commençais à avoir vraiment chaud, et je me risquai à poser ma main sur sa hanche gauche. Julie réagit en cambrant son cul encore plus et en expirant profondément tandis qu'elle avançait son corps pour que ses fesses se retrouvent juste au-dessus de ma bite qui commençait à s'allonger et durcir face à ce spectacle envoutant. En réponse à cette douce sensation, ma main descendit de sa hanche pour se poser tout doucement sur ce cul rebondi. Julie se pencha légèrement pour bomber son cul encore plus et offrir à ma main la pleine surface de ce jean serré. Clic ! J'avais pris une nouvelle photo.

— Hummm... Coquin ! , me susurra Julie.

Elle remuait son corps de plus en plus contre ma queue qui était dorénavant totalement dure. À cette dance improvisée, Julie y ajouta un petit effeuillage. Elle fit tomber le côté droit de son dos nu pour découvrir son épaule. Clic !

Julie se retourna une nouvelle fois pour revenir face à moi. Son haut tombait du côté droit, et alors que le côté pile dévoilait une épaule blanche et fine, le côté face offrait à mon regard affamé un aperçu des lignes généreuses d'une jeune poitrine ferme au téton gonflé. Clic !

— T'es tellement canon, ai-je lâché. Tes seins c'est un truc de ouf...

Ma main glissa de ses hanches jusqu'à la base de ses seins. J'avais envie de la palper, de sentir sa peau, goûter son nectar. Elle s'empara de ma main et la plaqua sur son sein droit, toujours couvert par son haut. Clic ! L'objectif de mon téléphone devenait un sextoy. À travers lui nous commencions nos préliminaires. Il était nos caresses, nos léchouilles, nos mains baladeuses. Je remontais ma main jusqu'à sa joue, elle était si belle. Julie prit une nouvelle fois ma main et se mit à sucer mon pouce en me regardant droit dans les yeux. Elle voulait me baiser. Je braquais mon objectif en direction de son visage, alors elle fixa directement l'appareil de son plus beau regard de cochonne. Clic !

Je me redressai, je ne pouvais plus résister. J'embrassai Julie, délicatement, au début, puis lorsque je sentis sa langue s'enfoncer dans ma bouche pour s'entortiller autour de la mienne – de langue – mon baiser fut bien plus passionné. Lorsque nos bouches se séparèrent enfin et que nos yeux se croisèrent à nouveau, ma main glissa sur l'épaule gauche de son haut afin de la découvrir et faire tomber une bonne fois pour toute ce voile qui séparait son corps divin de mon regard gourmand. Le haut glissa silencieusement le long de ses seins, et tomba jusqu'à son bassin une fois ses sublimes tétons rosés franchis. Je repris ma position sur le canapé afin d'avoir le recul nécessaire pour admirer un tel chef d'œuvre de la nature. Bon sang, quelle silhouette incroyable. Julie était la représentation parfaite, en chair et en os, des dessins fantasmatiques d'un jeune ado gavé aux mangas et aux comics. Et elle se tenait là, assise sur moi, à moitié nue, les seins chauds et gonflés, le corps bouillonnant d'excitation. Cette excitation féminine qui vole dans l'air comme une gigantesque ligne de coke. Et j'étais un putain de junky. Clic !

Julie passa ses mains sur sa poitrine, comme un geste instinctif entre un soubresaut pudique et le tic nerveux de s'assurer qu'on se tient sous son meilleur profil lorsque nous n'avons aucun moyen de le vérifier dans l'instant. Je me redressai à nouveau, elle serra ses avant-bras afin de faire bomber une poitrine plus que généreuse. J'y plongeai ma tête sans attendre, mon bras enlaçant sa taille de guêpe. Les petites mains de Julie se posèrent sur mon dos, ses ongles s'enfonçant légèrement dans mes omoplates lorsque ma langue se mit à tourner autour de ses petits tétons.

— J'ai le droit à mon cadeau alors ? me demanda-t-elle dans le creux de l'oreille.

À ces mots je ne dis rien, mais je me relevai d'un bond, soulevant Julie d'un seul bras. Surprise de se faire porter aussi facilement, elle se mit à rire et s'agrippa à mon cou. Sa poitrine s'écrasa contre mon torse, ses cuisses se serrèrent au niveau de ma taille. Mais je n'allais pas l'emmener bien loin, j'emportais Julie sur la plus longue partie du canapé, et la posai délicatement afin qu'elle s'allonge. Je restai là, debout, à contempler cette femme à demi-nue allongée sur mon canapé. Elle me regardait sans rien dire, elle aussi, puis son bras se tendit vers moi, et sa main attrapa ma ceinture. Elle n'avait pas besoin d'en dire plus, et je n'avais pas à prétendre ne rien comprendre à ses intentions. D'un geste autoritaire elle me fit avancer d'un pas vers elle, de sorte qu'elle n'ait pas à tendre le bras ainsi, puis elle tendit l'autre main. Je ne disais rien, ma respiration commençait à se faire plus soutenue, mon ventre se contractait nerveusement à chaque fois que ses doigts me touchaient. Je savais ce qu'elle voulait, alors sans la quitter des yeux je lui confiai mon téléphone qu'elle prit sans relâcher non plus son regard sur moi. J'avais à présent les mains libres, libres de faire ce qu'elle me commanderait.

J'avançai encore d'un pas, mon ombre couvrant légèrement le buste nu de Julie. Je commençais à défaire la ceinture de mon jean, tout doucement, et Julie commença à braquer l'objectif du smartphone vers moi.

Sans me voir, j'imaginais aisément l'image de moi qu'elle était en train de capturer. Une contre-plongée terriblement dominante en clair-obscur mystérieux d'un homme plus vieux qu'elle, en train d'ouvrir son jean pour déballer sa masculinité débordante. En bien des contextes ce cliché pourrait avoir des répercutions terribles, et l'espace d'une seconde j'ai repensé à cette règle que j'enfreignais sans retenu aucune : ne jamais mêler Blaze à ma vie de tous les jours ! Était-ce une bonne idée ? N'étais-je pas en train de faire une énorme connerie ?! La faim était trop grande à ce moment-là, et une petite voix dans ma tête me disait que de toute manière j'avais déjà franchi le point de non-retour, et que, foutu pour foutu, autant se jeter dans la gueule du loup les deux pieds devant.

Mon jean était ouvert, enfin, et on pouvait déjà distinguer la forme de mon érection – tournée vers la droite – à travers mon boxer noir. Les doigts fins de Julie passèrent dessus délicatement pour en jauger l'épaisseur et la longueur. Le contact de ses doigts, même à travers le tissu, me donna un frisson d'excitation inattendu, et ma bite se contracta d'un coup.

— Sors-la...

Je fis glisser mon jean le long de mes cuisses, puis ouvris le boxer sans chichi, ni trop lentement ni trop rapidement. Ma queue remua de haut en bas lorsque je retirai le boxer, et elle cessa d'être plaquée contre ma peau pour libérer toute sa longueur au-dessus de Julie. La belle saisit ma queue à sa base, la pencha légèrement sur la droite pour qu'elle prenne mieux la lumière, et braqua mon smartphone. Clic !

— Alors c'est ce gros machin qui a du mal à gicler ?

Malgré la sensualité silencieuse qui régnait depuis quelques minutes, Julie n'avait rien perdu de son verbe. En une simple punchline elle avait désacralisé l'instant. La chose était claire, nous ne faisions rien de bien sérieux, tout n'était que par goût du sexe et plaisir du cul. Soit.

— Peut-être que tu seras plus douée que les autres qui sait ?

Jementais totalement. Je disais ça à chaque fois. Julie lâcha mon téléphone. Elles'assit sur le canapé, me tira encore un peu plus vers elle en prenant mon sexecomme un gouvernail, et sans rien dire, posa ses petites lèvres fines sur mongland.

LE JOURNAL DE MAXOù les histoires vivent. Découvrez maintenant