Chapitre 17

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Victor dévisageait Jeanne, ce fut la première fois qu'il remarqua l'éclat de ses yeux verts, la première fois qu'il se rendit compte de sa beauté.

Jeanne était petite, elle ne faisait pas plus d'1m60 et avait de long cheveux châtains.

Il n'arrivait plus à détacher son regard du sien. Quelque chose en elle l'avait soudainement apaisé. Jamais il n'avait osé la regarder de cette façon, et il aimait ce qu'il voyait.

Jeanne : Ne t'acharne pas sur eux comme tu le fais, reprends tes esprits. Il ne pourra sans doute plus jamais remarcher , tu ne crois pas que c'est suffisant ?

Il resserra son étreinte autour de son cou.

Victor : Ne me dis pas ce que je dois faire, c'est moi qui dirige ici, c'est moi qui donne les ordres ! Moi qui ordonne quand et comment doivent se dérouler les choses ! C'est la dernière fois que tu te mets en travers de mon chemin, est-ce que je me suis bien fais comprendre ? Ou veux-tu toi aussi te retrouver prisonnière de cette endroit ?

Jeanne : Je le suis déjà, je t'attendrais dans notre chambre.

Elle partie, et il se retourna vers Daryl qui était toujours inconscient.

Il l'attrapa par le pied et le traîna en-dehors de la pièce.

Rick qui était toujours yeux bandés et prisonnier dans sa cage, se débattait pour qu'on le laisse voir ce qu'il se passait.

Rick : Ou allez-vous ?! Sortez-moi de là !! Ou est le reste de mon clan ?!!

Victor : Patience, ton heure viendra ! Je m'occupe d'abord de ton petit copain et ensuite ce sera ton tour.

Il sortit laissant Rick seul, surveillé par 4 de ses gardes.

****

Victor déposa Daryl sur une table et l'attacha de façon à ce qu'il ne s'échappe pas. Il appela deux de ses hommes, c'était Peter et son frère, John.

John : On s'est occupés du chinois, il est toujours en vie mais pour ce qui est des autres, ils sont enfermés dans la chambre froide.

Peter : On a également trouvé la vieille et le fils de Rick, on les a mit dans la cave enfermés à double tour et surveillés par 4 gardes.

Victor : Parfait, tout se déroule comme je l'avais prévu. Je veux que cette grande gueule de Daryl soit dépecés de ses organes demain à l'aube et que vous les apportiez au professeur. Si jamais ça tourne mal entre temps, je me ferais une joie de vous découper moi-même. C'est clair ?

Peter : Une dernière chose, votre fiancée n'est pas sensé descendre jusqu'ici. Elle va finir par nous causer des ennuies. Elle a beaucoup trop d'emprise sur vous, elle va vous éloigner de votre objectif, vous devriez sans doute songer à l'enfermé à double tour elle aussi.

Victor attrapa un couteau et le planta dans la jambe de Peter.

Victor : Tu ose me manquer de respect, et de me donner des ordres maintenant ? Personne ne me dis quoi faire ni même ma femme ! Il enfonça plus profondément le couteau dans sa jambe.

Elle ne se retrouveras plus jamais enfermée dans l'une de ses pièces, pas une seconde fois ! Elle est ma femme donc vous lui devez le respect. La prochaine fois que tu parles d'elle de cette façon en me disant quoi faire, je te brûlerais vif!

Il retira le couteau de sa jambe et le donna à John.

Victor : Occupe toi de sa blessure, j'ai pas besoin d'hommes handicapés dans mes quartiers. Si demain il boîte, jette le dans la fosse au rôdeurs.

Sur ces mots, il sortit et alla rejoindre Jeanne.

The Walking Dead : Début de la fin (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant