Un Na'vi [ En Relecture ]

chapitre 17

Tsireya, une fois Amelia correctement remise de ses émotions, nous proposa d'aller se promener. J'acceptais et entraînait l'humaine avec moi. Ça lui ferait du bien de se changer un peu les idées. Avec le recul j'aurais pu paraître un peu trop autoritaire, mais je préférais qu'Amelia aille mieux plutôt que de la voir seule dans sa tente à déprimer et à faire une de ces crises d'angoisses dont elle avait le secret.

Je ne remettais pas en question les causes de ces crises, et au contraire j'essayais de les comprendre, mais j'avouai que certain détail m'échappait. L'Amelia que je connaissais ne pouvais souffrir autant, elle était toujours souriante, ne montrais jamais quand elle n'allait pas bien... étais-ce cela qui la faisait sombrer violemment presque chaque soir ?

"- Lo'ak, t'es avec nous ? m'interrogeais Tsireya

- Oui oui ! Bien sur ! Lui dis-je tandis que l'on rejoignais le sentier le plus court en direction de la plage.

- On dirait pas ...

- Si si, je t'assure c'est juste que j'essaye de comprendre ce qu'Amelia ressent... "

Cette dernière a la traine de notre petit groupe ne degnais pas avancer plus vite. Lors du chemin je n'avais pourtant encourager mais elle continuait à traîner des pieds... son humeur était au plus bas et ce me faisait du mal de la voir comme ça... désemparé et moi qui ne pouvait rien faire pour l'aider.

Étais- je vraiment un bon petit copain ? Je n'étais même pas capable de mettre à sa place ...

"- Amelia ?! Tu sais j'essaye de comprendre ce qui ne va pas, mais je ne saisis pas, j'ai l'impression que tu ne me dis pas tout, loin de l'idée de t'obliger à parler, et s'il n'a rien à dire je ne veux pas te traiter de menteuse.... mais tes crises sont beaucoup trop violentes et rapprochées dans le temp pour que tout ça soit normal ... j'aimerais que tu comprenne que dans cette bataille je ne suis pas un ennemi ... Je veux être l'alié qui te permettra de l'emporter... Je ne sais pas comment te le faire comprendre, mais je veux que tu saches que quoi qui se passe entre nous tu pourras toujours venir me voir pour me parler ... je serais toujours là quand toi, tu en auras besoin de moi. Et si un jour tu ne peux plus me voir, je veux que tu saches que je ne forcerait pas, mais s'il te plaît, arrête d'être à la traine et viens nager avec nous, tu as besoin de te changer les idées. Dis à la petite humaine aigris qui se tenait derrière moi, toit cela était sortit dans un seul souffle de tel sorte à ce que je ne pu pas vraiment contrôler mes dire, avoir balancer tout ça devant Tsireya me parut soudain très gênant.

Beaucoup trop gênant.

La Na'vi ne se moquerait sûrement pas de moi, elle est beaucoup trop gentille pour ça, mais elle avait maintenant conscience du lien qui nous unit, Amelia et moi, je pensais qu'elle avait déjà deviné que nous sortions ensemble. Mais je ne savais pas si elle avait bien saisis tout ce que je pouvais ressentire à l'égard de cette fille, qui n'est même pas de la même espèce.

"- Je .... Je ne sais pas quoi te dire Lo'ak ...

- Commence par nous suivre se sera déjà un bon début... argua Tsireya à mon grand étonnement, je ne pensais pas qu'elle allait participer à cette conversation, et je la remerciais de montrer encore un peu plus que ma petite amie n'étais pas seule dans son malheur.

- D'accord, si vous insister tant tous les deux, je suppose que c'est la meilleure chose à faire ?

- Ho que oui ! Lui dis et l'attrapant par la taille et en la soulevant pour la mettre sur mes épaules"

La jeune fille eu beau se démener, mon emprise était bien trop forte sur elle, j'avais beaucoup de force et la serais avec beaucoup trop de conviction pour qu'elle puisse réussir à s'échapper.

C'était dans ce genre de moment que je me rendais compte à qu'elle point elle contais à mes yeux. Elle faisait réellement partie de moi, et depuis peu partie de ma famille.

Je n'avais d'ailleurs par discuter d'elle avec ma mère, et je savais que son avis pesait lourd dans la balance. Si elle ne l'aimait pas, il m'était impossible de rester avec elle indéfiniment. Le fait qu'elle ne soit qu'une humaine nameliorait pas les choses.

Arrivé sur la plage je plongeai avec Amelia toujours sur l'épaule, elle me cria de la lâcher, mais les sons étranglé qu'elle produisait était si mignon que je ne le fis pas.

Tsireya rigola de la voir dans cette situation si étrange, elle qui avait l'habitude d'être écouter. Les gens d'ici ne l'aimaient pas beaucoup, mais avec son air si autoritaire elle était respecter, voir crainte par certain.

Elle vivait dans un monde où personne ne se préoccupait d'elle, mais où elle était très respecter, malgré tous ce qu'avait pu faire sa race.

Je ne comprennais pas le comportement des Na'vi d'ici.

Avec l'aide de Tsireya, Amelia réussi enfin à se défaire de mon emprise, elle me lança alors un de ces regards qui voulaient tout simplement signifier qu'elle avait eu se qu'elle voulait.

Pour la lui remettre les pieds sur terre et lui rappeler que j'étais supérieur à elle je fis mine de la couler. Malheureusement pour moi sa meilleure amie lui vient en aide et sauta sur mon dos pour me faire tomber en arrière.

Toutes les deux rayonnaient d'avoir réussi à me couler, mais je n'avais certainement pas dis mon dernier mot. Tandis qu'elle rigolais toute les deux je plongeais et m'approchais des petites chevilles d'Amelia, je les saisissait et tira de toutes mes forces avant qu'elle n'ai où réagir. Elle coulais donc d'une manière totalement exagéré, mais je devais l'avouer très drôle.

On aurait dit un enfant qui ne savait pas nager.

Tsireya resta cette fois en retrait. Elle préférais observer quelques choses au loin.

"- Hé regarder ! Qu'est ce que c'est ? Nous demanda-t-elle lorsqu'elle pu apercevoir une énorme tache noir dans la mer."

Aucun de nous trois ne savait de quoi il pouvait réellement s'agir, alors elle voulu aller voir de plus prêt, mais le temps que nous nagions vers la tâche difforme, nous nous apercevions que mes parents ainsi que ceux de Tsireya était réuni.

Père se plaçait à côté de maman, Tonowari n'était encore qu'une ta he bleu et nous ne pouvions deviner de Ronal seulement ses cheveux.

En nous rapprochant un peu, nous étions absorbé par l'horreur que nous avions sous les yeux.

Une femelle Tulkun était étendu morte son petit à ses côtés.