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YELENA

Le corps de Giulia tombe au ralenti dans les bras de Tony, qui l'a rattrape immédiatement, et quand nos regard se croise nous savons que à partir de maintenant c'est une course contre la mort, alors Tony part en courant pendant que je le suis, je crois que les autres vérifie si cette enflure est bien décédé, en réalité à l'heure actuelle je m'en fou, nous arrivons rapidement au voiture que nous avons loué.

Tony: retrouver nous a l'hôpital Riuniti Reggio Calabria. Dit-il rapidement à Wanda qui nous a suivi.

Elle hoche la tête, Tony met Giulia à l'arrière et je monte aussi derrière, je pose sa tête sur mes genoux, et j'ai l'impression de faire un saut dans le temp, sa me rappelle la première fois qu'elle a était blessé, je suis tout autant stressée d'ailleurs, nous arrivons à l'hôpital en même pas cinq minutes, nous sortons rapidement, Tony la reprend et en entrant dans l'hôpital il se met à crier.

Tony: on n'a besoin d'aide, ma fille c'est faites agresser !

Les médecins se rapproche rapidement de nous, un infirmier se ramène avec un lit, et Tony pose Giulia dessus.

Docteur: ils faut que vous restiez ici, nous vous tiendrons au courant de son état le plus vite possible ne vous en faite pas. Dit-il sérieusement.

Nous n'avons pas le temps de répliquer qu'il emmène déjà vers les bloc opératoire.

Je ne compte plus les heures que j'ai passé le cul posé sur cette putain de chaise, les autre sont arrivés depuis un moment déjà, Tony est assis sur la chaise à côté de moi, tandis que Natasha et de l'autre côté, Bucky et assis par terre ses bras sont posés sur ses genoux, Steve et Peter sont sur les chaises en face des nôtres, et Wanda est sortit prendre l'air.
Je suis littéralement entrain de devenir folle, j'arrive plus à tenir en place alors je me lève, et me met à faire les cent pas dans la salle d'attente, alors que Wanda rentre dans l'hôpital.
Après mon centième allé retour je vois le docteur qui a pris en charge Giulia arrivé vers nous, tout le monde se lève en quatrième vitesse alors que je me redresse de toute ma hauteur.

Docteur: écouter nous avons recousu toutes ses plaies, pour ses blessures il faudrait lui mettre de la crème matin, midi et soir, elle est réveillé vous pouvez allé la voir mais pas tous ensemble. Explique-t'il.

Je laisse tout le monde y aller avant moi, je ne sais pas pourquoi je stresse autant de la revoir, mais je ne peu repousser le moment, ils sont tous passé et c'est à moi maintenant, alors avec les mains moites, et mes jambe tremblante je me dirige vers sa chambre, j'amène une main tremblante de stresse à la poignée de la porte, quand je rentre dans la chambre je tombe directement dans son regard, mais se n'ai pas le vide dans ses yeux qui me déstabilise le plus non, se qui me déstabilise c'est sa façon de fermé son visage quand elle voit que c'est moi.

Giulia: qu'est-ce que tu fais ici ? Me questionne-t'elle d'une voix froide.
Yelena: je suis venu voir comment tu allais. Dit-je en déglutissant.

Elle rigole nerveusement et me regarde de travers, et là elle fait quelque chose qui me fait reculer de cinq pas, elle se tourne vers la table à côté d'elle, sa main attrape son téléphone et elle me le lance dessus, j'ai a peine le temps d'esquiver que son téléphone s'écrase contre le mur derrière moi, elle parle ensuite sans me le laisser le temps de parlé.

Giulia: a ton avis tu pense que je vais comment ? Me lance-t'elle.
Yelena: qu'est-ce qui t'arrive là ? Me braquait-je.
Giulia: j'ai juste pas envie de voir t'a gueule. Lance-t'elle avec cette même intonation froide.
Yelena: pardon ? Dit-je en espérant avoir mal entendu.
Giulia: fait pas la debile Yelena tu a très bien compris, tu es la dernière personne que j'ai envie de voir à l'heure actuelle. Rigole-t'elle.

A l'entente de cette phrase mon cœur commence à se fracturer, mais elle ne s'arrête pas là, même en voyant les larmes me monter au yeux.

Giulia: tu croyais quoi ? Que tu étais importante pour moi ? J'en n'ai rien à foutre de toi, pour moi tu est juste la sœur de Natasha et puis c'est tout, alors te crois pas importante, tu pourrais crever que sa me ferait ni chaud ni froid. Termine-t'elle alors que mon cœur tombe à mes pieds.
Yelena: va te faire foutre. Me vexait-je en sortant de sa chambre.

Mes larmes coule dans les couloirs de l'hôpital, et quand je passe devant les autres dans cette état tout le monde se regarde, ma soeur se lève et me court après, alors que de mon côté j'essaye d'essuyer mes larmes, je déteste ressentir autant de faiblesse et de tristesse, une fois sortit de l'hôpital je prend une grande bouffée d'air alors que ma soeur attrape mon bras.

Natasha: qu'est-ce qui sait passer. Me questionne-t'elle inquiète.
Yelena: c'est juste une salope sans cœur, elle aurait dû y rester. Rétorquai-je rapidement.

Mais dès que ses paroles franchissent la barrière de ma bouche je regrette amèrement, ma sœur me regarde sévèrement, mais avec de la tristesse dans le fond de son regard, elle essaye de me forcer à parlé, mais je me braque, c'est beaucoup trop pour moi, alors elle hoche la tête et commence à parler.

Natasha: tu veux pas en parler ? Très bien, je vais lui demander à elle. Dit-elle en partant.

A peine a t'elle franchi les porte que mon dos rejoint le mur et que je me laisse glisser dessus en pleurant, je haï ce sentiment.
Je l'a haï elle.
Je déteste son caractère.
Je déteste son comportement.
Je déteste sa personne.
Mais je déteste encore plus le fait que j'essaye encore de la comprendre.

Je déteste être amoureuse de Giulia Petrova.

I don't want to forget youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant