L'inconnu Derrière Ma Porte

Chapitre VI : Cohabitation forcée et double kidnapping

Hello babies !
N'hésitez pas à me signaler quand il y a des fautes d'orthographe cela pourra m'aider pour la réécriture.
Bonne lecture <3

Ce bleu polaire et ce vert péridot. Je le fixe sans savoir pourquoi mon regard ne veut pas se décoller. C'est quand je ne sens plus sa main sur mon bras que je détourne le regard.

Je commence à marcher pour aller je ne sais où.

Il m'arrête dans ma lancée.

Je ne suis en sécurité nulle part. Alors je retire mon bras de sa main et je continue d'avancer. Il me suit par-derrière.

Brusquement, je me retourne et je lui en colle une. Pour ma défense, j'étais en colère et à bout, rien n'allait dans ma vie ces derniers temps. Fin depuis que je l'avais rencontré.

- Okay, je l'ai mérité celle-là.

Je le regarde perplexe.

- Je ne sais pas qui tu es et encore moins ce que tu fais dans ta vie, mais ne m'approches plus. Tout redevenait correct dans ma vie. Et il a fallu que tu veuilles faire connaissance avec ta voisine de palier. Même pas une journée est tout à dérapé alors décolle-toi de moi je n'ai plus rien à faire ici.

- Tu ne vas pas retourner chez toi, c'est trop dangereux. Tu vas venir avec moi. J'ai une villa sur la côte le temps que tout ça se calme.

- Mais dans tes rêves, je ne reste pas une minute de plus avec toi.

- Okay tu l'auras voulue.

D'un coup, mon corps se fait soulever et transporter jusqu'à la voiture. Je lui donne des coups dans le dos, mais rien à faire, il ne veut pas me lâcher.

- Lâche-moi bordel, je sais me protéger toute seule.

- Ah ouai, c'est pour ça que tu ne me fais pas bouger d'un centimètre ?

- On ne se connaît ni d'Adan ni d'Ève alors lâche moi.

Il ne lâche pas puis je me sens basculé en arrière. Mes fesses rentrent en contact avec un siège.

- Je vais te montrer ton logement pour le mois à venir.

PARDON !

Dites-moi que j'ai mal entendu...

C'est une grosse blague !

Pourquoi aussi longtemps !

Est-ce que je peux considérer que je me suis fait kidnapper pour la deuxième fois ?

Attendez. Ça veut dire que je me suis fait kidnapper d'un kidnappeur. L'ironie de la chose.

J'essaie d'ouvrir la portière, mais rien n'y fais elle est verrouillée. Je préfère garder mes forces au cas où au lieu de m'acharner sur cette porte de malheur.

Alors après dix minutes d'attente dans cette voiture beaucoup trop luxueuse à mon goût. En fait, je ne comprends pas pourquoi un gars aussi riche a fini dans un immeuble aussi miteux.

Mais bon chacun son point de vue après tout.

La portière s'ouvre sur ce voisin que je ne vois plus du tout comme hier soir.

- Tu as faim ? Moi, j'ai faim.

- Non, je veux rentrer chez moi.

- Ça va être compliqué. Mais ce qui est bien, c'est qu'on va pouvoir faire plus ample connaissance.

- Tu peux toujours courir.

- Tu n'es pas d'humeur à ce que je vois.

Je préfère l'ignorer.