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YELENA
Je suis rentré au complexe depuis 9 jours, j'ai passé une semaine à l'hôpital sans pouvoir rien faire, je pensais que quand j'allais rentrer je pourrais bouger mais j'ai trop rêvé, Giulia m'empêche de bouger elle a peur que mes points saute j'essaye de lui dire que tout va bien mais elle n'écoute rien, et même si je montre que cela me soûle c'est totalement faux j'adore quand elle est au petit soin comme ça avec moi.
je suis actuellement dans mon lit en simple t-shirt ample, la porte de la salle de bain s'ouvre et Giulia sort de celle-ci en serviette, je ne quitte pas du regard son corps qui m'appelle, elle a un corps a se damner putain de merde.
Giulia: tu aime se que tu vois Bella bionda. Me taquine-t'elle.
Yelena: tu peut pas savoir. Lâchai-je sans réfléchir.
Giulia: oh que si parce que tu me fait le même effet principessa. Rétorque-t'elle a s'approchant du lit.
Mes joues se teintes d'une couleur rougeâtre, alors qu'un sourire en coin apparaît sur ses jolies lèvres,
Mon dos est appuyé contre le mur et mes jambe sont étendus devant moi, les genoux droit de Giulia se pose prêt d'une de mes chevilles, ses mains s'appuie de part et d'autres de mes hanches sa tête et donc en face de ma poitrine qui se lève rapidement tellement que ma respiration est saccadée, ses doigts effleure mes hanches se qui m'envoie des frissons dans tout le corps, mes lèvres s'entrouvre à la recherche d'air.
Giulia: tu va bien principessa ? Me demande-t'elle souriante.
Yelena: viens m'embrasser. La suppliait-je presque.
Elle me regarde intensément et ses lèvres rentre en collision avec les miennes, mes mains attrape sauvagement ses cheveux pour la rapprocher de moi se qui fonctionne car je sens sa poitrine se coller à la mienne, ses mains se pose sur mes hanches qu'elle surélève pour que nos bassins rentre en collision, un souffle irrégulier et tremblant sort de ma bouche.
Giulia: je continue ? Me demande-t'elle en remontant doucement ses mains vers mon t-shirt.
Yelena: oui. Dit-je faiblement.
Ses mains passe sous mon haut et rentre en contact avec mes côtes, mon corps entier frisonne au contact de sa peau contre la mienne, sa bouche dévore la mienne, et sa langue caresse doucement mes lèvres dans une demande d'accès que je lui laisse volontiers, nos langues se rejoignent dans une danse sensuel, mes mains descende dans son dos alors qu'elle remonte les sienne la naissance de ma poitrine, elle joue avec mes nerfs en redescendant celle-ci sur le bas de mon haut.
Giulia: je peut ? Murmure-t'elle contre mes lèvres pendant que j'hoche vigoureusement la tête.
Elle rigole doucement et commence à retirer mon t-shirt, mon dos se cambre pour l'aider, me voila à présent seulement en culotte devant la femme que j'aime, et dans la précipitation je me relève pour regoûter à ses lèvres, les mains de ma brune attrape en coupe mes seins et elle appuie dessus pour me recoucher.
Yelena: laisse moi retirer ta serviette s'il te plaît. L'implorais-je.
Giulia: dépêche toi avant que je le fasse moi même. Dit-elle alors que ses yeux sont emplis de désir.
Mes mains chope le haut de la serviette qu'elle avait noué et je tire déçu la laissant totalement nue devant moi, et j'adore se que je vois, mais je n'ai pas le temps d'en profiter plus que sa tête plongé dans mon cou, elle dépose un millième de baiser plus doux les un que les autres, je la sens aspirer ma peaux pour me laisser des trace violette, un léger gémissement passe la barrière de mes lèvres, sa bouche se déplace sur mon buste qu'elle embrasse aussi, et quand elle descend sur mon téton droit et qu'elle le prend en bouche pendant que ses doigts s'occupe du gauche je perds pieds, une de mes mains s'aventure dans son dos que je griffe délicatement pendant que l'autre s'accroche au draps.
Giulia: tu veux que je continue ? Souffle-t'elle sur mon téton humide.
Seule un gémissement lui répond.
Giulia: je veux entendre ta voix Yelena. Me dit-elle en connectant nos yeux ensemble.
Yelena: dépêche toi. Lâchai-je en me cambrant quand ses baisers descendent sur mon ventre.
Elle reste à la barrière de mon dernier
sous-vêtements pendant que ses doigts caresse mes cuisse de haut en bas, j'ai l'impression qu'elle continue cette douce torture pendant encore des heures, et quand elle retire enfin ma culotte un sons libérateurs sors fébrilement de ma bouche, elle attrape ma cheville droite dans sa mains et remonte en embrassant ma jambes mais mon corps entier se crispe en me rappelant les cicatrices que je possède sur mes jambes.
Yelena: arrête elle sont répugnante.
Marmonnait-je pour capter son attention.
Giulia: t'es cicatrices te rende encore plus belle que tu ne l'ai déjà Yelena. Dit-elle en retournant embrasser ma jambe.
Elle s'arrête à chaque cicatrices que je possède, les larmes me monte rapidement au yeux en la voyant embrasser celle-ci je n'ai jamais trouvé mes cicatrices belle, mais là quand la bouche de Giulia se pose dessus je l'ai trouve magnifique.
Giulia: tu est simplement divine principessa. Murmure-t'elle en me regardant.
Elle continue pendant encore quelques minutes à vénérer mon corps, je sens son souffle saccadée quand elle arrive à mon intimité et ma cuisse prend place sur son épaule quand elle plonge sa tête entre mes deux cuisses, un violent gémissement se fait entendre quand elle donne le premier coup de langue, sa mains serpente le long de mon ventre et viens finalement attraper violemment mon seins gauche.
Yelena: putain Giulia. Chuchotait-je en me cambrant.
Je sens se lèvres se retrousser contre mon intimité, et je sens sa deuxième mains s'approcher d'entre mes cuisses, un violent spasme me prend quand elle rentre deux doigts en moi, mes yeux se révulse mes ongles vont griffer abondamment son dos, elle continue comme ça jusqu'au moment où mes jambes se mettent à trembler fortement et que j'atteins le septième ciel, mon corps retombe moelleusement sur le lit, pendant que Giulia remonte sa tête en face de la mienne en se léchant les lèvres, un sourire de fierté prend place sur son visage.
Giulia: te voir jouir est à présent ma vue préféré. Lâche-t'elle fièrement.
Je lui laisse pas le temps d'en placer une de plus que mon bassin percute le siens pour que son corps se retrouve à la place que j'occupai il y a une minute même pas, j'embrasse son corps délicatement en lui laissant des marques, et quand j'arrive entre ses jambes ma langue part à la rencontre de son intimité, un gémissement divin sort d'entre ses lèvres, et nous passons prêt d'une heure a laissé nos corps s'exprimer.
