𝐂𝐀 𝐑𝐄𝐒𝐓𝐄 𝐔𝐍 𝐏𝐀𝐑𝐈 || 𝒋𝒂𝒗𝒐𝒏 𝒘𝒂𝒍𝒕𝒐𝒏' 𝒔𝒕𝒐𝒓𝒚

15

—Joder, lo voy a matar. Je dis en m'approchant de lui.

J'entendais Ethan et Maëlys m'appeler au loin, mais je ne l'es écoute pas et prend le bras du premier garçons que je vois.

—Tu veux danser ? je lui demande en tenant son poignet.

—C'est vraiment un question, ou c'est par politesses que tu demande ?

—Je pense pencher un peu plus pour la deuxième réponse.. Mais ça répond pas à ma question.

—Sa serais un honneur,le garçon me répond en faisant une révérence.

Après 5 minute à danser avec lui, avec Javon qui me regardais comme ci j'étais un bébé à surveiller, j'ai appris que le garçon s'appellerait Jordan et qu'il était en 1ère dans un autre lycée de la ville.

Le courant passait bien, voir même un peu trop bien étant donné que Javon prend mon poing et et m'amène dans une pièce.

—Tu joue à quoi la au juste Abby ?

—T'es pas mon père, et encore moin mon grand frère. Donc j'ai pas à te répondre Javon.

—Je suis ton copain, donc ci, tu dois me répondre.

—Non, tu n'es pas mon copain parce que je n'en t'aime pas, et c'est pas parce que tu t'es mon faux petit ami, que je dois t'obéir.

Il souffle avant de se rapprocher de moi.

—Abby j'te jure que si tu a un seul contact avec une personne de sexe masculin, je te tue de mes propres mains.

—De toute façon je savais que t'était glauque. Et puis je m'en fiche, je me dirige vers la porte puis l'ouvre, les filles sont meilleures j'irais sortir avec ta sœur.

Je venais sortir de la pièce et juste imaginer le visage de Javon me donnais envie de rire comme une tarrée.

Et juste voir Jaden ma encore plus donner envie de sourire !

Je suis aller le rejoindre, et on s'est posée à côté de la piscine.

—Abby ? me demande une voix inconnu.

—Oui ? je dit en me retournant vers la voix.

—Javon t'as déjà frapper ??

La partie de moi qui veux faire sa drama queen pour le mettre dans les problèmes...

—Non, pourquoi ?

—Tu as les bras, les cuisses, et le ventre avec des cicatrices ou des brûlures.

—Je ne mutile pas hein ! je leurs dit.

Bien évidemment personne ne me croyait.

—Quand je vivais à L.A, mes voisins avait un chat grognons et moi je passais mon temps à essayer de le prendre je le nourrissait, je prenais soin de lui, mais il m'aimais pas du coup il me griffais mais je revenais quand même..Voilà.

J'ai tellement bégayé..MON DIEU. Ils me croient pas wesh... En plus à cause de la gow y'a un grand troupeau autour de moi.
Sa tête en dirais une cannettes la.

Le monde commençais à s'approcher de moi, et pour être honnête avec vous, je déteste ça.

J'en ai carrément du mal a respirer, on me regarde comme un animal de foire.
Mon crop top qui laissai voir mon ventre m'avait se jour là trahi.

Ma respiration devenais de moins en moins présente. Je voulais juste me noyer.
Ont me touche comme un animal, certain touchais même mes bras qui n'avait pas cicatrisé depuis la soirée.

Je comptais me lever quand soudain un main se levant dans ma direction.
La seule chose à la quel je pouvait penser était de me couvrir la tête.

༆

—Qui t'as autorisé à en prendre ?

—P-personne..

Une claque, un deuxième, un coup de pied, et un coup de poing.

—Pardon ! Je te le je jure, je ne le referais plus !

Ses cris résonne encore dans mes oreilles.

Ce n'est pas normal de vivre un enfer pareil à 5 ans.Il n'en avait que 7, et pourtant il ne défendait toujours.

—He toi ! Qu'est ce que tu regarde !?

—Rien je suis désolé. je lui répondis en quittant je couloir.

Je priais de tout mon cœur pour que le bon Dieu nous tue tout les deux cette nuit.

Je n'en pouvais plus. Ce stress permanent.
Recevoir des coups pour chaque acte que tu feras.

Tout ça parce que t'es parents ne peuvent plus s'occuper de vous.
Le monde est cruel. Mais lui l'était encore plus.

Il prenais du plaisir à nous frapper.
A nous toucher.

Il était horrible.
Et je pris pour qu'il finisse en enfer.
Personne ne mérite se qu'il a fait à mon frère.

༆

...

Je me réveille en sueur. Je ne sais absolument pas quel heure il est, où ce qu'il s'est passer hier soir. Je me lave, m'habille et descends de ma chambre. Je salue ma mère et mon abuela sans demander se qu'il s'était passer la veille.

—Mi hija, me stop mon abuela.

—Oui ?

—Presta atención a ti mismo, elle ne dit en m'envoyant un bisou imaginaire que j'attrape.

—A se soir !

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COUCOU GUYS !!
Vous allez bien ?
Moi j'ai envie de pleurer, parce que j'ai la fin de l'histoire en tête..

Sinon à part sa j'ai mal au jambes parce que de 8H a 15H j'était dehors, debout ☠️

Sinon ce chapitre il est court hein..

Bon je suis crevé donc bonne nuit mvs 💗💗

With my love : K