Nom:Angel/Profession :Tueuse à gage

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Monsieur Marco regarda fixement Anaïs, son visage rempli d'amour et de détermination. Les invités se tenaient silencieusement, attendant la réponse de la jeune femme. Son regard se posa sur Marco et elle répondit d'une voix claire.

- Oui, je le veux.

Les paroles avaient à peine eu le temps de se dissiper dans l'air lorsque je fit irruption dans la pièce et m’approcha de l'autel. L'assemblée semblait choquée et Marco fit entendre sa voix tellement irritante

- Qui êtes-vous ? Je n'ai pas invité d'invités supplémentaires à notre mariage.

Un sourire diabolique se dessina sur mes lèvres.

- Puisque cela vous intéresse tant, je vais vous le dire. Je suis déçue que vous ne reconnaissiez pas cette chevelure blanche et ces yeux injectés de sang.

L'angoisse grandissait sur son visage preuve qu’il avait fait le lien.

- L'ange de la mort. Murmura t-il

- Bravo, vous avez deviné.

Marco, réalisant qu'il avait affaire à moi considéré comme une personne dangereuse, se tourna vers ses hommes de main

- Jimy, Barnez, fermez les portes.

Alors que la tension montait, je me rapprocha de la porte, un regard de défi dans les yeux.

-Si j'étais vous, j'éviterais de me mettre en danger.

Pensant avoir l’avantage Marco me demanda la raison de ma présence ici, surtout en ce jour si spécial en souriant mais je ne lui répondit pas directement.

- Je tiens à vous remercier pour ce cadeau. Vous ici, entouré de tous mes hommes est un véritable cadeau.

- Mon vrai cadeau arrivera plus tard. Dans exactement 50 secondes, un indice il rime avec onde et déclenche une explosion.

Les mots flottèrent dans l'air, remplis d'horreur et de surprise. Anaïs regarda Marco, les yeux écarquillés, cherchant des réponses dans son regard. Comment pouvait-elle avoir un visage d’ange mais un cœur de démon. Ça doit arriver quand on vent les organes d’enfants.

- Marco, qu'est-ce qui se passe ? Quelqu'un sait quelque chose ?

Marco, avec angoisse et agacement, montra son vrai visage à sa soit-disant bien-aimée.

- Anaïs, la ferme ! Ne me dis pas que...

Les secondes s'écoulèrent lentement, laissant planer la menace de l'explosion imminente.  Moi je lui fis un beau sourire avant de sortir. Refermant la porte, je me placais près de ma moto et attendit .

- 1,2,3,4,5 tout mes vœux !

Puis, dans un fracas assourdissant, l'explosion se produisit et les flammes s'élevèrent, enveloppant la pièce dans un brasier infernal. La fumée s'échappait, noyant tout dans un nuage étouffant.

Tandis que les flammes léchaient les murs, je savourais ma mission accomplie.

La scène était à la fois dévastatrice et captivante, pour mon plus grand plaisir. Les imaginer souffrir comme ils ont fait souffrir me réchauffais le cœur.  On peut me traiter de cruelle et sans cœur mais en quoi cela change le plaisir que je ressens.

Je pris mon téléphone, composa un numéro et fit mon rapport .

- Mission accomplie.

La voix de l'homme à l'autre bout du fil résonna dans l'oreillette.

- Rentre alors.

Je mit mon casque et monta sur ma moto, laissant derrière la scène incandescente. Je roulais à toute vitesse. Mon esprit etait vagabond et mon cœur était rempli de vengeance et d'un désir implacable de faire payer tous ceux qui detruise la vie des autres pour améliorer la leur ou la detruise sans remords.

Dans ma chambre, je me retrouvais seule, assise sur mon lit. Les émotions se bousculaient en moi, mélange de satisfaction et de douleur.  Aeron fit irruption dans la pièce, inquiet . Mais je ne voulait pas entendre ses paroles de regret.

”Il n'est pas seulement mon tuteur, mais mon patron. Je tue ou arrête pour lui et je suis renuméré. Nous ne sommes pas liés par le sang, mais par l'affection”. pensais-je.

Il a été le seul à me tendre la main pendant la période la plus sombre de ma vie et je lui en suis reconnaissante. Mais pour l'instant, tout ce que je veux, c'est me reposer.

- Tu compte continuer pendant longtemps.

- Aeron, je sais que tu es contre mais tu dois reconnaître que je suis ton meilleur élément. Aucun d’entre eux ne m’arrive à la cheville.

- Je ne déments pas mais avant d’être ton chef je suis ton père, du moins j’essaye.

- Et tu le réussi ce rôle à la perfection mais rien ne pourra me faire changer d’avis. Tu connais mes raisons. Si tu veux bien j’aimerais me reposer.

- On n’en reparle plus tard. Soupira t-il.

Épuisée je pris la direction de ma salle de bain. Je pris une douche pour me débarrasser des vestiges de la scène. En me changeant mon regard se posa sur mon téléphone. Un message était arrivé pendant son absence. Une lueur de curiosité me titilla.

Je me jeta sur mon lit pour lire ce message qui attirait ma curiosité.

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