Chapitre 10 - Parents

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J’ai toujours admirée cette femme, sa beauté, son charisme, son intelligence, sa prestance. Elle était l’incarnation de la perfection, et surtout, la mère de l’homme que j’aime.

*********

Cordelia : C’est toi…Lupin… ?

??? : Lupin ? Oh je vois. Tu es sûrement la fille dont s’occupait ma sœur. Cordelia c’est bien ça ? Mon fils m’a parlé de toi. Mon nom est Mitsuri, je suis la mère de Sherlock, ravis de faire ta connaissance.

Mitsuri conserva un large sourire aux lèvres, un sourire d’apparence tendre mais qui dégageait une sorte de froideur qui donna des sueurs froides a Cordelia qui n’arriva pas a répondre. Réo observa la situation et se racla la gorge.

Réo : Madame la Procureur je…

Mitsuri : Réo voyons… tu es un ami de mon fils appelle moi par mon prénom.

Réo : J’en…suis incapable désolé…

Mitsuri : T’imagine pas à quel point tu me vieillie… bref laisse moi entrer voir l’imbécile de fils qui se cache à l’intérieur.

La procureure s’empressa alors de forcer le passage, au point que même Réo ne parvint pas à l’arrêter et entra dans la chambre en hurlant.

Mitsuri : Eh ! Fils ingrat ! Quand est-ce que tu te décidera à me donner des nouvelles ?!

Sherlock et Enola en pleine conversation se devirent complètement raide en entendant la voix de la mère en colère.

Sherlock : M…Maman… ?

Enola : Madame Mitsuri je…

Mitsuri : Oh tu es là aussi Enola. Un instant s’il te plaît ma belle je m’occupe de son cas.

Elle attrapa l’oreille de Sherlock et commença a la tirer assez fort.

Mitsuri : J’ai été mit au courant par des collègues de l’état d’Abi, depuis, je t’apporte à manger tout les jours et toi tu es même pas fichu de sortir de ton bureau pour partager un repas avec ta mère qui se fait du soucis pour toi ?!

Sherlock : Je…Je dois bosser sur mes enquêtes !... C’est pas ma faute…

Mitsuri : Tu n’es pas différent de ton père ! Incapable de comprendre le cœur d’une femme !

Sherlock : Ne me compare pas à lui !

Mitsuri : Ah oui !? Viens par là je vais te donner une bonne leçon tu vas voir !

Elle tira alors Sherlock hors de la chambre, toujours par l’oreille, sous le regard médusé des trois jeunes gens qui regardaient la scène d’un air médusé.

Cordelia : C’est vraiment Sherlock qui se fait recarder comme ça… ? C’est une information intéressante pour la prochaine fois où il me fais chier ça.~

Réo : Disons que… cette femme peut-être encore plus terrifiante que n’importe quel criminel…

Enola : …Elle a toujours été comme ça depuis qu’elle à recueillie Sherlock…
Cordelia : Recueillie ? Alors il…

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