Chapitre 18

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Plus tard dans la nuit

Peter : Putain l'enfoiré ! Il a faillit m'arracher la jambe !

John : T'abuse pas un peu là ? Quelle idée de s'attaquer à sa chère et tendre aussi, tu l'as cherché. Et crois moi, si je dois te livrer aux rôdeurs, je le ferais sans hésitation. J'en ai ras-le-cul de ton comportement. Je ne mettrais pas ma vie en danger pour toi.

Peter : Sympa la solidarité, on est frères je te rappel!

John : Exactement, et c'est toi l'aîné, ce n'est pas à moi de te faire la morale.

Peter : Soit ! Mais autant me jeter dans la fosse tout de suite, c'est pas demain l'a-veille que je serais complètement guéris!

John : Ce n'est pas mon problème.

Pendant que John soignait son frère, Victor descendit accompagné de se douce.

Victor : Tu as de la chance pour aujourd'hui, Jeanne m'a convaincu de te garder en vie, alors présentes lui des excuses et remercie la. Tout de suite !

Celui-ci ne pu s'empêcher de lancer une énième réflexion.

Peter : Tu crois que c'est parce que tu as le pouvoir d'autorité ici que tu peux m'obliger à faire ce que tu veux ? Fous les toi dans l'cul tes excuses, elle est entrain de te détourner de notre but, elle te change et tu ne le remarque même pas. A quoi tu joues? L'amour t'aurait-il aveuglé ?

Victor ne bougea pas d'un pouce suite à ces remarques. Il essaya de contenir sa colère, mais Peter en rajouta et ce fut la fois de trop.

Il se précipita vers un placard remplit de toutes sortes d'armes : Haches, couteaux de bouchers, fusils à pompes, snipers etc.

Il prit la hache sans hésiter, s'avança d'un pas lourd et trancha la tête de Peter d'un coup sec.

Celle-ci atterri dans le lévier. Il y avait du sang partout, le corps de Peter gisait au sol sous les pieds de son jeune frère qui n'avait pas l'aire d'être atteint par l'événement qui venait de se passer sous ses yeux.

Victor : C'est pourtant pas compliqué de présenter des excuses à une femme! Dit-il en s'adressant au corps de Peter.

John nettoie moi ça ! Ce sera les organes de ton frère que l'on donnera au professeur demain. Je vais mettre Daryl dans une chambre.

Il prit Daryl dans ses bras et en allant à l'étage, Jeanne qui avait assistée à toute la scène lui sourit. Il lui rendit son sourire.

***

Victor revint quelque minutes plus tard.

Rick était toujours dans sa cage et n'avait aucune idée de ce qu'il venait de se passer dans la pièce à coté.

Il reconnut la démarche de l'homme qui s'en était prit à Daryl.

Victor ouvrit la cage de Rick et lui retira son bandeau.

Rick : Qu'avez-vous fais à Daryl ? Et le reste de mon groupe ?

Victor : Il va bien, je l'ai mis au repos dans l'une de nos chambres.

Rick : Vos chambres ? Vous voulez-dire vos salle de tortures.

Victor : Non, des chambres, avec des lits et des couvertures. L e reste de ton groupe est dans une chambre froide, je t'y emmène.

Il le souleva et lui attacha les mains. Victor n'étais plus aussi colérique que tout à l'heure. Rick cru même voir son visage changer d'expression, il avait l'air dépasser par tout ça.

Rick : Qui est ce professeur ?I Et il se passe quoi ici ?!

Victor : C'est un chercheur, c'est à cause de lui si vous êtes là. Nous sommes tous prisonnier de cette endroit, y comprit moi. Son passe-temps favoris est d'ouvrir les corps humains encore vivants afin de récupérer les organes vitaux en bon état. Il prétend avoir le remède contre le virus qui s'est propagé dans le monde. On ne peut pas s'enfuir d'ici.

Vous n'avez sans doute pas remarqué mais il y a des caméras partout, il nous observe, il épie nos moindres fais-et-gestes. Un seul faux pas, et vous terminez dans son four après extractions d'organes.

Si je suis encore là c'est uniquement pour Jeanne, je dois l'emmener loin de lui ou il lui refera du mal. Mais pour ça je dois passer pour le soldat obéissant, afin d'éloigner tout soupçons.

Rick : Et votre seule et unique chance de vous en sortir et de lui livrer des gens innocents pour ses recherches scientifiques ? Vous n'avez pas pensé à vous en prendre à lui ? Vous êtes combien d'hommes à ses ordres , une vingtaine? Et vous êtes le chef de se groupe, tous vous craignent, ils vous obéissent tous. Vous n'avez qu'à leur dire de prendre les armes et tout sera réglé !

Victor : Impossible.. vous n'avez aucune idée de l'endroit ou nous sommes.

Rick : Et ou sommes-nous ? On est toujours dans votre domaines avec villas et maisons protégés par des murs épais.

Victor : Détrompez-vous, il n'y pas une once de lumière dans l'endroit ou nous nous trouvons, vous ne reverrez plus jamais la lumière du jour.

The Walking Dead : Début de la fin (Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant