Chapitre 1 : La rencontre

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Iris

Villa du père d'Iris 

10 h


Bip...

Bip...

Bip...

— Non, pas tout de suite, murmurai-je à moi-même en me relevant sur mon lit.

Une personne toqua à ma porte et ma voix retentit dans ma chambre.

— Entrée, dis-je en levant ma voix pour me faire entendre.

— Bonjour mademoiselle Iris, votre père vous demande dans son bureau. Il m'a demandé de vous dire aussi de vous dépêcher.

D'accord, Luvania, dites-lui que j'arrive, murmurai-je encore dans les vapes.

J'entendis la porte claquée, signe qu'elle était partie. Je me levai en direction de la salle de bain pour me dépêcher.

— Bon, maintenant, je vais mettre quoi, demandai-je en me parlant à moi-même en me dirigeant vers mon armoire en tenant ma serviette qui recouvrait seulement une petite partie de mon corps.

— Je pense opter pour une jupe et un pull blanc, quand dis-tu, Teddy ? En me retournant vers mon nounours qui m'aide à dormir.

Une fois habillé, je sortis de ma chambre en me dirigeant vers le bureau de mon géniteur. Une fois devant, je toquai trois fois pour me faire entendre.

— Entre, Iris. Hurle-t-il.

Et je ne suis pas sourde, comparais à lui.

J'entre dans son bureau et m'assis sur un des sièges devant lui.

— Est-ce que je t'ai dit de t'asseoir, Iris ?

— Non, désolé, papa, murmurai-je en baissant ma tête, le regard dirigé sur mes pieds.

— Bien, tu en as mis du temps à venir, bref, passons, veux-tu ?

Ma tête hocha toute seule.

— Tu vas bientôt avoir 21 ans et je trouve que même avec ta stupidité, tu restes comme même un humain et tu mérites de sortir de cette maison suite à ton bon comportement, j'ai raison ?

Je hoche la tête pour signifier qu'il a raison et pour l'inciter à continuer de parler.

— Et c'est pour ça que j'ai engagé un nouveau garde du corps spécialement pour toi, qui as été entraîné avec son ancien patron avant moi, veux-tu le rencontrer, Iris ?

— Oui, je veux bien, s'il vous plaît.

Au même moment, des frappements de porte se font entendre derrière moi.

— Entre Arès, je t'en prie ! Hurla mon père pour se faire entendre pour le prénommer, Arès.

Je me retourne pour voir le prénommé Arès, la porte s'ouvre au même moment, laissant un homme d'environ 1,80 m ou 85. Ce n'est pas possible, un jeune homme d'approximativement 23 ou 24 ans passe le palier de la porte, je continue de le regarder tant dit que lui ne m'adresse même pas un regard. Il est assez musclé, même beaucoup, laissant presque apercevoir ses muscles à travers ses trois pièces noir et blanc. Des cheveux noirs sombres qui retombent sur son front sensuellement, sa mâchoire serrée. Ses yeux étaient d'un bleu foncé profond. 

Non, Iris, ce n'est pas le moment de s'extasier sur un homme, pas maintenant en tout cas.

La voix de mon géniteur me réveilla instantanément de mes pensées.

— Iris, voici Arès ton nouveau garde du corps. Il sera avec toi 24 heures sur 24 quand tu voudras sortir, il sera avec toi pour garder tes s'arrière, c'est assez clair pour toi ?

— Oui, papa, c'est clair, dis-je en retirant mes iris de ce certain Arès.

— Arès, c'est aussi clair pour toi, j'espère ? Tu vivras ici, une chambre vous sera attribuée dans l'heure qui suit, j'espère que vous feriez correctement votre travail, je n'apprécie pas quand on touche à ce qui m'appartient ?! Est-ce assez clair pour vous Arès.

— Oui, je pense, pour moi, c'est un jeu d'enfant de faire du babysitting, dénonça le fameux Arès avec un léger rictus sur ses lèvres, ce qui dévoila une petite fossette sur sa joue.

— D'accord, Iris, tu peux retourner à tes occupations cette après-midi, tu pourras aller te promener avec ton nouveau garde, tu viendras m'informer quand tu partiras, est-ce clair, Iris ? Dit-il en appuyant sur le « est-ce clair » comme si j'étais une gamine.

— Oui, papa, je t'en informerai quand je déciderai de partir, bonne journée, papa, dis-je en me dirigeant vers la porte de son bureau pour partir manger. 

Une fois sorti, je prends mes talons noirs et les enfile pour descendre manger.

Une fois descendu, je me précipite vers la cuisine pour demander à Luvania si elle pourrait me faire un truc rapide à manger.

— Luvania ?, déclarai-je en la cherchant du regard.

— Oui, mademoiselle, je suis là. Que voulez-vous ? demande-t-elle avec son éternel sourire.

— Pardon, je ne vous ai pas vue. Est-ce possible de faire un petit déjeuner rapidement, s'il vous plaît, dis-je en m'asseyant sur le tabouret du comptoir.

— Bien sûr, mademoiselle, tout ce que vous voudriez.

Un léger rictus apparut sur ma bouche suite à la fin de sa phrase. Une fois avoir mangé, je m'éclipse dans ma chambre pour regarder un film en attendant cette après-midi pour pouvoir sortir de cette forteresse...

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 Je recommence cette réécriture qui était catastrophique. Il se peut qu'il reste des erreurs ainsi que des fautes d'orthographe.

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