Call me your angel

Retour vers la passé (2)

Je suis rentrée chez moi à toute vitesse, les pensées qui m'assaillent me laissent sans répit. La maison est plongée dans un silence presque oppressant. Mais je sais que je suis loin d'être la seule à voir les inconvénients, Aeron aussi ne le supporte pas. Celui-ci sort finalement.

- Angel,tu es de retour ? Le petit déjeuner est dur la table, sers toi.

- Merci. Et toi, où vas-tu ?

- Une mission d’infiltration. Un réseau de trafic de femmes s’etant sur le pays

- Je peux le faire. Je m’exclame enthousiaste

- Hors de question. Tu es peut-être la meilleure mais cette fois, c’est non. Il marqua une pause, cherchant ses mots Je sais que tu ne veux pas en parler, mais jusqu'à quand prevoie tu de continuer ? Contrairement aux autres tu as la possibilité d’arrêter.

- Putain !Putain

- Je t’ai éduqué mieux que ça il me semble. Il sourit face à ma colère peu justifiée.

- Désolé, mais j’en ai assez. Tu vas peut-être pensé que je suis folle mais j’aime ma situation. Ce monde, cette liberté, ces armes, tout. Tout ce danger et cette adrénaline sont devenu mon oxygène.  En plus c’était pour cette vie que tu m’as adopté à la base.

- Je le sais, au début oui. Tu n’étais qu’une recrue, pas différente des autres, aujourd'hui je te considère comme ma fille malgré ta réticence.

Pourquoi revenir sur ce sujet. Pour moi c’est comme parler cent fois d’un problème sachant qu’il n’y a pas de solution. Ce monde me convient et tant que ce passé qui continura m'empoisonner chaque jour.

- Je te considère comme un père, je ne suis juste pas prête à le dire. Tu es tout pour moi, sans toi j’aurais sûrement sans avenir, sans personne vu mon caractère désagréable.

- Ne dis pas ce genre de chose.  Tu as Yun

- C’est pas pareil !

- Les autres doivent juste apprendre à te connaître et que toi tu t’ouvre un tout petit peu. Il mime un petit espace entre ses doigts, le sourire aux lèvres.

- Plus facile à dire qu’à faire

- Essaye d’abord d’accepté cette bourse.

Je lui lançais mon regard le plus froid pour qu’il le comprenne. Il m’agacait à la fin ! Je déteste être forcé et c’est ce qu’il fait

- Bonne chance princesse

Aeron m'embrassa délicatement le front avant de partir. Mon cœur se serra en le regardant s'éloigner. Bien qu'il ne soit pas mon père, il avait toujours été extrêmement gentil avec moi mais là il m'exaspérais. Je pris une profonde inspiration et décidai de suivre son conseil plutôt son ordre en contactant M. Ariez.

- Allo, êtes-vous M.Ariez ?Allo, êtes-vous M. Ariez?

- Oui. Il repond avec une joie que je trouve assez exagéré

- Je suis Angel Fariante, l’etudiante à qui vou avez proposez la bourse. Je desirais savoir si elle etait toujours vaquante et les formalités à remplir pour l’acceptervoulais savoir si la bourse était toujours valide et, si oui, si nous pourrions nous rencontrer pour les formalités.

- Par conséquent, je dois comprendre que vous acceptez ?

- Oui. J confirme malgré l’evidence