Un Na'vi [ En Relecture ]

chapitre 1 (corrigé)

Cela faisait au moins cinq heures que nous voyagions à bort de nos ikrans, la fatigue commencait déjà à gagner notre famille mais papa ne voulai pas nous donner la distance qu'il nous restait à parcourir avant notre arriver dans un nouveau clan.

Il n'arrêtait pas de nous répéter que la ou nous nous rendions les na'vis nous accepterions tel que nous étions et qu'ils nous accueillerions comme les leurs. Je voillais bien que maman n'etait pas convaincu par cette affirmation malgré le soin qu'elle mettait à le dicimuler.

Elle n'était vraiment pas douer pour me cacher des choses.

J'ai toujours eu une relation différente avec elle, je pensais que c'etait pour cela qu'elle ne pouvait rien me cacher. A l'inverse,elle lisait dans moi comme dans un livre ouvert.

Je le voillais plus comme un avantage même si parfois ça pouvait se révéler très gênant.

J'observe mon père et je vis l'exigence d'un grand chef dans ses yeux, j'aimerais qu'il soit aussi fier de moi que j'etais fier de lui.

En me tournant légèrement sur ma gauche je pu apercevoir Neteyam, il avait l'air plongé dans un grand dilemme intérieur, Neteyam etait l'aînée de la famille, et j'avais parfois l'impression qu'il abusait du pouvoir que cela lui procurait.

Je ne pensais pas qu'il fasse les choses mal, même si il était beaucoup trop dur avec moi.
Il avait tendance à vouloir tout le temps contrôler mes mouvements et ça me mettais hors de moi quand il rapportait toutes mes erreurs à notre père.

A ma droite se trouvait Kiri, ma sœur, enfin presque, techniquement ce n'était pas vraiment ma sœur, mais je la considèrai comme tel, les Sully l'avaient recueillis quand elle était toute petite, sa mère étant morte. Elle ne connaissait pas son père, cela la dérangeait parfois, je le savais, mais malheureusement, je ne pouvais rien faire pour l'aider.

Maman volait avec Tuk sur son ikran, Tuk c'etait ma petite sœur, la cadette de la famille Sully, et je devais dire que ce rôle lui allait très bien avec ces petites joues rebondit et ses petites dents blanches.

Tuk avait toujours un petit sourire, même si aujourd'hui on penait à le dicerner, quitter la maison l'effrayait beaucoup, comme nous tous d'ailleurs.

Papa prit enfin la parole après plusieurs heures sans parler pour nous annoncer que le voyage touchait enfin à sa fin, mais au lieux de se réjouir, ma famille paraissait encore plus tendu qu'il y avait dix minutes.

"- Ne vous inquiétez pas, je suis sur qu'ils nous accueillerons !" tenta de nous rassurer mon père, mais vu la tête de Kiri ça n'avait pas tellement l'air de marcher.

Moi je ne comprenais pas pourquoi ils étaient tant stressé, papa nous avait dit que tout allait bien se passer, alors pourquoi fallait-il s'inquiéter ?

Je commençais à d'espérer à voir un jour un rivage quand la terre nous apparu sous forme de petites îles, c'était magnifique, le sable était couleur d'or et l'eau si clair ...

Maman entama une descente et elle fut bientôt suivit par papa, moi, Neteyam et Kiri.

Nous atterimes sur le sable doux, une sensation nouvelle pour moi et très agréable.

Peut de temps après notre arrivé des Na'vis d'une couleur un peu plus clair que la notre arrivèrent, j'avais pu noter quelques différences notables entre nos physiques : la couleur, la leur tirait sur un bleu turquoise, même peut être vert pastel, leur queu aussi était beaucoup plus forte que la notre, et puis ils avaient des mains palmés.

"-Je te vois Tonowari, je te vois Ronal." lança mon père

Ce fut drôle de constater qu'un chef aussi réputer que lui dans ma tribut était réduit à des formules de politesse aussi ridicules.