Chapitre 6

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Je suivais Maxime dans les couloirs sans bien comprendre où il m'emmenait quand d'un coup il s'arrêta face à une porte.

M : Là dedans, y'a tout ce qu'il faut pour pranker Grim et Billy. T'es chaud ?

Ses yeux pétillaient, il était heureux. Nous pénétrions dans la petite pièce éclairée par nos lampes de poche et la porte se referma lourdement derrière nous. Il attrapa un carton posé à terre et le tira de toutes ses forces pour le ramener à lui. Il se mit debout dessus et tenta d'attraper un panier posé tout en haut d'une étagère. Je me mis derrière lui, lui tenu le dos d'une main et l'éclaira de l'autre. Il ne lui manquait que quelques centimètres pour l'atteindre alors il se prépara et sauta. Il eut le panier mais retomba sur le bord du carton et glissa en arrière. Je le rattrapa comme je pu mais ça n'eut comme effet que de le faire tourner. Il tomba sur moi dans un fracas.

Nos téléphones nous éclairant à terre, son corps posé sur le mien, je pouvais sentir sa respiration effrénée se blottir dans mon cou. Ses mains posées sur mon torse, je ne pus m'empêcher de glisser ma main dans son dos, sous son tee-shirt. Sa respiration accéléra, il décolla sa tête de mon cou, nos visages étaient à présent à quelques centimètres l'un de l'autre. Ses yeux glissèrent sur ma bouche, je l'entendis déglutir et essayer de reprendre son souffle et je me jeta sur sa bouche. Ses lèvres contre les miennes, mes mains dans son dos et sur ses cuisses, son corps dansant au dessus du mien. Mes mains parcouraient son corps sans rupture. Je ne voulais que le découvrir plus, le voir, le sentir, l'embrasser. Il le comprit et s'assit sur moi, enleva son tee shirt, me laissa contempler quelques temps avant de me retirer le mien. Nos bustes nus, collés, ses mains dans mes cheveux, ses baisers dans mon cou. Mon cœur s'emballait et s'il continuait il allait exploser alors je l'écarta, repris mon souffle puis le fit tourner pour le mettre en dessous de moi. Il se laissa faire, mes mains emprisonnaient les siennes tendit que ma bouche parcouru son torse. Je me redressa, enroula ses jambes autour de mes hanches et le posa sur une table. Un sourire se dessina sur son visage. Je plongea ma tête et encadra sa nuque de baisés. Ses mains s'agrippaient à mon dos et il laissa sa tête basculer en arrière.

Mon téléphone sonna.

J'aurais dû - Djilsi x MaximeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant