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Moi : CATALEYA !

Et quand Assad a entendu le bruit il a couru en notre direction, il était tendu et crispé. Mais il est bizzard, c'est quoi ce gosse que j'ai fais ? Pourquoi il est comme son père ? Pourquoi ?

Il me l'as prise des bras, l'as porté jusqu'à l'intérieur de la maison. Moi je le regardais avec tant d'incompréhension et je les suivais enfaite on les suivais tous. Parce que tu peux pas te disputer comme ça avec une personne et après être au petits soins comme ça avec. C'est pas normal.

J'ai chuchoté à Nahil !

Moi : regarde ton fils, ta photocopie vraiment pareil que toi quand t'avais son âge !

Nahil : orh dégage toi, c'est ton fils aussi

Moi : ouais c'est ça ! occupe toi de lui je m'occupe d'elle

Nahil : eh Nahil le grand frère

Moi : je rigole orh tait toi !

Il rigole aussi et me fais un bisous sur le front. Alala je l'aime ce vieux type.

Yanis : beurk c'est pas le moment ! Faites ça plus tard !

Je lève les yeux au ciel et Nahil lui tape la tête. Bref on continue de suivre Assad jusqu'à sa chambre où il la pose sur son lit, il lui mets sa couverture et il regarde 2 secondes et sort de la chambre crispé comme un fou. Que des fous, comme son père.

J'ai pris sa température, et sa tension elle doit seulement être fatiguée.
1h après elle se lève. Entre temps j'ai appelé, sa mère qui était en Colombie pour 3 mois, pour la prévenir. Je lui ai dit d'appeler sa fille dans la journée

Cataleya : pourquoi je suis là ? Putain.

Moi : attention les vulgarité.

Cataleya : au pardon tata

Elle se re allonge ..

Leya : j'ai trop mal au crâne.. rend fou.

Elle parle comme Assad. Ou peut être que c'est Assad qui parle comme elle ? Ils me fascinent ces deux gosses.

Moi : je sais prend ça.

Elle prend les médicaments et la nourriture. Moi j'étais assise a l'observer, sur la chaise d'Assad.

Elle prit le déjeuner et mangea, elle avait envie de pleuré ça se voit.
Elle cherchait, un truc sous le coussin d'Assad. Elle a sortit un doudou, j'ai fait une tête bizzard, vous allez me faire croire que mon deuxième fils dors avec un doudou ?

Elle a baissé la tête, une première larme elle a essayé de l'essuyer mais une deuxième, puis elle a finit en sanglot.

Oww ma pauvre, l'amour c'est ça. Avec Nahil c'était pareil. Quand t'aimes une personne avec autant de passion, c'est autant d'amour que de peines, autant de rires et de pleures. Tu peux rien y changer. Sois t'acceptes d'aimer tu restes pour essayer de faire vivre la relation jusqu'au bout. Sois tu cherches ailleurs en étant sûr que tu retrouveras jamais cette passion avec quelqu'un.

Assad, l'homme d'une seule boxeuse. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant