La fille de M. Morow

Chapitre 8 :

Le vent frais soulève mes mèches, mes yeux sont rivés dans ses irris tel deux gouttes de sangs, d'une couleur si vive et menaçante, je contracte ma machoir avec un regard de détermination, nous sommes au milieu de nulle part, en forêt, face à face en position de combat, le coin de ses lèvres m'exprime un sourire. Ma respiration est lente et concentré, j'observe son corp musclé, prête à réagir au quart de tour s'il fait un geste menaçant

Puis après quelques secondes, je me dirige d'une rapidité que je ne connaissait pas en moi même, en une demi seconde je lui donne un coup de pied violent qu'il évite de justesse, son sourire redouble

- Tu es plutôt très rapide. Dit-il en guise de remarque.

Je fronçe les sourcils, puis il en une fraction de seconde il disparaît, mon regard se balade autour de moi, quand je me retourne avec brutalité, j'esquive rapidement son attaque, c'était un peu trop prévisible, il m'attaque de derrière comme un débutant, c'est étrange...

Nous nous retrouvons de nouveau en face, avec une distance de 5 mètres, je dois me méfier, il essaie de me déstabiliser avec des tactiques trop classiques, histoire que je le sous estime et baisse ma garde, il me pense si bête que ça?

Puis dans coup il lache son aura d'un violet sombre, elle est menaçante, et d'une puissance qui pourrait faire effondrer un immeuble entier, mais je parie qu'il n'est même pas à 20% de sa force, il est plus dangeureux que je ne le pensais, je ne pourrais pas le battre sans activer mon nen, j'active alors également le mien, mais pas trop, il ne faut pas dévoiler toute sa puissance à son ennemis, utiliser le moins de nen possible, si on pense pouvoir le battre sans tout montrer, c'est ce que mon père m'a enseigné, mon aura couleur rouge sombre se dégage de moi, tout les oiseaux qui étaient perchés dans les arbres, il y à de ça une seconde, s'envolent précipitamment, sentent mon aura se propager dans la forêt.

Des étincelles très lumineuses partent en ma direction, droits sur mon visage, je n'ai pas le temps de les esquiver, je serre les dents, et avec mon bras qui s'est concentré de mon nen, je le passe devant mon visage comme un bouclier, faisant dévier la trajectoires des étincelles, comme un boomerang elles se retournent contre leur propriétaire, qui les attrapent avec sa main, puis elles disparaissent en fumée sombre dans sa paume .
Maintenant c'est plus d'une centaines d'étincelles blanches et beaucoup plus volumineuses et rapide qui fonce sur moi, je sors un grand voile transparent recouvert de mon nen pour faire encore une fois un grand bouclier qui protège mon corp entier, mon bouclier prends l'apparence d'un feu animé, mais les étincelles, font le tour pour m'attaquer dans le dos, je saute pour esquiver même si je sais que j'ai beaucoup de chance de me blesser, une seule arrive à me frôler, je grimace de douleur en retombant sur mes pieds.

L'étincelle est tellement froide qu'elle en est brûlante, à l'endroit où elle m'a frôlé je ressens des picotements insupportable, je reprend doucement mon souffle normal, kakeru à travers ses yeux exprime une étrange émotions, que je n'arrive pas à décrire, ses yeux sont lumineux tel des rayons rouges.

Depuis le début de notre combat je n'ai fais que recevoir ses attaques et les esquivers, il temps que je me défende, je ferme brièvement les yeux et entend la voix de mon père

" 𝘏𝘢𝘺𝘢𝘮𝘪, 𝘴𝘰𝘪𝘵 𝘦𝘧𝘧𝘪𝘤𝘢𝘤𝘦, 𝘭𝘦 𝘱𝘭𝘶𝘴 𝘳𝘢𝘱𝘪𝘥𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘱𝘰𝘴𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦, 𝘱𝘳𝘰𝘱𝘢𝘨𝘦 𝘵𝘰𝘶𝘵𝘦 𝘵𝘢 𝘱𝘶𝘪𝘴𝘴𝘢𝘯𝘤𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘵𝘦𝘴 𝘮𝘦𝘮𝘣𝘳𝘦𝘴, 𝘯'𝘦𝘴𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘱𝘦𝘶𝘳 𝘥𝘦 𝘵𝘰𝘯 𝘢𝘥𝘷𝘦𝘳𝘴𝘢𝘪𝘳𝘦, 𝘥𝘰𝘯𝘯𝘦 𝘭𝘶𝘪 𝘭𝘦 𝘤𝘰𝘶𝘱 𝘲𝘶𝘪 𝘧𝘦𝘳𝘢 𝘣𝘰𝘶𝘨𝘦𝘳 𝘴𝘰𝘯 𝘤𝘦𝘳𝘷𝘦𝘢𝘶 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘴𝘢 𝘣𝘰𝘪𝘵𝘦 𝘤𝘳𝘢̂𝘯𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦, 𝘦𝘵 𝘣𝘳𝘪𝘴𝘦𝘳 𝘴𝘦𝘴 𝘰𝘴 𝘥'𝘶𝘯 𝘴𝘦𝘶𝘭 𝘨𝘦𝘴𝘵𝘦, 𝘥𝘦́𝘮𝘰𝘭𝘪 𝘭𝘦, 𝘵𝘶 𝘦𝘴 𝘶𝘯 𝘮𝘰𝘯𝘴𝘵𝘳𝘦 𝘮𝘢 𝘧𝘪𝘭𝘭𝘦 𝘤𝘩𝘦́𝘳𝘪𝘦~"

Les mots que m'ont dit mon père me donne du courage, mes cheuveux se soulèvent doucement en se transformant en une flame enragés, je sens mes yeux aussi se chauffer, cela dure à peine une seconde, nos visages ne sont qu'à quelques centimètres de distance, son cerveau n'a pas le temps de récevoir cette information, que je lui ai déjà donné un coup de poing entouré de flames noirs, entre les côtes, le temps semble s'être arreté bien que ce temps soit plus court qu'une demi seconde, j'aperçois ses pupilles se rétrécirs, son cerveau à enfin reçu l'information que je l'ai frappé, il est propulsé à quelques mètres de moi, il a bien résisté à mon coup puisqu'il n'est qu'à 10 mètres, en temps normal il aurait été propulsé à des kilomètres plus loin et aurait du mourrir sur le coup.

Il recrache du sang, il semble complètement choqué, il se relève comme si de rien était alors que je devine très bien que ses côtes sont broyés à l'intérieur de lui, il me sourit ce qui me surprend de plus belle, ont dirait qu'il la presque rien, il essuie avec sa manche le sang qu'il a sur les lèvres, il se comporte tellement bien que ça en est effrayant, qui est ce garçon...?

- Ah...ça fais mal. Murmure t-il.

Je fronçe les sourcils et le toise remplis par la méfiance, je m'apprete à lui donner donner un autre coup, mais la sonnerie de mon téléphone m'oblige à m'arreter, je le sort de la poche et en baissant mes yeux d'or sur l'écran, ce cis s'agrandissent de stupeur.

"Apelle de papa"

À suivre...

Fin du chapitre 8 .