Suite à ma phrase, Arès me laisse seul face à mes démons...
Cela va bientôt faire deux semaines que la scène de la salle de bain avec Arès, c'est passé. J'ai passé, c'est deux semaines dans ma chambre, couchée sur mon lit, mes bleus ont disparu, je n'ai pas revu Arès ou mon père et heureusement.
Aujourd'hui, je veux sortir, prendre l'air, le problème, c'est de devoir affronter mon père, et je ne me sens pas encore prête.
Aller Iris ne fait pas ta petite fille va le voir dit lui.
Plus facile à dire cas faire.
Aller quand faut y aller, il faut y aller, après deux semaines. Je décide d'enfin me levée pour me préparer. Une fois lavée et sécher, je me dirige vers mon dressing, je décide de prendre cette fois-ci un pantalon noir avec comme haut une chemise noire que je viens rentrer dans mon pantalon. Pour accompagner cette tenue, je prends des baskets noir full noir pour une fois.
Une fois habillée, coiffer, et maquillée, je prends le chemin de son bureau. Je toque trois fois comme à mon habitude.
- Entre Iris, dépêche-toi, je n'ai pas mon temps. Sa voix était sanglante, à croire que j'ai encore fait quelque chose.
J'entre dans son bureau. Mon père était assis sur son siège, les mains liées et le menton posaient sur le dos de ses mains, je décide de faire quelque pas pour me positionner devant lui, chaque mouvement que je fais il le détaillait.
- Papa... J'aimerais bien pouvoir sortir aujourd'hui s'il te plait. Ma voix était à peine audible.
- Bien sûr Iris, où veux-tu sortir Iris ?
- À vrai dire, je ne sais pas, je ne connais pas les magasins qu'il y a. À vrai dire, je ne mens pas, je ne sais pas les magasins qu'il y a ici.
- Arès pourra t'aider, il connait plutôt bien la ville, il pourra te guider, je l'appelle et vous partez d'accord ?
- D'accord, je peux m'asseoir en l'attendant ?
Seulement un hochement de tête pour signifier qu'il est d'accord. Il prend son téléphone et tapote dessus pour. Je pense dire à Arès de venir rapidement, au bout de quelques minutes des frappements de porte se fit entendre.
-Entre Arès !
Arès rentre dans le bureau de mon père et s'assit directement sur le fauteuil à ma droite, il opte pour une position sûre de lui ainsi que décontracter, les jambes écartaient et les coude posé sur les accoudoirs.
- Bonjours Arès, tu accompagneras ma fille Iris, vu qu'elle ne connait pas les magasins qu'il y a dans la ville, j'aimerais que vous rentrez avant la nuit d'accord ?
- Oui, je lui ferais visiter quelques magasins quand part-on ? demanda Arès avec une pointe d'énervement dans sa voix.
- Toute suite si vous le souhaitez, surtout si Iris et prête ?
Les deux visages se tournèrent vers moi, mon père arqua son sourcil et Arès me fixer.
- Oui, je suis prête, on peut y aller. Ma voix était à peine audible.
Arès se lève de sa chaise pour se diriger vers la porte. Je suis son mouvement, pour marcher derrière lui, une fois arriver dans le garage, je me dirige vers ma voiture préférer, une Lamborghini violette, la voix d'Arès me fit lever la tête.
- Rêve, on ne va pas dans ta voiture violette, on va sur une moto, sur ma moto, aller vient poupée.
- Non, je veux monter dans ma voiture connard. Ma voix était un poil plus forte que tout t'a l'heure.
- Non, on monte sur ma moto, tu n'as pas ton mot à dire ok ?
- Ok, mais ne roule pas vite ok ?
- Je ne te promets rien, poupée.
Arès s'installe sur l'avant de la moto alors que moi, je reste devant. Arès me tendit un casque, il m'aida à le mettre, nos regards ne se sont pas séparés, je m'installe derrières lui et me colle correctement pour pas tomber et glisse mes mains autour de sa taille. Ces mains prennent mes poignées pour les glisser sous son pull.
- Pour que tu n'aies pas froid aux mains. Sa voix était douce, presque gentil.
Et maintenant, on part en direction des magasins...
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Bonsoir, chapitre 6 fini ainsi que la réécriture.
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Le Plaisir Divin
RomanceUn coup. Respire et expire. C'est bien tôt fini, Iris respire. Deuxièmes coups. Expire et ne pleure pas. Troisième coups. Trou noir, plus rien. ____________________ Hi, cette histoire contient des scènes violentes ainsi que lemon, j'en suis à ma pre...