XVII.

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PDV BAKUGO

Bakugo: Et maintenant? T'es choqué? Je te dégoûte? Évidemment que c'est ça. C'est pas « viril ». Je m'en vais?

Ça y est c'est trop tard, notre amitié va être gâcher et il va me détester.

Kiri: Je te plais?

Pourquoi me demander ça maintenant? Pour me briser encore plus ou quoi?

Bakugo: T'as toujours pas compris?

Kiri: T'es pas évident à cerner...

Bakugo: Évidemment que tu me plais putain Eiji... T'es aveugle ou quoi?

Kiri: Oh...

Maintenant que j'y suis disons que... J'ai plus rien à perdre.

Je le regarder pas jusqu'à maintenant, je me relève et je me place au dessus de lui qui et toujours allongé sur le dos, mes mains sont de chaque côtés de son visage gêné et rouge, son regard est fuyant ses yeux refuse de croisés les miens.

Bakugo: Regarde moi Eijiro.

Kiri: J'y... J'y arrive pas...

Avec une de mes mains j'attrape son visage et le tourne bien face à moi, enfin, il me regarde.

Bakugo: C'est de ta faute! Je cherchais rien, je voulais rien ni personne! Mais t'es arrivé avec ton doux regard et ta gentillesse sans faille...

Il ne trouve pas les mots pour me répondre, j'ai gâché notre amitié...

Bakugo: Maintenant... Maintenant que tu m'as étouffer avec ton putain d'amour ne crois pas t'en sortir si facilement!

Je penche mon visage près du siens et avant même qu'il comprenne quoi que ce soit j'écrase mes lèvres contre les siennes. Mon coeur bat à tout rompre, je m'écouterais je recommencerai encore et encore, mais là, j'ai fais ça pour qu'il réalise une bonne fois pour toute mes sentiments.

Kiri: Katsuki...

Bakugo: Allez je me casse.

J'en ai trop fais, j'ai été trop loin, je peux pas rester ici.

Je me relève je descends à toute vitesse, tant pis je lui rendrais son pyjama à un autre moment, j'enfile mes chaussures et je récupère mon sac de la semaine.

Kiri: KATSUKI ATTEND PUTAIN!

Je réponds pas et je sors, il ne m'a pas suivi et tant mieux.

Dire que je devais dormir chez lui et qu'il allait rencontrer ma mère... Mais c'est sa faute il pose trop de question!

Je suis rentrer chez moi, je n'ai même pas calculé mon père et je suis partie me coucher.

J'ai reçu plusieurs messages de kirishima dans la nuit « Katsuki ? »,  « on doit parler », « répond moi s'il te plaît », « tu peux pas m'embrasser et partir comme un voleur sans tenir compte de ce que je ressens », « tu m'as pas demander si je te plaisais en retour... », « t'es vraiment une tête de mules », « on partage la même chambre tu pourras me fuir que le temps du week-end ».

J'ai pas répondu... Je me braque de nouveau...

Le samedi est passé à toute vitesse, j'ai dormis et je suis pas sortie de ma chambre. Mon père est venu voir si ça allait, bien sûr j'ai dis que c'était rien de grave, ce qui en soit est vrai.

~Dimanche~

Comme chaque dimanche, direction l'hôpital, je déteste de plus en plus cet endroit car je sais que bientôt je n'aurais plus à y aller...

Ce côté de toi. (Kiribaku)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant