\Chapitre 12/

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Pdv- Chuuya

Putain... On est  plus que quatre en liste. Dazai a le visage giga grave alors que son regard est perdu dans l'horizon.  Si on reste là, c'est comme si on ce livraient sur un plateau d'argent à nos deux derniers adversaires. Je tapote un peu l'épaule de mon coéquipier pour le sortir de sa torpeur.

C- Dazai... Il faut qu'on se tire sinon on va se faire fumer. 

D- Oui...

Il prend mon bras et m'amène loin caché dans les débris de ce qui reste d'un bâtiment. Nous reprenons tout deux notre souffle alors qu'il me regarde. Je lui demande.

C- Est-ce que tu connais l'identité de nos derniers adversaires ?

D- Oui... C'est le duo du district 1. Fiodor Dostïoveski et Angel Yad. 

C- Fiodor... Le mec à qui tu parlais lors des séances d'entraînement ? 

D- Tout à fait... C'est un manipulateur de première... Quant à Angel... C'est une carrière de base qui manie son arc comme si c'était qu'un simple prolongement de ses bras. 

C- Je vois... Que des personnes fort bien sympathique. 

Dazai me regarde quelques instants.

D- Tu n'as pas été blessé pendant l'incendie ? 

C- C'est plutôt à toi que je devrais demander ça...

D- Oh, ça va t'inquiète. Quand on passe très rapidement dans les flammes, c'est comme si on était juste sous le soleil en plein été, on a très chaud mais on n'est pas vraiment blessé. 

Je n'étais pas très convaincu par son explication digne d'un prof de physique-chimie du collège. 

C- Mouais si tu le dis...

Dazai s'assoit par terre, alors qu'il se met à réfléchir.

D- En tout cas... On devrait vite trouver une stratégie pour nous débarrasser de ces deux tarés. 

Puis une idée me traversa alors l'esprit. Si on tue les deux du district 1... Il ne restera que moi et Dazai. Je le regarde et il à un petit sourire, il sait parfaitement à quoi je pense. 

D- Ne t'inquiète pas Chibiko si il ne reste que toi et moi. J'irais me jeter du haut du plus grand building se trouvant dans cette arène !

Je n'ai pas vraiment le temps de l'engueuler pour ces paroles qu'il se relève et me dit. 

D- Allez on se tire avant que les grands méchants ourses viennent nous dévorer tel de pauvres truites sans défense. 

C- Oui tu as raison... 

On commence à marcher tout en restant sur nos gardes dans le silence le plus profond. Quand soudain avec une grande douceur, Dazai me prit la main. Il me fit tourner comme dans une valse échangeant ainsi nos place avant de me serrer contre lui. 

C- Putain Dazai qu'est-ce qui te prends ?! Ce n'est pas le moment de danser !

Dazai a un petit rire alors qu'il me regarde dans le blanc des yeux avec une grande tendresse. 

 

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