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Bonne lecture, 💋 !

[...]

Arrivé devant sa chambre j'osais pas trop entrer j'avoue, ça me stressait de con. Mais la porte s'est ouverte, elle était seule. Giorgia quand elle a vu sa mère elle s'est excitée d'un coup.

Quand je l'ai vu ça m'as fait un truc de fou dans le ventre laissez tomber je savais même pas que je pouvais ressentir ça.

J'ai laissé Kenaya prendre Giorgia, et moi je me suis assis dans un coin. Que je la regardais elle avait l'air d'aller bien et tout. On dirait qu'elle s'était réveillée y'a longtemps.

Elle aussi elle parlait avec les autres mais toutes les 2-3 minutes elle tournait les yeux vers moi. Une cinquantaine de minutes après tout le monde est sorti et nous a laissé seuls.

Leya : vient approche toi t'inquiète je vais pas te manger

Moi : hm

Je lui ai fait un bisous sur le front, je savais pas quoi dire, ni comment réagir.


LEYA

Je suis de retour !!
De ce que j'ai compris, j'ai passé deux semaines dans le coma. Et moi la conne je croyais que je dormais depuis quelques heures. Je me rappelle pas de la soirée où tout ça s'est passé, mais Dieu merci ça se finit bien.

Des que je me suis réveillé en vrai, je crois qu'il y avait Assad dans la chambre mais il l'avait pas remarqué. Donc après j'ai appelé les médecins, ils presque tout expliqué. Il m'ont fait grave des examens et on conclu que je devait faire une opération, mais qu'il me retirait pas toute la thyroïde que la partie que dérangeait. Et du coup j'aurais des controls tous les 2 mois.

Plus tard vers 16h tout mes proches sont arrivés, Kenaya a pleuré. J'étais trop dans le mal pour elle, mais bon. Je cherchais qu'une chose c'était la fille et mon mec. Ils sont arrivés, quelques heures plus tard.

Et vers 17h il ne restait qu'Assad et moi, Giorgia était partie chez ma mère faire la sieste.

Il avait l'air soulagé, et archi fatigué il avait des cernes de dingue sous les yeux. Ça se voyait qu'il avait pas dormit. Il me regardait de loin sans vraiment vouloir s'approcher.

Moi : vient approche toi t'inquiète je vais pas te manger

Assad : hm

Il m'a fait un bisous sur le front, ça se voyait qu'il savait pas quoi faire.

Assad : t'as mal quelque part ?

Moi : un peu à la gorge et à la tête mais ça va et toi ? Pourquoi tu dors pas ?

Il m'as fixé vite fait, et s'est gratté la tête.

Assad : j'arrivais pas à dormir, j'avais peur pour toi.

Il s'était posé sur une chaise à côté de mon lit

Moi : mais ça s'est bien passé non ? Grâce à Dieu

Assad : je t'aime w'Allah, me fait plus jamais ça.

Assad, l'homme d'une seule boxeuse. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant