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GIULIA

Sa fait déjà une semaine que j'ai remis les pieds dans la ville de mon enfance, les premiers jours on était inutile, je loge dans un hôtel en Calabre, c'est son territoire, alors autant se jeter directement dans la gueule du loup, depuis mon arrivée je n'ai donné de nouvelles a personne, par apport à mon géniteur, je me dit que si je ne le trouve pas il va finir par venir de lui même à moi, comme il a si bien dit il veut me récupérer.
J'ai loué une voiture à mon nom en arrivant, je suis donc entrain de rouler pour prendre l'air, au bout de dix minute de route j'ai l'impression de reconnaître le quartier dans lequel je roule, je m'arrête donc et sors de la voiture, et quand je lève les yeux sur la maison devant moi, j'ai l'impression que le sol se dérobe sous mes pieds, la maison dans laquelle j'ai passer mes dix premières années est là devant moi, des tas de souvenirs me reviennent en mémoire, et je me mange ça comme un revers en pleine tête, les larmes me monte au yeux rapidement, mes mains tremble tellement fort que mes clé que je tenais tombe au sol, en levant la tête vers la fenêtre du haut, mon souffle se coupe en voyant une silhouette familière, et je suis presque sûr qu'il est là dans cette maison, dans mon enfer, alors je vérifie que mon arme est toujours à l'arrière de mon jeans, et que mes lame sont toujours dans la poche de ma veste, et je m'avance vers la porte d'entrée, j'ai l'impression que tout tangue, j'abaisse la poignée et je fini par rentrer, j'entends des pas en haut, alors je ne cherche pas à faire le tours de la maison je monte directement, arrivé en haut des escaliers je me dirige vers ma chambre, parce que les bruits viennent de la, je pousse la porte qui était entre ouverte, et c'est là que je le vois, il est de dos, son auras enveloppe toute la pièce.

??: tu en n'a mis du temps à venir ici. Commence-t'il alors que sa voix me donne la nausée.
Giulia: je suis là maintenant papa, enfin c'est un grand mot sa te dérange pas si je t'appelle par ton nom ? N'est-ce pas Lorenzo. Claquait-je en contrôlant ma voix tremblante.
Lorenzo: bah voyons je suis ton père quand même, je t'ai engendré non ? Me questionne-t'il en se retournant.

Et quand je tombe dans ses yeux aussi noir que son âme, je replonge dans mes démons du passé, je revois tout se qu'il m'a fait vivre à moi ou même à Esteban, mais malgré ça je sais que mon visage est neutre et fermé, j'ai une trop grosse maîtrise de moi pour ne pas lui montrer que je le crains encore.

Giulia: tu est loin d'être un père. Rétorquai-je en le regardant froidement.
Lorenzo: voyons mia figlia, viens au moins câliner ton vieux père. Lance-t'il avec un regard salace.
(ma fille).
Giulia: tu me dégoûte du plus profond de mon âme, maledetto pervertito. Lui crachait-je a la gueule.(maudit pervers).
Lorenzo: parle moi d'une meilleure façon, tu me doit le respect, c'est grâce à moi que tu ressemble à ça à l'heure d'aujourd'hui, j'ai tout fait pour toi ingrate. Me gueule-t'il dessus soudainement.
Giulia: tu en n'a du culot pauvre con, grâce à toi ? Si je suis comme je suis maintenant c'est grâce à moi et personne d'autre, tout se que tu a fait pour moi c'est ruiné ma vie, et détruire mon innocence, tu a tuer ma mère, et torturer mon frère devant mes yeux, et la haine que je te voue crois moi tu va la sentir passer quand j'arracherai tes yeux pour te les faire manger. Hurlait-je en fessants un pas vers lui.
Lorenzo: je n'ai pas fini de ruiner ta vie petite pute. Lance-t'il.

Je n'ai pas le temps de répondre que je sens une aiguille s'enfoncer dans la peau de mon coup, je me retourne en un quart de seconde, et je tombe sur deux colosse qui me barre la route, mes pied pivote vers cette ordure.

Giulia: c'est quoi cette merde. Lui demandait-je alors que mes paupières commence à se faire lourde.
Lorenzo: bonne nuit mia figlia. Souris-t'il alors que je sombre dans le néant.

Quand je me réveille je suis dans une cellule miteuses, des gouttelettes d'eau tombe du plafond, quand je veux regarder si mon téléphone est toujours caché dans mes chaussures je remarque que mes main sont attaché avec des chaîne au murs.

Giulia: espèce d'enculer détache moi, viens la, je vais t'arracher la langue putain de grosse merde. Hurlait-je a plein poumons.

Je continue à hurler pendant cinq minutes, mais quand j'allais lui re expliquer comment j'allais lui faire bouffer ses coullies, il apparaît enfin devant moi, avec un sourire provocateur, et son même regard salace.

Giulia: détache moi que je te crève une bonne fois pour toute. Lui souriait-je sadiquement.
Lorenzo: le seul moment où je te détacherai sa sera pour t'emmener dans mon lit. Claque-t'il en rigolant.
Giulia: t'est vraiment dégoûtant. Rétorquai-je.

Je le vois se tourner vers un des colosse de tout à l'heure pour lui faire une signe de tête, celui-ci se rapproche de la grille et il l'ouvre, les deux garde rentre, et chacun deux chope un de mes bras, alors que mon père rentre avec une clé, il me détache, j'essaye de lui sauter dessus directement, mes ses deux con me retienne, et je suis encore shooter de sa merde donc tout mes fait et gestes sont lents, je me fait trainé dans une autre salle, avec une chaise au milieu, et plein de câbles, et là je sais se qu'il va m'arriver, il me place sur la chaise, et il me balance ensuite un seau d'eau congelé, je sens deux pince se placer sur chacune de mes épaules, sauf que là il sort son téléphone et il commence a filmé.

Lorenzo: bonjour cher Avengers, comme vous pouvez le voir je suis avec ma magnifique fille, je sais qu'elle vous aimes, et de vous envoyer ça et un des meilleurs moyens de la touchée psychologiquement, alors je vais en même temps m'amuser a aussi la blessé physiquement, et bien sûr vous allez assister à tout ça. Déclare-t'il alors que je commence à remuer sur la chaise.
Giulia: arrête moi cette merde, laisse les en dehors de ça, tu me voulais, et tu m'a maintenant mais laisse les en dehors de ça. M'énervais-je.
Lorenzo: supplie moi et peut être que je verrais à ce moment là. Rigole-t'il en continuant de me filmer.
Giulia: va te faire enculer. Crachai-je rageusement.
Lorenzo: bien.

A peine son mot terminé qu'il abaisse un levier, et que je sens l'électricité me parcourir tout le corps, je sers les dents pour ne pas crier, je lui donnerais pas se plaisir.

Lorenzo: je t'ai dit, supplie moi. Me souris-t'il.
Giulia: vai all'inferno. Répondais-je la mâchoire contractée au maximum. ( va en enfer).

Il augmente de plus en plus le niveau, et j'ai de plus en plus de mal à retenir mes cris.

Lorenzo: j'ai dit supplie moi. Cris-t'il en mettant le niveau au maximum.
Giulia: je t'en supplie arrête, s'il te plaît putain arrête. Hurlait-je de douleur plusieurs longue minutes après.
Lorenzo: tu peut mieux faire, tu sais ce qu'il te reste à faire. Me réponds-t'il.
Giulia: je t'en supplie arrête, je suis désolé papa, excuse moi. Criait-je.

Le courant s'arrête, alors que ma tête retombe en avant de fatigue et de douleurs, mes yeux papillonnent, et avant de m'endormir je l'entend parler.

Lorenzo: il vont adorer la vidéo j'en suis sûr. Se fous-t'il de moi.

I don't want to forget youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant