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GIULIA

Mon regard reste braqué sur la porte que Yelena viens d'emprunter, je chope la lampe de chevet et la balance contre le mur prise de colère.

Giulia: putain ! M'énervais-je.

Ces paroles tourne en boucle dans ma tête, et comme une claque en pleine gueule la discussion de moi et Natasha en début de semaine me reviens en mémoire.

Yelena a quitter la chambre il y de ça 5 minute, et moi? Je continue à fixé le vide, j'ai l'impression qu'on a aspiré mon âme, je ne ressens plus rien, ou du moins je ne veux plus rien ressentir.
Ma porte s'ouvre, alors je tourne moelleusement ma tête vers celle-ci et j'y découvre Natasha qui me regarde mal.

Natasha: tu a fait quoi encore putain Giulia ! S'énerve-t'elle.
Giulia: j'ai juste dit la vérité. Me braquait-je en tournant la tête.
Natasha: tu a vécu quelque chose de traumatisant, mais sa te donne pas le droit d'être ignoble avec Yelena. Dit-elle en chopant mon menton pour que je la regarde dans les yeux.
Giulia: je m'en tape de ses état d'âme à ta sœur Nat. Dit-je en la fusillant du regard.
Natasha: elle ne t'a rien fait, alors arrête toi, je sais se que tu fait, tu te renferme sur toi même, par peur, tu la blesse en fessant ça et je sais que c'est pas se que tu veux. Réponds-t'elle.
Giulia: je m'en fou totalement de ses émotions je te l'ai déjà dit. M'énervais-je.
Natasha: il faut te laissé le temps de comprendre ta connerie, quand tu comprendra qu'elle ne veut que ton bien peut-être que là tu arrêteras d'être puérile, maintenant promet moi au moins de plus la faire pleurer.
Giulia: je ne comprendrais jamais parce que j'en n'ai rien à foutre, mais si sa te fait plaisir, promis je ne la ferai plus pleurer, et tu sais que je tiens mes promesses, maintenant s'il te plaît laisse moi seul. Répondais-je calmement.

Elle hoche la tête, me fait un bisous sur le front et sort de la chambre.

Sans que je me rende compte mes larmes coule déjà sur mes joues, mes jambe me lâche alors que je tombe au sol, mes bras encercle mes jambes, et je lâche tout se que je garde en moi depuis le début de la semaine, je sanglote telle une enfant qui a perdu sa mère, j'essaye de reprendre mon souffle, je me relève et essuie mes joues, je fait en sorte de laisser aucune trace de ma crises.
Quand je retourne à ma place je sens le regard de quelqu'un sur moi, et quand je tombe dans les yeux de Yelena, je ne l'ai lâche plus, et le reste du trajet nous le passons à se regarder de temps à temps.
Nous arrivons rapidement au État-unis, et je sais que se soir j'ai besoin de décompresser, alors vu qu'il est assez tard je monte rapidement dans ma chambre pour me changer, j'opte pour un jean large bleue, et une chemise noir ouverte jusqu'au début de mon soutien-gorge, je ne me maquille pas et laisse mes cheveux au naturel, je descend et sort sans regarder personne, je monte sur la moto et je conduis jusqu'à la boîte ou j'avais l'habitude d'aller il y a quelque années de ça.
Quand je rentre la musique rentre directement dans mes oreilles, je me dirige rapidement au bar, et à partir de se moment là je perd la notion du temps, j'enchaîne les verres, et quand je regarde autour de moi je remarque une belle brune me regarder longuement, je lui souris et lève mon verre vers en le buvant ensuite cul sec, elle se lève et se dirige vers moi, sa main se pose sur mon épaule pendant qu'elle s'assoit à côté de moi.

??: salut belle brune. Commence-t'elle.
Giulia: bonsoir. Souriais-je en la regardant.
??: qu'elle est ton nom? Me questionne-t'elle.
Giulia: Giulia, retiens le parce que tu va bientôt le gémir. Rigolais-je.
??: enchanté Giulia, je suis Loua, et j'attend que ça belle brune. Dit-elle d'une voix aguicheuse.

I don't want to forget youOù les histoires vivent. Découvrez maintenant