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bonne lecture 💋 !

[...]

5 jours plus tard.

J'étais toujours chez Diego, c'était le jour où je devais retourner chez moi. Eh la peur de ma vie. Je sais pas comment ça va se passer cave mon père.

Mais faut aussi que je passe chez Mathis récupérer mes clés que j'avais oublié et quelques affaire comme mon portefeuille.

Moi et Assad on ne sait plus du tout adressé la parole depuis l'autre jour on se voyait pas enfaite. Du coup on s'est pas parlé .. et c'est mieux comme ça.

Je vais reprendre la boxe en parallèle, mes douleurs ce sont apaisées donc je pense que d'ici 2 ou 3 mois je pourrais reprendre. Je vais porter plainte aussi ..

Bref comme une grosse google je suis partie seule chez Mathis je voulais déranger Assad. Quelle conne !

Je suis donc rentrée, et en entrant dans l'appart ça puait l'alcool, et le shit. Putain mais pourquoi est ce que je suis rentrée ? J'allais ressortir mais il m'as empêché, de sortir.

J'ai pas vu venir le premier coups, comme ça gratuit or que je n'avais rien fait. J'ai pas réfléchis et je lui envoyé une belle droite. Et j'en ai profité pour courir en dehors de l'appart en prenant mes affaires qui était à l'entrée heureusement c'est au rez de chaussée. Putain je l'entendais me suivre, je me suis caché derrière l'arrêt du bus et des buissons .

J'ai appelé Assad. C'est la seule personne qui connaît la situation et qui peux m'aider.

ASSAD

Pourquoi elle m'appelle or qu'elle m'as pas calculé de la semaine ? Putain casse les couilles je voulais pas répondre mais d'instinct j'ai répondu.

Assad : oui Cataleya

Moi : Ass .. ad .. stp... ai..aide moi je .. je vais mourrir.

Elle avait trop l'aie affolé pour que ça soit faux.

Moi : t'es où ?

Leya : je t'avais dit où il habitait viens.

Moi : je suis là dans 10 minutes.

LEYA

Je me suis restée cachée dans le buisson , c'était clairement mieux pour ma vie.

10 minutes, 15 minutes ..

Je sais pas quoi penser .. j'ai peur. Et pourtant je sais pas si je suis dans un rêve ou si je suis bien debout. Ça me casse les couilles toute cette merde, j'avais pas signé pour ça. De base j'étais bien avec mon pote. Qu'est ce que j'ai fait pour mérité toute cette haine. Putain.

Je tremblais quand j'ai senti une main me toucher. J'ai sursauté d'un coup

Assad : t'inquiète c'est moi.

J'ai soufflé un bon coup.

Assad : on y va.

Il m'a pris la main, et on est sorti du buisson je vous passe le chemin. On est retourné chez Diego .. je suis direct allé dans « mon » lit. J'ai pleuré , pleuré, pleuré à chaude larmes comme un bébé. Ça faisait longtemps, mais j'arrivais pas à me calmer .. et j'ai fais une crise d'angoisse encore. J'avais des grosse sueur, je tremblais, en boule dans le lit. Je pleurais, j'arrivais pas trop à respirer et je ne faisait aucun son ... pas de cri, ni de crise d' « hystérie ». 

Assad, l'homme d'une seule boxeuse. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant