GIULIA
Je me réveille en sursaut quand je sens de l'eau glacée atterri sur ma tête, mes yeux papillonnent, j'ai mal partout, tout mes membres sont engourdis, j'ai les épaules en feu, et j'ai du mal à respirer.
Mais malgré ça je lève mon regard vers la personne devant moi, et quand je vois que c'est mon géniteur, je lui crache au pied, pris par un excès d'énervement son pied atterri en plein milieu de mon visage, je crache le surplus de sang dans ma bouche à côté de lui en lui rigolant au nez.
Giulia: c'est tout se que tu a ? Le poussait-je a bout.
Lorenzo: tu a assez dormis petite conne. Claque-t'il en me renvoyant sa chaussure dans la gueule.
Giulia: c'est parce que ta présence me fatigue vieux con. Rétorquai-je en lui souriant de toute mes dent teinté de sang maintenant.
Lorenzo: je vais te faire passer l'envie de me répondre ainsi. S'énerve-t'il en enlevant sa ceinture.
Je sais ce qu'il va faire, j'ai subi ça toute mon enfance, je peut le supporter.
Il chope mon bras et me retourne pour que mon dos lui fasse face, il déchire d'un coup sec mon t-shirt, et fait claquer sa ceinture, le bruit du claquement me fait inconsciemment sursauter, mes yeux se clos, et mes dents attrape ma lèvre inférieure, je sens le premier coup arrive, et il prend un plaisir à me taper avec la boucle de ça ceinture, le bout en métal m'écorche la peau à chaque coup reçu, je sens le sang couler le long de mon dos, et moins je cris plus il frappe fort.
Quand j'étais petite il frapper plus fort quand je crier et que je pleurer, maintenant j'ai bien l'impression qu'il préfère quand je cris.
Lorenzo: tu encaisse mieux la douleur apparemment. Rigolé-t'il ent envoyant un coup plus fort que les autres.
Giulia: va te faire foutre. Répondais-je en appuyant sur chaque mots.
Lorenzo: tu a la langue bien pendue ma puce. Dit-il en sortant un couteau. Je ne vais pas te couper la langue tu va en avoir besoin pour autre chose. Termine t'il en me plantant le bras.
Et ceci dure pendant une à deux heure, il me taillade le corps, je ne cris pas, à part des insultes rien ne sort de ma bouche.
Au bout d'un moment il a l'air de se lasser, et une lueur que je connais trop bien se place dans le fond de ses yeux, et pour la première fois depuis des années, la peur s'installe en moi, je suis terrifiée et malheureusement il le remarque alors il me détache, je n'ai plus assez de force pour me débattre alors je le laisse me tirer par le bras jusqu'à une petit chambre il me jette sur le lit et se place en califourchon sur moi, je suis tétanisée.
Il commence à embrasser mon coup, et le lécher grossièrement, de la bile me remonte à la gorge, l'envie de vomir me viens directement, il continue à lécher tout mon corps, et ses doigts passe sous l'élastique de mon jogging, et il fini par passer la barrière de mon sous vêtement, je ferme les yeux, et je pris, je pris de toute mes force pour qu'on me vienne en aide, il rentre un premier doigt en moi, et le deuxième suit, mes larmes coule toute seule, ses doigts rentre et sorte de moi, sa langue lèche tout mon corps, je suis en soutien-gorge et jogging, mais en quelque seconde même pas mon jogging fini au pied du lit, je suis en sous-vêtements devant mon propre père, qui abuse de moi, et cette réalité me tétanise, pour la première fois depuis que je suis arrivé ici j'éclate en sanglots, mon torse se soulève a cause de ma respiration rapide, tout mon corps tremble, je le vois se relever et il commence à déboutonner son pantalon, mais avant qu'il puisse totalement le retirer une explosion se fait entendre.
Et je sais, je suis persuadé qu'on a entendu mes prières, on viens me chercher, mais avant que je puisse essayer de me relever mon géniteur met tout son poids sur moi en mettant sa main sur ma bouche, et ses hanche commence des va et viens contre les miennes.
Alors qu'il continue la porte de la pièce explose, je tourne la tête vers celle-ci et mes yeux tombe dans ceux de Yelena, ses yeux sont écarquillés, sa respiration se fait rapide, ses mains se ressert sur l'arme qu'elle tiens visée sur lui et moi.
Yelena: bouge et je t'explose la cervelle tellement rapidement que tu ne pourras même pas prié d'être sauvé. Menace-t'elle avec une voix froide. Ils sont là ! Cris-t'elle en le gardant dans son viseurs.
Elle me jette quelque coup d'œil, et moi ma tête se secoue de droite à gauche, mes larmes ne s'arrête pas, et je vois Natasha arriver en courant, mais quand elle voit la situation dans laquelle je suis son corps stop tout mouvement, les autres Avengers arrive petit à petit, et quand je vois Tony me regarder je pleure encore plus fort, son regard se dirige vers l'enculer au dessus de moi et si un regard pouvait tuer, il serais mort.
Tony: éloigne toi de ma fille avant que j'éclate ton crâne au sol. Lâche-t'il en le regardant froidement.
Lorenzo: ta fille ? Et puis quoi encore ? Rigole-t'il. C'est dommage, je pensais avoir plus de temps pour m'amuser mais apparemment non. Les nargue-t'il.
Ils sont tous les sens au aguets, et moi je suis bloqué en dessous de son corps, alors je fait la seule chose que je peut faire, ma mâchoire s'ouvre et je l'a referme aussi fort que je le peux sur sa main, du sang me gicle au visage, ma tête part en arrière et je tape mon front contre son nez se qu'il le fait reculer, mon premier réflexe une fois que son corps n'encadre plus le miens c'est de reculer le plus loin possible de lui, Natasha s'approche de moi, mais sans que je le veuille mon corps recule, je vois la douleur passé dans ses yeux, mais quand ma peur se dissipe, la colère reviens encore plus forte que toute les autres émotions, alors je relève ma tête et le regarde droit dans les yeux, il se mit à rigoler comme un fous.
Lorenzo: tu a le diable dans tes yeux. Me dit-il en rigolant plus fort.
Giulia: supplie-moi pour ma clémence, débutais-je en le regardant. Admet que tu es toxique, tu m'as empoisonné juste pour un autre dollar dans ta poche, continuait-je en me relevant doucement. Maintenant je suis la violence, je suis la maladie, je n'accepterai pas ton silence, supplie-moi pour mon pardon. Terminait-je en le surplombant de tout ma hauteur.
Et pour la première fois de ma vie, je vois la peur traverser ses pupilles.
Et je me délecte de ça, je me délecte de sa peur, je me rapproche de lui, et une fois arrivé à ses pieds, j'envoie mon pied dans sa bouche, il tombe de tout son poids sur le sol, je me met sur lui et l'enchaîne de coup, la colère m'aveugle, et quand mes yeux se pose sur l'intérieur de sa veste j'y vois un couteau, je l'attrape donc et lui met sous la gorge.
Giulia: je vais te laisser te vider de ton sang, parce que je ne prendrais pas de plaisir à te torturer, un dernier mot? Dit-je en lui souriant telle une psychopathe.
Lorenzo: Esteban est toujours vivant. Rigole-t'il.
Mes yeux s'écarquillent, mais la colère prend le dessus sur le choque, et je lui tranche la gorge d'un geste sec mais lent, je me relève et je regarde la vie quitter petit à petit ses pupilles, je me retourne et baisse la tête en boitants jusqu'à la porte de la chambre, je me place devant Tony, mais je ne pût dire un mot, que je tombe dans le néant.
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Ce chapitre m'a tenue à cœur, il a était très difficile à écrire, ma pauvre petite Giulia.
