Bonne lecture, 💋 !
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Assad le toisait comme un ouf, c'était trop drôle. Il est trop nerveux ce fou là.
Moi : oui Assad ?
Assai : quoi ?
Euh comment ça quoi ?
Moi : pourquoi t'es là ?
Assad : je sais pas j'avais envie de te voir
Moi : ahaha et bas voilà tu m'as vu allé je vais le rejoindre.
J'allais passer pour reprendre l'ascenseur et redescendre pour il m'as bloqué le passage. Son expression faciale était trop drôle. Sourcils froncés au max, mâchoire contracté. Il est trop beau mon petit Marconain Congolais Turc.
Assad : c'est qui lui ?
Moi : qui ?
Oui j'aime bien jouer avec ses nerfs. Déjà j'accepte de lui parler, qu'il s'estime heureux au lieu de bouder tout le temps.
Assad : zeubi ! Le mec là qui viens de descendre
Moi : ah Aymen
Assad : je connais pas son prénom, c'est qui ?
Moi : bas c'est Aymen
Assad : t'es entrain de me tendre tu le sais ou pas ?
Vas-y énerve toi, t'façon il s'énerve tout les jours que Dieu fait donc bon une fois de plus ou une de moins ça change rien.
Moi : sourire en coin j'ai rien fais Assad
Assad : pourquoi il viens te chercher à 18h devant la porte de chez toi ?
Moi : bas parce qu'on sort ensemble !
Il s'est direct tendu, ow peuchere faut pas qu'il s'énerve. Si non il va s'énerver tout les 4 matins avec moi.
Assad : ah .. tiens.
Moh il est trop choux, il m'a tendu une boîte genre une bonne à bijoux. J'ai voulu refuser mais nan enfaite j'ai décidé de la prendre. J'ai ouvert y avait une gourmette en argent, ou y avait écrit « Leya, A ». Moooh, l'amour !! C'est bien il s'est souvenu que je préférais l'argent à l'or.
Moi : merci j'aime trop elle est trop belle.
Je lui attrapé, la mâchoire et je lui ai fais un bisous sur la joue. Et il m'as pris dans ses bras. Bien sûr j'allais pas dire nan à son câlin, je suis faible tout le monde le sais.
Assad : tu m'as manqué de fou
Argh chien. Je lui ai fais un autre bisous sur la joue.
Moi : merci pour le cadeau t'étais obligé Assad.
Assad : c'est rien ça.
Pour une fois il me sort mes des vielles disquettes. Il m'as lâché et il m'as fais un bisous sur le front.
Assad : c'est ton mec ?
