GIULIA
Il est seize heure trente, j'ai enfin fini l'école, mes camarades se bousculent pour sortir en premiers maîtresse en rigole, moi je prend mon cartable et sort en dernière, devant l'école je cherche maman mais à la place je trouve papa qui me fait signe de monter dans la voiture, se que je fait sans perdre de temps, dans la voiture c'est calme même trop calme, je le vois me jeter quelque regard et je me demande quand est-ce qu'il va me crier dessus, j'attend juste mais sa n'arrive pas.
On arrive très rapidement à la maison, je sors le plus vite possible de la voiture et cours jusqu'à la maison.
Giulia: maman ?! Criant-je en ouvrant la porte.
Papa: elle n'est pas encore rentré. Réponds-t'il a la place de maman en me jetant un regard qui me donne peur.
J'hoche donc la tête et part en direction de ma chambre à l'étage avec la tête baissée vers mes chaussures assez miteuses, par peur de l'énerver.
J'ai eu le temps de rangé ma chambre, faire mes devoirs, et m'ennuyer pendant environ une heure, mais maman n'est pas encore rentré, elle ne rentre jamais tard d'habitude, et en plus Esteban n'est pas à la maison se soir, je suis toute seul avec papa et sa me fait peur, il n'est pas venu me voir depuis tout a l'heure mais je l'entend crier tout seul en bas, je sais qu'il ne va sûrement pas tardé à venir me voir comme il fait a chaque fois qu'il n'y a personne à la maison, et je suis terrifiée.
Il me dit à chaque fois que c'est normal, que c'est se que font l'es papa et leurs fille mais qu'il ne faut surtout pas en parler sinon maman et Esteban mourront, alors je ne dit rien parce que je ne veux pas qu'il meurt.
C'est en entendant les marches des escaliers grincer sous son poids que je sais qu'il arrive, j'ai du mal à respirer, je sens mes yeux devenir humide alors je l'es essuie rapidement parce que il s'énerve plus fort quand il sait que je pleure « pleurer c'est pour les faibles, et les Petrova ne sont pas faibles », c'est la phrase qu'il me dit à chaque fois que je pleure.
Papa: ma puce, dit-il en ouvrant la porte de ma chambre.
Giulia: papa s'il te plaît laisse moi tranquille. Le suppliant-je la voix tremblante.
Papa: je t'en n'ai déjà parlé, maintenant enlève tes habilles et va sur le lit. Cris-t'il
Je sursaute, j'emmène une main tremblante au bas de mon t-shirt en le suppliant des yeux pour qu'il me laisse tranquille se soir, mais il a l'air de s'en foutre, à la place il choppe mes deux poignets et me jette sans ménagement sur mon lit, il m'a lancé tellement fort que le choc m'a empêché de respirer sur le coup, il s'avance au pied de mon lit et monte dessus en me bloquant avec ses genoux de chaque côté de mon corps, je suis pétrifié, je sais se qu'il va m'arriver, et je pris pour que maman arrive à se moment là, mais au lieux de cela je le sens ouvrir mon bouton de pantalon et me l'enlever, c'est à se moment là que je commence à me débattre, j'essaye en vain de m'extirpez de son emprise mais il a beaucoup plus de force que moi, et c'est à se moment là que tout se passe au ralenti pour moi, je le sens me touchée les partit intime, je pleure à en suffoquer en le suppliant de me laisser tranquille mais il s'en fout, à ce moment là je le sens me pénétrer fort, je sens un liquide couler sur mes jambe et je devine que je saigne comme à chaque fois.
Papa: t'aime ça hein? piccola cagnolina. Me dit-t'il en continuant.
Giulia: non non non non.. répétait-je en pleurant.
C'est 15 minute plus tard qu'il sort de moi, je vois ses yeux devenir noir, il remonte son pantalon et commence à me criée dessus.
Papa: tu est une grosse salope. Hurle-t'il en se ruant sur moi.
Je reçois un coup de poing qui me fait tourner la tête, je tombe du lit et il se jette sur moi, il me rues encore une fois de coups, je cris, et pleure, je le supplie de me laisser tranquille, et je ne cesse de m'excuser pour une raison qui m'ai inconnue.
??: Giulia ! Giulia !!
D'un coup tout les bruits cesse, ses coup qui fusent, ses insultes, mes pleures, mes cris, mes excuses, et mes supplications.
Je n'entend plus que cette douce voix qui crie mon nom, j'ai l'impression de sentir mon âme quitter mon corps.
??: Giulia tu n'a pas le droit d'abandonner !
Je suis désolé...
??: GIULIA
