Un Na'vi [ En Relecture ]

chapitre 8 ( corrigé )

L' accident avait eu lieu depuis maintenant deux jours. Mon bras me faisait mal mais je n'osais pas me plaindre par peur d'effrayer ma mère. Quand Ronal lui avait annoncé que ce dernier était cassé, elle avait bien faillit lui mettre une gifle. Elle était beaucoup trop protectrice envers ses enfants, papa avait bien essayé de lui dire mais elle ne voulait rien entendre. Elle était têtu.

Ne pas nager était un vrai calvaire ... Je pensais que ça allait être plus simple. Quand les autres partaient pour une baignade improviser, moi je restais à la maison, souvent seul.

Neteyam essayait de me remonter le moral, mais comment, quand lui partait s'amuser et moi j'étais  bloquer dans cette tente exiguë.

Je lisais un des livres que nous avions ramener du camp Omaticaya quand quelqu'un entra dans la cabane, je ne levais pas les yeux trop absorbé par ma lecture.

"- Bon, tu contes me dire pourquoi tu étais seul en mer ou tu va encore me servir cette excuse bidon que tu as donné à Ronal ? Elle t'as peut être crue mais je ne suis pas dupe. me dit-elle presque colère "

Je n'avais toujours pas trouvé d'excuses assez convaincantes à lui servir, mon cœur battait à cent à l'heure quand mon cerveau réfléchissait à vitesse grand V pour trouvé quelques chose.

Devant mon air effaré et mon mutisme Amelia attendait. Son regard toujours plus suspicieux.

"- Alors ?

- Je te l'ai déjà dit ...

- Mais bien sur ! me coupa-t-elle, tu me prends pour une imbécile ?

- Tu insinues que Ronal est une imbécile ?

- Donc tu avoues que tu lui a mentis ?

- C'est pas ce que j'ai dis, tu le sais très bien ...

- Ce que je sais, c'est que tu mens ! J'en suis sûre alors n'essaye pas de me prendre pour une idiote.

- Je ne te prend pas pour une idiote ! mentis je.

- Essayes d'êtres plus convaincant au moins !"

Il fallait que je trouve une excuse au plus vite ! Mon cerveau était déjà en surchauffe et mon rythme cardiaque ne daignait pas revenir à la normal, ou du moins se calmer.

Amelia me regardais avec insistance, comme si elle cherchait à trouver en moi la vérité que je lui cachais.

"- J'ai tout mon temps ... me menace-t-elle

- Moi aussi. lachais-je"

Elle me lança un regard plein de haine. L'humaine ne me laisserait pas tranquille, alors autant lui dire une partie de la vérité, elle serait peut être contente comme ça.

"- J'avais besoin d'être seul pour réfléchir...

- Réfléchir à quoi ? dit-elle patiemment

- Ça ne te regarde pas !

- Laisse moi en douter !"

Quel était le sens des ses paroles ? Comment devais je l'interpréter ? Bien ou mal ?

"- Ça veut dire quoi "laisse moi en douter" ?"

Elle ne répondit pas à ma question.

"- Je te dis ce que ça veut dire si tu me dis pourquoi tu étais seul en mer !"

Ce marché ne valait pas du tout, mais ma curiosité était piqué à vif, j'eu du mal à ne pas céder à la tentation.

"- OK, tu l'as joues comme ça ! fait-elle avec un air malicieux"