Pdv extérieur
Tu étais donc dans les bras musclés de cet homme, toujours aussi nue. Il maintenait ta tête contre son cou, tandis que l'autre main était sous ton dos. Il ne regardait pas tes seins et ne te faisait pas d'attouchements sexuels ou autres, juste un gros câlin. Tu pensais qu'il était en train de s'endormir doucement. Tu ne pouvais pas mentir : si tu n'avais pas été terrifiée, tu te serais endormie dans ses bras sans aucun problème. Mais là, tu avais trop peur qu'il te fasse du mal.
Tu le sentis bouger et te relâcher doucement. Il descendit de ton lit et partit chercher quelque chose. Il revint quelques minutes plus tard avec un grand t-shirt et l'une de tes culottes.
« - Pas que je n'aime pas ton corps, mais je n'ai pas ton autorisation pour le regarder. De toute façon, j'ai eu tout le temps de le voir pendant que tu dormais, » dit-il très perversément. Il te tendit les vêtements et, énervée par ses dires, tu lui arrachas des mains en te dépêchant de t'habiller. L'homme comprit qu'il t'avait énervée et se rassit sur le lit, voulant te reprendre dans ses bras.
Non, je ne veux pas. Pourquoi laisserais-je un pervers qui m'a regardée dormir nue me toucher ? dis-tu, très énervée contre lui. Il soupira.
(T/p), as-tu oublié ce que je t'ai dit ? Tu veux mourir ? Car si c'est le cas, il n'y a aucun problème, je le fais maintenant, menaça-t-il en plaçant doucement sa main autour de ton cou, en serrant un peu sans te faire de mal. Tu avalas ta salive avec difficulté. Il approcha doucement sa cagoule de ton visage et plaqua ses lèvres, toujours cachées sous sa cagoule, contre les tiennes. Tu fus surprise et n'osais pas le repousser. Une fois votre baiser terminé, tu n'en pouvais plus de cette situation et craquas. Tu pleuras fortement, en faisant beaucoup de bruit, mais tu avais trop peur. L'homme, au lieu de s'énerver, te prit dans ses bras.
Chut, chaton, tout va bien. Je suis désolé, je ne voulais pas te faire pleurer. Je voulais juste te montrer que je t'aimais, essayait-il doucement de te rassurer. Tu te laissas doucement mener par lui. Vous vous allongeâtes ensemble, et tu étais donc dans ses bras très musclés, laissant tes larmes couler. Mais une question brûlait tes lèvres.
Comment, comment tu, tu, t'app, t'appelles ? demandas-tu en bégayant et en pleurant. Il embrassa ton front, toujours sans enlever sa cagoule.
Tu peux m'appeler Hoodie, chérie. Moi, je ne te veux aucun mal. Ce n'est pas pour rien que je viens presque te voir tous les soirs, c'est pour vérifier que tu vas bien, pas comme cet idiot qui t'a fait pleurer, annonça doucement l'homme, devenant plus froid en repensant à Hugo. Oui, tu compris vite qu'il parlait de lui. Tu tremblas fortement en entendant parler de lui et de ce qu'il t'avait fait. Il remarqua ta gêne et se dépêcha de te serrer un peu plus fort dans ses bras.
Je suis désolé, mon ange. Je ne voulais pas te rappeler de mauvais souvenirs, mais ça y est, c'est fini. Ce jeune homme ne te fera plus jamais de mal. Je t'aime trop pour laisser quelqu'un te faire du mal. Je t'aime trop pour ça, dit-il avec tant d'amour dans sa voix.
Il te prit dans ses bras et te laissa plein de petits baisers au niveau de ton cou et de ton front. Ses petites attentions durèrent pendant plusieurs heures, et tu finis par t'endormir dans ses bras bien musclés.
Tu te réveillas le lendemain matin avec un affreux mal de tête. En tournant la tête vers la table de nuit, tu y remarquas un grand verre d'eau ainsi qu'un doliprane et un petit papier jaune avec un petit bonhomme tout mignon entouré de petits cœurs. Tu lus le message : « Bonjour, petite chaton, j'ai dû m'en aller car tes colocataires sont rentrées et je ne voulais pas avoir à les tuer si elles me voyaient. Je t'aime très fort, je te revois ce soir, ma douce. »
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Plus personne ne te fera du mal
FanfictionUn yandere Hoodie x Reader qui n'attends plus que vous (je posterai un chapitre tout les mercredis et dimanche)