c'est un saut

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Aujourd'hui, je suis sur le toit d'un bâtiment à me rappeler mes vingt dernières années de ma vie.

Le jour où on c'est rencontré à la crèche et que tu avais cassé mon jouet sirène, on c'était donc battus puisque en revanche, je t'avais tiré les cheveux.

Et puis notre premier jour de maternelle, ou on avait fait une crise parce que on était dans la même classe, que les auxiliaires nous séparent sous les rires de la prof.

Sans oublier le premier jour de primaire, je t'avais lancé un crayon dessus puisque tu avais dis à mon amoureux que je mangé mes crotte de nez.

J'avais à la suite rétorque que tu buvais ton urine devant ton amoureuse de primaire ce qui nous a encore value une bagarre.

Nos parents était des amis de long date donc on ce voyait aussi durant les vacances.

Une fois on avait joué à cache cache tu m'avais abandonné dans le placard.

Énervé, j'avais mis des insectes dans ton lit, sauf que ça c'était retourner contre moi et qu'on avait du dormir ensemble cette soirée là.

Je rigole un bon coup, en me rappelant le fait que on voulait faire sortir l'autre à coup de pied.

Et puis en arrivant au collège tu t'es rendu compte que tu pouvais facilement être populaire, mais tu passes toujours autant de temps à me faire chier.

Et une fois, on avait commencé à me harceler parce que des filles était jalouse de notre complicité et de toute l'attention que tu me porte.

J'avais fini par rejoindre un autre établissement, pour ma 4 ème et 3 ème.

Mais bon, au lycée nous avions pris le même établissement avec les mêmes options et que nos bagarre avait repris mais, il nous arrivé de plus en plus de parler calmement.

Surtout pour ce moquer de nos ex qui nous mené la vie dure, du fait qu'on les avait quitté.

Un jour d'un lendemain de soirée, on c'était réveiller côte à côte, nue.

À la suite on s'était d'abord ignorer pendant un mois, pour que au final on ce déclare nos sentiment.

Ça n'a pas été facile au début de ce dire que mon ennemi numéro un, est l'homme que j'aime et que on sorte ensembles.

Mais à la fin du lycée, nous avons du encore nous quitter puisque je devais continuer mes études à la capitale et que tu étais restée ici.

Mais quel que années plus tard après nos études on c'était retrouver dans un parc ou que l'on ce moquer des gens qui passait.

Et qu'en nous nous sommes retournés.

On c'est sourire, puis nous nous sommes embrassé.

Avant que tu me dis c'est doux mots :

- Tu m'as manqué.

Je lui ai fait un grand sourire, avant de ricané "

- Une femme doit ce faire désirer.

Sur c'est mots je me suis levée.

Et je suis partie après lui avoir donné mon numéro de téléphone.

Je suis allée sur le toit de ce bâtiment et j'ai fondu en larme.

Durant c'est quelque années où nous étions séparé, ma vie avait commencé à sombrer dans de multiples drame qui ce sont aggravé au fur et à mesure.

Jusqu'à la mort de ma famille.

Je compté en finir aujourd'hui, mais je me suis rappelé que malgré tout je n'étais pas seul et je pourrais surpasser c'est événement, avec toi.

Grey Fullbuster...



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Ça change de mon style d'habitude ça c'est sûr.

Peu de dialogue, mais bon hehe il faut faire de tout dans la vie.

À la fois j'adore ce one shot et je le trouve nul en même temps...

Je trouve que je n'ai pas assez retranscrire leurs sentiments et que ce n'est pas assez détaillé...

Il est un peu court avec c'est 550 mot et quelques, sans conté ce petit mot hehe.

Il est bizzard le titre, nan?

Mots:641





recueil os greylu Où les histoires vivent. Découvrez maintenant