un.e nounou a 17ans ??? (aidan x reader)

Chap 15: une nuit, une seul.

Aidan se posait mille et une question en retirant sa chemise, quel idée de venir dans la chambre de (T/p) a 2 heures du matin, et qu'allait penser ses parents ? Mais surtout, avec quoi aller t'il dormir ?? Il n'avait pas de pyjama attitré ici.
Son cœur battait à mille à l'heure alors que (T/p) sortait enfin de la salle de bain.

« - oh excuse, j'avais oublié que y avait pas vraiment de quoi dormir pour toi.. ça te gêne de dormir en caleçon ?
- hum.. je.. non, non ça va aller.. et toi ?
- non ça ira, ça ne me gêne pas. Puis il fait bon dans la chambre. »

Aidan regarde un peu gêné et se cache un peu, discrètement. (t/p) s'assoit alors à ses côtés sagement, les deux se regarde sans oser parler. La situation était quelque peu différente des dernières fois, enfin des dernières nuit passer ensemble. Aidan se sentait rougit de plus en plus, il avait l'impression que tout son corps rougissait en même temps que ses joues, mais il voyait surtout la gêne de (T/p) qui ne savait pas trop où ce placer dans ce lit.

« - Bon.. bah on devrait dormir je crois.
- je crois aussi. Alors.. bonne nuit ?
- bonne nuit Aidan, dors bien. »

(t/p) se penche et embrasse doucement sa joue. Aidan la/lae/le regarde, d'un regard doux et timide. Il aimerait lui rendre un nouveau baiser, mais l'excuse du gloss ne marchera pas une deuxième fois. Mais par dessus tout, Aidan avait peur que la situation ne dérape et lui échappe. Ce n'était clairement pas le moment de penser à cela, ou bien même d'imaginer cela possible. Que ce soit vis à vis de la situation ou vis à vis du cast qui ne verrait probablement pas cela aussi bien qu'ils ne l'espèrent.

Mais malgré toutes leurs idées les deux n'osait à peine se regarder, ils ne pouvait même pas oser imaginer une seul seconde parler à nouveau après leur actes. C'est idiot puisqu'ils étaient tout deux consentant et surtout conscient de ce qu'il venait de ce passer et que l'un comme l'autre savait que maintenant la frontière était passée. Et  surtout qu'ils ne pourraient plus faire de retour en arrière.

« - je crois qu'on devrait parler..
- je crois aussi. Mais j'ai un doute sur les mots qui vont sortir. J'ai peur qu'ils ne nous plaisent pas.
- j'ai peur aussi... ou alors..
- ou alors ?
- ou alors on écoute simplement nos coeur, et, où, nos lèvres et on les laissent se libérer ?
- j'ai envie de t'embrasser.
- je ne comprends pas pourquoi on parle encore.
- parce qu'on est deux con, coincé dans un lit, moitié trop petit-moitié trop grand et qu'on a peur de faire dérapé la situation ?
- hum effectivement, mais je pense, qu'on devrait essayer de les laisser parler. Tu ne crois pas ? »

Aidan tourne son regard vers (T/p), les joues rouges. Cependant (T/p) se retrouve dans le même état. Mais instinctivement, amoureusement même, leurs lèvres se rapprocher jusqu'à se retrouver. Comme deux aimant, ils se retrouvaient coller par l'amour. Et cela n'avait pas de prix, les lèvres de l'un sur celles de l'autre était d'une douceur aussi étonnante que passionnante. C'était à ce demander si leur simple baiser n'avait pas la texture d'un nuage et le goûts d'une sucrerie. Un baiser passionner digne de celui des films romantiques qu'on déteste mais finit par aimer (ou pas).
C'était presque irréel, mais pourtant c'était bien là. Leur baiser ne se stoppait pas, quand bien même leur lèvres s'éloigner c'était pour mieux ce retrouver. Un, puis deux et trois. Milles et des milliers de baisers délicats, romantique mais par dessus tout, passionnément amoureux et discret. Comme un amour secret, personne au grand personne ne devait alors savoir que leur lèvres se touchée, que leur âmes se lier par un baiser.

Mais toute bonne histoire prends un jour fin, en l'occurrence c'est la fatigue qui y mets fin, une fatigue tout aussi calme que leur baiser. C'était juste calme. Un calme apaisant. Pas comme toutes ses nuits silencieuses ou Aidan se retrouver nicher dans ses draps, angoissés par les cauchemar de la haine, ou les nuits ou (T/p) pleurer silencieusement en pensant à lui, l'autre. L'autre qui n'avait eu aucune pitié pour elle/iel/lui. Non, cette fois c'était un calme apaisant. Un calme réconfortant, un calme qui crie un « je t'aime » puissant et sincère. C'était l'amour pur qui parler sans jamais ne rien dire. Et par, peut être, pur instinct c'est Aidan qui s'allongea le premier pour propose, pour une fois, à (T/p) de s'allonger. Il voulait être, cette fois si, celui qui protègerait ses nuits.

C'était comme le paradis sur terre, il avait contre lui l'humain idéale (à ses yeux), c'était instinctif, rien n'avait besoin d'être prévue. Ils ne parlaient pas, ne se regardait pas vraiment, aucun son ne sortait de leur bouches, juste le calme et l'apaisement de baisers libéré. Que du bonheur pour enfin dormir sans peur, sans crie et sans panique.

Aucun d'eux n'avait parler, ni avant, ni après. La nuit fut, pour la première fois depuis longtemps, paisible. Aidan était dans un sommeil lourd et délicat et (T/p) sentait un sommeil réparateur s'infiltrer dans ses rêves.

Enfin, c'est ce qu'ils pensaient.
Quand le réveille résonne, la réalité dévore la douceur comme dans un bain de sang glaciale. Insignifiant et lugubre, leur nuits qui avait été si belle et chaude se transformer en matin froid et brisant.

Qui l'eu crue ? Personne. Eux qui avaient franchis le cap, eux qui enfin s'avouer vaincus par les cartes de l'amour, eux qui, enfin, pouvait goûter les lèvres interdite si longtemps de l'un et l'autre.
Comment le bonheur avait il pu prendre fin ?
Avec un simple:

Ne le rappel pas.

"- hey, (T/p)
ca fais longtemps.."

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Heyyy ! Nouveau chapitre, désolé pour l'attente mais mon mois de juillet a été fort charger 😂
Merci à tous pour votre amour/soutient, ça me touche beaucoup <3

En attendant, les choses changes entre (T/P) et Aidan qui enfin s'avouer leur amour timide. Mais qui est ce « ne le rappel pas. » si imprévisible ? Je sais que vous savez que je sais que vous savez😂

On se revoit au prochain chapitre !<333