𝗖𝗵𝗮𝗽𝗶𝘁𝗿𝗲 𝟱 ▶ 𝗖𝗔𝗠𝗜𝗟𝗢 𝗠𝗔𝗗𝗥𝗜𝗚𝗔𝗟

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Petite précision, lorsqu'une parole est en italique, ça veut dire qu'elle est dans sa langue d'origine. Ça ne change pas grand chose avec l'espagnol mais c'est pour le kiff écoutez !

 Ça ne change pas grand chose avec l'espagnol mais c'est pour le kiff écoutez !

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Lorsqu'Alix s'était réveillée ce jour là, la flamme de l'inspiration l'avait possédé comme un démon et son hôte

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Lorsqu'Alix s'était réveillée ce jour là, la flamme de l'inspiration l'avait possédé comme un démon et son hôte. Elle voulait mettre ses croquis en maquette. Alors elle était sortie dans son atelier pour mettre tout en place.

Le soir de la fête, ses parents avaient enfin consenti à lui autoriser d'aller dans son atelier. Ils étaient conscient qu'elle y passerait la majorité de son temps libre. Malgré le fait que les enfants du village l'apprécie beaucoup, Alix était d'un naturel solitaire, surtout lorsque la passion de la mécanique s'emparait d'elle de la sorte.

Une fois qu'elle avait descendu l'escalier principal, elle avait passé la porte avec un regard brûlant et s'était directement jeter dans la charge. Son établi était assez grand pour toutes ses inventions. Son prototype de bras extensible reposait déjà tranquillement sur un socle, et son équipement l'attendait sur la table principale. Mais cette fois, elle les snoba royalement et attrapa son petit sac et y fourra sa gourde avant d'enlever ses chaussures et de s'emparer de vieilles basket présentes sur une bûche. On faisait avec ce qu'on trouvait pour les présentoirs, okay ?

L'arrière de ses chaussures claquant sur le sol, elle vérifiait tout en marchant qu'elle avait bien sa pince et sa scie dans son sac, et leva les yeux vers les montagnes d'Encanto.

Ouais. Vraiment, le seul point négatif à noter sur la carte de visite c'était que les forêts étaient vachement hautes. Tristesse.

En saluant quelques villageois, elle sortit du village pour commencer son ascension vers les forêts vertes d'Encanto. Ce n'est qu'au bout d'un quart d'heure de marche effrénée qu'elle atteignit enfin quelques grands arbres. Il lui fallait des bonnes branches ; pas minuscules, pas énormes, juste moyennes. Une maquette d'armature d'aile ça ne devait pas être énorme. Elle finit quand même par trouver son bonheur : de belles branches rondes et grises qui appartenaient à un arbre plutôt maigrichon, mais avec un feuillage absolument splendide. La couleur grises indiquait bien que ces branches étaient mortes, et ça rassura la jeune fille qui ne voulait pas se sentir coupable de blesser un arbre aussi beau.

𝘓𝘈 𝘔É𝘊𝘈𝘕𝘐𝘘𝘜𝘌 𝘋𝘜 𝘊𝘖𝘌𝘜𝘙 || 𝗖𝗮𝗺𝗶𝗹𝗼 𝗠𝗮𝗱𝗿𝗶𝗴𝗮𝗹 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant