chapitre 4

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Ça fait désormais quatres jours que je suis dans ma chambre à me morfondre, ma mère ne sais plus quoi faire, et je dois aller à l'école demain...

Maman : aller debout, la vie continue, malgré tout ça..

Je dis "Non" pour qu'elle me laisse tranquille.

Maman : aller tu a 19ans respecte toi un peu, en dirait une gamine.

Moi : merci maman, ça m'aide beaucoup.

Mais elle a raison, en dirait une gamine, sur ce coup elle a gagner.

Elle partie, mais laissa ouvert la porte, ce que je déteste.

Je prend mon téléphone et regarde le fond d'écran, donc Billie eilish, mais qui es tu vraiment.

Je me lève m'habille et décide d'appeler mon groupe d'amie.

"Appelle téléphonique"
Moi : On se rejoint à la cabane, ok ?
Robin, Steve, Mia, Noah et Chelsea : il y a une fête chez James viens ce soir ?
Moi : OK, on se retrouve la bas.
Je raccroche et je part me préparer même si il n'est que 13h, je descend les escalier, et ma mère et toujours sur le canapé.

Maman : enfin tu es sortie de ton lit.

Elle rigole, mais moi ça ne me fait pas rire.

Moi : je sort ce soir, il y a une fêtes chez James.

Maman : super, amuse toi bien.

Je partie à 16h le temps que je fasse la route, il était 16h30 mais ce n'ai pas grave, je suis juste un peu en avance, je suis devant chez lui en voiture, mais je décide d'aller me chercher une glace avant car je suis trop en avance, je sort de ma voiture, et je marche vers le marchand de glace.

Marchand : que puis-je faire pour vous ?

Moi : est ce que je pourrai avoir une glace à la vanille et au chocolat.

J'ai des goûts très basiques on me le dit souvent.

Marchand : bien sûr.

Il fessât ma glace, et me la donne.

Marchand : ça fera 2€, mais vu que vous êtes sexy dans cette robe ça vous fait 1€.

Surpris je donne 2€ et je part, mais j'entends une voix familière.

La voix : comment vous traiter les gens ont vous à mal éduquer ? Ou alors vous êtes juste un gros beauf ?

Je me retourne mais je savait déjà qui c'était, je lâche ma glace et pris la main de Billie et partie avec elle.

Marchand : c'est ça casse toi grosse gouine.

Billie se retourne mais avant qu'elle ne put faire quelque chose mais celui-ci continua.

Marchand : tien ta pute en laisse.

Cette fois je n'ai pas pu la retenir et elle gifla le marchand.

Billie : j'espère que ça fait mal.

Le marchand leva la tête, il a de la rage dans les yeux, il veut la dévorer.

Marchand : qu'est qui te prend la salope, retourne faire le ménage.

Je pris Billie par la main et cette fois on part pour de vrai, j'ouvre la porte de ma voiture, pour que Billie s'assoie, du côté passager, je ferme la porte et ouvre la mienne, puis je m'installe à mon tour à ma place celle du conducteur, j'allume le moteur et je commence à rouler, un blanc s'installe mais je prend la parole.

Moi : pourquoi tu la frapper ?

Billie : pourquoi tu m'as ignorer ?

Moi : je ne t'ai pas ignorer car je t'ai appeler mais tu n'as pas répondu.

Je tourne la tête pour la voir, et elle a l'air surprise, elle fronce les sourcils.

Billie : désolée mon téléphone c'est casser je dois aller le changer.

Moi : je vais à une fête tu veux venir ?

Billie : non, je vais attirée trop de gens.

Elle tourne la tête pour regarder le paysage par la fenêtre.

C'est vrai qu'elle est attirante.

Billie : oui, je sais.

Eh mince j'ai parlé à haute voix, et maintenant je rougie.

Billie : tu aime bien rougir toi ?

Elle rigole, et mou je me concentre sur la route.

Moi : du coup je t'amène où ?

Billie : chez moi, si ça ne te dérange pas.

Moi : non, t'inquiète tu m'as défendue je te dois bien ça.

Nous sommes arrivés chez elle, c'est comme je le penser grand, beau, moderne, mais elle habite aussi à Los Angeles.

Moi : je ne savais pas que tu habitait ici.

Je coupe le moteur, et je tourne la tête pour la voir, elle sourit, ses beaux yeux bleu scintille.

Billie : normal, tu viens de me rencontrer.

Je rougie, je ne sais pas ce qui me prend, mais je perd le contrôle de mon corps.

Billie : je comprend le langage corporelle, Shelby.

Moi : comment tu connais mon prénom ?

Elle fixe mon sent bon qui est accrocher sur le plafond de ma voiture, avec mon prénom dessus.

Billie : très original d'ailleurs, mais j'aime bien.

Moi : contente de le savoir.

Je descende de la voiture pour pouvoir ouvrir la porte du côté de Billie, elle se leva, nos corps était si proche que j'entendais son souffle court, je pourrait même entendre ses battements de cœur, mais je recule par réflexe.

Billie : merci de m'avoir accompagné.

Moi : de rien, c'est normal.

Billie : je t'appelle quand j'aurai mon nouveau téléphone.

Moi : OK, ça marche.

Je remonte dans ma voiture, tandis que billie rentre chez elle.

i love herOù les histoires vivent. Découvrez maintenant