𝙲𝙷𝙰𝙿𝚃𝙴𝚁 𝚃𝚆𝙴𝙽𝚃𝚈 𝚂𝙴𝚅𝙴𝙽

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« Extérieur du QG »

J'étais entrain d'attendre Bucky, il m'a dit qu'il voulait faire une belle arrivée et j'ai hâte de voir ça ! Mais j'ai surtout hâte de savoir ce qu'il a à me dire, cela fait plusieurs jours qu'il veut me parler mais qu'il n'ose pas, seulement, je lui ai fait promettre de tout me dire ce soir.

Devant le portail du QG des Avengers, j'attends, mais il n'arrive toujours pas, je commençais à en avoir marre et je me suis dit qu'il avait peut-être oublier ou que ce n'était pas aussi important pour lui. J'allais rentrer quand j'entendis un bruit de ronronnement, mais pas un ronronnement animal, plutôt mécanique. Je tourne ma tête vers le bruit et qu'elle ne fut pas ma surprise en voyant mon copain arrivait sur une magnifique moto, entièrement noire. Ma bouche reste ouverte, montrant ma stupéfaction, je ne m'y attendais absolument pas ! Mais j'en suis très heureuse !

Je marche vers lui, il descend de la moto et l'éteint, m'attendant à côté. Quand j'arrive à sa hauteur, je prends ses joues entre mes mains et l'embrasse amoureusement, il répond tout de suite à mon baiser, passant ses bras autour de ma taille, il nous fait tourner pour qu'il puisse doucement m'appuyer sur la moto, une de ses mains se balade sur mon corps tandis que les miennes se baladent dans ses cheveux, maintenant court.

Nous nous séparons par manque de souffle, mais nous nous fixons, les yeux remplis de bonheur et d'amour.

Bucky : Si j'avais su que les motos te donner envie de faire ça, j'en aurais pris une avant.

Je rigole doucement et le prends dans mes bras.

Coralie : Comment tu as su ?

Bucky : Que t'aimais les motos ? J'hoche la tête. Ton frère. Il m'a été d'une grande aide si tu veux tout savoir.

Coralie : Tu reste en contact avec mon frère ? M'étonnais je en reculant.

Bucky : Évidemment Poupée.

Je l'embrasse une seconde fois, plus chastement et monte sur la moto.

Coralie : Allez monte Cow-Boy ! Je t'emmène !

Le brun rigole et me fait descendre de la moto.

Bucky : Dans tes rêves, c'est moi qui conduit cette merveille.

Voyant que je commençais à faire la moue, il reprit :

Bucky : Tu ne sais même pas où on va, et ce n'est pas la mienne.

Je monte derrière lui, acquiesçant. Je m'accroche à son torse et le serre contre moi. Il s'assure que je sois bien assise et d'avoir bien mis mon casque avant de démarrer, arriver dans les grandes routes il accélère doucement. Malheureusement quand on arrive en centre-ville il doit ralentir. Pour rigoler et le déstabiliser, à un feu rouge, je m'avance un peu plus vers lui en faisant mine d'essayer de trouver une bonne place, quand je trouve enfin, je caresse son torse et descend vite sur ses cuisses, vérifiant tout de même que personne ne nous regarde. Mes mains sur ses jambes, je les remonte doucement, je l'entends grogner et poser une main sur ma cuisse en se retournant.

Bucky : Tu fais quoi là ?

Coralie : Je m'accroche. Souriais-je.

Il secoue la tête en ricanant tout en serrant un peu plus ma cuisse. Quand ma main arrive sur l'endroit où je voulais, je mets ma main à plat dessus et le caresse doucement. Je vois son torse se soulevait un peu plus vite. Quand le feu passe au vert, il prend une de mes mains et la mets sur son abdomen avant de recommencer à rouler.

Après dix minutes, nous arrivons à l'endroit voulu, James se gare, éteint la moto et descend. Il enlève son casque et me fixe du regard alors que j'enlève tout juste le mien, à mon tour, je le regarde innocemment.

Coralie : C'était super ! J'ai déjà hâte du retour !

Il s'avance dangereusement, je recule jusqu'à me cogner contre le véhicule, il pose ses bras de part et d'autre de ma personne pour les poser derrière moi, m'entourant de tout son corps, enflammant le mien au passage.

Bucky : Réellement ?

Coralie : Pas toi ?

Mon homme me scrute du regard une seconde fois puis vient m'embrasser brutalement, j'y répond de suite avec plaisir, mon corps devenant petit à petit une grande braise.

Il se recule d'un coup et s'en va, je reste debout, et le regarde s'en aller, interloquée.

Bucky : Tu viens ? On doit manger. Me dit-il en se retournant, un sourire au coin des lèvres.

Je grogne et m'avance vers lui, lui prenant la main. Nous étions dans une sorte de parc illuminait de tous les côtés, des fleurs jonchaient le sol et des arbres majestueux nous entourait, c'était magnifique.

Une fois au bon endroit, je vus une tente assez grande.

Coralie : On fait une nuit à la belle étoile ?

James hoche la tête, je souris de toute mes dents et le serre dans mes bras.

Coralie : Par contre j'oublie pas ce que tu viens de me faire !

Je cours vers la tente et m'y enferme. L'intérieur était magnifique, il y avait des guirlandes, un matelas gonflable avec quelques draps, un panier avec de la nourriture, et un sac, sûrement de rechange ou avec quelques affaires pour survivre.

Bucky : Coralie ! Ouvre moi !

Coralie : Non ! J'accepte pas ce que tu m'a fait !

Bucky: Tu m'a fait pire sur la moto !

Coralie : Je vois pas de quoi tu parle ! Rigolais je.

Bucky : Coralie.. Me dit-il, comme s'il allait me gronder.

Je rigole doucement et lui ouvre, il entre vite et m'allonge sur le matelas.

Bucky : Heureusement qu'on va manger, tu n'aurais ma supporter ta torture.

Coralie : Et c'est quoi ?

Bucky : Tu ne le sauras jamais. Sourit-il en s'asseyant tout en prenant le panier.

Coralie : James ! Criais je aussitôt.

Bucky : Qu'est-ce qu'il y a ?

Coralie : Merci..

Il me sourit, sachant de quoi je parlais, et sort tout ce qu'il a préparé, j'en suis même étonné, il y en a pour un régiment ! Nous mangeons dans une bonne ambiance, en se parlant, rigolant et en se câlinant, mais malgré qu'il essayait de le cacher, je voyais bien que quelque chose lui trottait dans la tête.. Serait-ce le fait qu'il devait me parler ? Qu'est-ce qu'il le tracassait autant ?

𝙷𝚊𝚞𝚝 𝙳𝚊𝚗𝚜 𝙻𝚎𝚜 𝙴𝚝𝚘𝚒𝚕𝚎𝚜 𝙳𝚎 𝙼𝚘𝚛𝚊𝚐 | 𝙱.𝙱Où les histoires vivent. Découvrez maintenant