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[Call Of Duty MW2 2022] König X Fem ! Military ! Reader

Qu'il n'y ait pas trop de COD sur Wattpad, c'est de base inacceptable vu le succès du dernier reboot. Mais qu'on ne trouve rien sur ce chaton de 2.10m de haut, c'est blasphématoire. 

TW : L'Allemand vient de DeepL. Je n'ai aucune idée de si c'est juste ou non. Et représentation absolument ratée de l'anxiété sociale. 

"Il te regarde" fit remarquer Soap. 

Tu observas le sergent les sourcils levés. De qui parlait-il ? Johnny hocha la tête vers l'ombre de deux mètres qui t'observait depuis le coin de la salle commune. Ghost se planta à côté de toi, te contemplant de toute sa hauteur. Il te fit sursauter mais ce n'était pas lui dont Johnny parlait. 

- Il te stalke ? grogna Simon de sa voix profonde. 

Tu fis un petit écart sur le côté. Le lieutenant était vraiment effrayant. Il le remarqua et plissa les yeux en attendant ta réponse. 

- Non... tu crachotas après être parvenue à retrouver un cheminement de pensées normal. 

Tu avais beau faire partie de la Task Force 141 mais cela ne rendait pas plus simple de côtoyer la légende Simon Riley. 

- Qu'est-ce que tu penses de König ? poursuivit Soap. 

- Oh... Euh... Je ne sais pas. Je m'entraîne plus souvent avec Calisto ou Roze ces derniers temps. Je ne le connais pas très bien. 

Ghost soupira imperceptiblement sous son masque. 

- Pas dans ce sens-là, sergent T/N. 

Tu fronças les sourcils puis te tournas vers le lieutenant.

- Qu'est-ce que vous vouliez dire, alors ? 

Un sourire se dessina sur le visage de Soap. Tu étais la bleusaille, la nouvelle, la novice envoyée au 141 après quelques actions au Moyen-Orient. Ta fonction était de remplacer Alex pour toute la durée de son absence. Le reste des hommes de la Task Force n'avait pas grand-chose en commun avec toi. Puis il y avait le fait que tu ne venais pas du SAS comme le reste de la team. Même Laswell s'inquiétait du fait de cette différence avec le reste de tes collègues.  Au contraire, c'était KorTac qui te ressemblait plus. C'était un groupe assez jeune, formé après la mort d'Hassan Zyani mais tous les opérateurs sortaient du lot dans leur domaine. Graves et sa Shadow Company feraient tache à côté d'eux quand bien même ils aient plus de moyens financiers. 

Déjà, Horangi avait essayé de t'endetter au poker pour que tu les rejoignes - ironique quand on sait que c'est de cette façon qu'il s'était retrouvé à faire du mercenariat -. Roze faisait figure d'autorité et s'efforçait de rivaliser avec celle plus naturelle de Price. Fender était un homme très expérimenté mais pas si simple à suivre par moments. Tu riais toute seule en te faisant la réflexion que Klaus était un croisement entre un boucher sous crack et le yéti ; ses yeux apparaissaient aussi transparents que de la glace. Hutch avait la sale manière de frimer dès qu'il en avait une toute petit occasion. Declean avait un tempérament de feu, c'était le moins qu'on puisse dire ; presque aussi enflammé que la couleur de sa barbe. "Stiletto" l'Italienne était une femme froide et méthodique qui n'avait de leçon à recevoir de personne sur la notion d'intégrité et qui le montrait. Zero était un gars perpétuellement en colère. Zeus portait des espoirs ainsi que des ambitions qui n'étaient pas les siens. "Oni" n'est pas un homme très bruyant. Aksel n'avait l'air d'être à l'aise que lorsqu'il se trouvait sur un bateau. 

Puis il y avait cet Autrichien : König. 

Tu ne le comprendrais peut-être jamais. Il n'était pas du genre à se faire entendre, au contraire. En fait, König avait tendance à s'effacer assez vite au-delà d'un certain nombre d'opérateurs dans la salle commune ou de musculation. Il n'articulait jamais plus de quelques mots ; au mieux deux phrases. Il n'était pourtant pas du genre discret de ses deux mètres de haut passés. La plupart des portes de la base n'étaient pas assez hautes pour qu'il puisse passer sans se courber. Tu en venais presque à avoir de la peine pour lui. Il devait constamment souffrir des maux de dos ou de cervicales. Les médecins de la base ne disaient rien à son sujet. C'était presque triste de se dire qu'il devait être habitué.