Sauver Ou Périr Courage Et Dévouement

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Les jours passe, la canicule s'installe, les interventions s'enchaînent pour des coups de chaud, des incendies, des malaises, je ne vois pas beaucoup Emma et ça commence à me faire chier, j'en ai marre de la voir juste pour tirer mon coup, j'ai besoin de passer du temps avec elle, de profiter de la vie avec elle. Mais nos gardes son l'une derrière l'autre.
Après une énième interventions nous nous posons enfin dans la cuisine, une bouteille d'eau en main.

- L'été va être chaud.

- Oui, regarde les incendies il y en a des dizaines déjà.

- Oui, on a de la chance, nous sommes un peu épargner, dis-je.

- Oui, regarde la plupart des feux son d'origine humaine, comment l'homme peut faire ça ?

- Il y a des fous partout.

Je ne comprendrais jamais les hommes qui prennent plaisir à allumer des incendies, et dire que la plupart son des propre pompiers.
Loïc pénètre dans la cuisine, ce prend une bouteille d'eau et se tourne vers nous.

- J'ai reçu un appel de la préfecture, je dois composer une équipe pour partir en renfort en Bretagne.

- Qui part ?

- Ton équipe et la moitié de celle de Pierre.

Emma.

- On part quand ?

- Demain en début d'après-midi.

- D'accord, je vais prévenir mes gars.

- Oui.

Je quitte la pièce, j'attrape mon téléphone et envoie un message à Emma, je préfère qu'elle l'apprenne par moi et non un autre. Je ne reçois pas de réponse, à l'heure qu'il est, elle doit sans doute se préparer pour sa garde.

La notre prend enfin fin, le reste de la journée a été plutôt calme, je ne quitte pas les infos des yeux, les incendies prennent de l'ampleur que ça devient inquiétant.
Emma fini par apparaître, elle me fait signe discrètement de la rejoindre, quelques minutes plus tard je la retrouve dans les vestiaires.
Nos lèvres se scellent tendrement.

- Tu as reçu mon message ? Lui demandais-je.

- Oui, j'était en retard pour venir c'est pour ça que je ne t'es pas répondus.

- C'est pas grave.

- Tu pars quand ?

- Demain, je vais rentrer préparer quelques affaires, puis je reviens préparer quelques trucs ici.

Emma s'approche de moi.

- Fait attention à toi là-bas, je n'aime pas le feux de forêt, m'avoue t-elle.

- Oui, fait attention à toi aussi.

- Qu'est ce que tu veux qu'il m'arrive ici, je suis bien entourer, me répond-elle en souriant.

- Je sais.

Je colle mon front contre le siens.

- Tu vas me manquer, à mon retour j'aimerais qu'on parle tout les deux, tu sait que j'en ai marre qu'on se cache.

- Oui, je sais, on en reparle à ton retour.

- Oui.

Je pose mes lèvres sur les siennes, bordel qu'elles vont me manquer, je fini par sortir et quitter la caserne, je prends le temps de prévenir mes parents, comme je m'y attendait m'a mère est déjà inquiète alors que nous sommes même pas encore parti. J'attrape un sac dans mon placard et y met plusieurs t-shirts, boxers et autre, mes affaires de toilette puis m'arrête chez mes parents pour la rassurer.

- Combien de temps vous y rester ? Me demande ma mère.

- Je ne sais pas encore, je n'est pas encore beaucoup d'informations, je te préviendrais.

- Il y a intérêt, me répond-t-elle en souriant.

Je la regarde en souriant à mon tours. Je fini par retourner à la caserne, enfermer dans le bureau depuis plusieurs heures, je commence à fatiguer, tout est prêt, quand je sort de mon bureau, j'espère voir Emma mais ils ne sont toujours pas revenue de leurs interventions. Je suis déçu.

Le lendemain nous sommes tous réunis, nos affaires dans les camions nous sommes prêt à partir. Le bateaux nous attend déjà pour rejoindre le continent, nous sommes trois casernes à partir.

- Je vous souhaite bon courage, combattez les flammes avec courage, comme vous savez le faire, on se revois très vite, nous dit Loïc.

Je pose mon regards une dernière fois sur Emma, j'aurais voulu l'embrasser, la serrer dans mes bras mais non, je monte dans le camion avec les autres, Lucas côté conducteur, on ne le changera jamais.

Emma

Nous regardons les camions partir, Théo me manque déjà. Notre garde terminer je pars récupérer mes affaires.

- Tout va bien Mlle Fortier ? Me demande Loïc.

- Très bien merci.

- Tout se passe bien dans votre nouvelle équipe où dois-je de nouveau vous en faire changer ?

- Tout allait déjà bien avec la première équipe, je vous remercie de vous souci de moi. Il faudrais peut être penser à engager d'autre femmes je suis sûr que ça apporterais plus à la caserne puis peut être que la porte ouverte à fait germé quelque idées.

- Il n'y aur pas de nouvelle porte ouverte ce n'était qu'une perte de temps.

Je le regarde en souriant.

- Pourtant tout le monde c'est amuser et c'est important pour le groupe non ?

- Votre garde est terminer, rentrée chez vous.

Qu'il est vieux jeux, cet homme ne devrait même pas diriger une caserne, je comprends maintenant d'où vient la mauvaise réputation de la caserne, enfin je le savais d'avant mais maintenant ça se confirme.

Plusieurs jours se sont écouler, jai eu Théo au téléphone qu'une seule fois et que pour quelques minutes, il me dit qu'il va bien mais que c'est compliquer, je n'aime pas le savoir à l'autre bout de la France, je ne pourrais jamais tenir une relations longue distance, je le sait maintenant, après mettre changer  avoir saluer mes collègues, la sirène se met en route, incendie, nous courrons nous mettre en tenue, en moins de dix minutes nous sommes en route.

- Incendies dans un entrepôt,  d'après les gendarmes, dans un coin est stocker des produits inflammable, j'ai demander qu'on me trouve les plans avec l'endroit exact, nous informe Maxime.

Nous arrivons sur les lieux, les flammes  lèche déjà le toit, l'incendie est incroyable, d'où nous sommes nous ressentons la chaleur qu'il émane.

- C'est bon, Arthur, Emma vous allez entrez.

J'avale ma salive difficilement, je haïe le feu. Je ferme ma veste, j'enfile mon casque.

- Ça va aller, me dit Arthur.

- Oui !