Un Na'vi [ En Relecture ]

chapitre 23

Après les retouvailles de notre famille et les larmes qui allaient avec nous partions tous dormir. La journée avait été très longue et difficile pour tout le monde.

J'avais apprit par mon père que Spider allait bien, il était avec Quaritch depuis le début. Mon meilleur ami avait subit pendant plusieurs mois la mauvaise humeur et la toxicité de son père. Je ne savais pas comment il avait pu tenir aussi longtemps sans devenir fous.

Je m'en voulais soudain de ne pas avoir supplier mon père de partir à sa recherche. Cherchant à éviter l'inévitable j'avais fais subir des chauses horribles à mon meilleur et seul vrai ami.

Après avoir somnoler quelques minutes dans les bras d'Amelia je me réveillais en sursaut victime d'un cauchemar.

J'avançais dans la forêt, je ne la connaissais pas et j'étais totalement perdu.

La voix de mon frère me criait de continuer d'avancer.

J'étais totalement paniqué. La voix incessante de mon frère criait toujours plus fort.

Mes pas rapides se transformérent rapidement en petite foulé puis en course.

Je ne savais pas où j'allais ni se que je fuyais.

Je regardais derrière mois et vis des centaines de Spider totalement fous qui me couraient après. Derrière lui un Quaritch de quarante mètres de haut lançait des ordres à son armée de Spider.

Plus je courait plus la forêt devenait sombre, effrayante. J'avais l'impression qu'elle se refermais sur moi.

La panique me fis trébucher et je mafala dans l'herbe humide sur laquelle j'étais en train de courir.

Les Sipders arrivèrent sur moin à une vitesse folle.

Je ne su pas ce qui se passais ensuite et je ne voulais pas le savoir.

Amelia réveiller par mon sursaut et ma respiration très bruillante. Elle ne me demanda pas ce qui n'allait pas, se contenta de passer sa main sur ma nuque pour m'apaiser.

Son contact me calmit. Je la pris dans mes bras et lui embrassait le front légèrement gêné par son masque.

Elle s'était emparée d'un de mes tresses et la faisait passé entre ses doigts, jouant avec.

La faible lumière qui filtrait à travers le tressage de notre tente me permit de voir que presque tout le monde sauf mon père dormait.

Il vit que je n'étais pas endormis et me souris comme pour me signaler que tout allait bien. Mais je voyais dans ces yeux qu'il n'allait pas du tout bien. Il avait du pleurer tout le temps qu'avait durer mon cours sommeil.

Je reposais Amelia sur la couchette où nous étions installé, elle me lança un regard interrogateur mais je ne lui dis rien.

Je me dirigeais vers mon père. Ma mère était endormis. Elle devait avoir aussi pleurer car ses paupières étaient anormalement gonflée.

"- Papa ?

- Oui ?

- Ça va ?"

Il ne me répondit pas, pour la première fois de ma vie, mon père n'avait pas de réponse à ma question.

Une larme devala sa joue encore humide.

Je sentis le regard d'Amelia peser sur nous.

Mon père ne parlait pas mais je sentais qu'il ne voulait pas que je parte. Du certaine manière ma présence l'aidais à tenir le coup. Je ne savais pas comment je pouvais me montrer si courageux alors, que même mes parents, les personnes les plus courageuses que je connaissaient laissaient leur tristesse prendre le dessus.