Chapitre 2

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On est lundi matin, à la première période. J'ai la tête dans mes bras épuisé. C'est que le début de la deuxième semaine. Courage..

Je reçois un crayon sur la tête. Je lève la tête et regarde discrètement autour de moi. C'est la fille en face de moi qui me l'a lancé. Je la fusillade du regard. Pourquoi m'a-t-elle lancé se crayon? Je ne fesais pas de bruit. Puis, elle me lance un petit bout de papier.

<<Tu vas coulé le reste de ton année, si tu continue à dormir dans tout les cours.>>

Je n'ai aucune inquiétude à me faire. J'ai peut-être la tête dans les bras, mais mon cerveau prend en note, enfin defois.

La cloche sonne, je prend mes cahiers, les range dans mon sac. Je mets ma capuche de mon hoodies sur ma tête.Je sors ensuite de la classe.

J'entends une voie m'interpeller. Je me tourne pour voir et apperçois la fille de tout à l'heure. J'avais ranger son petit message dans ma trousse et me suis rendormie, sans rien lui répondre. Je continue à marcher sans l'attendre, mais elle me rattrape. J'en ai aucune idée pourquoi, à se que je sache on est pas amie.

- Salut, sa te dérange si je te parle ?

- Non pas du tout.

- T'as des amies, dans cette école?

- Non toi ?

- Non, tout le monde me trouve un peu étrange.

- Je devrais te trouver étrange ?

- Non, mais tu sais les personnes nous collent des étiquettes sans même nous connaître.

Je comprend pas pourquoi elle a pas d'amie. Elle a l'aire sympathique.

Je me pose à une table de la cafétéria. Elle s'assoie en face de moi et sort des framboises. Elle commence a les déguster, je la regarde sans rien dire. Je suis pas très bavarde, sa dois être pour sa que je n'ai pas d'amies.

- Tu en veux. Dit-elle en me tendant le pot de framboise, dans ma direction.

-Non merci, je mange pas le matin tôt comme ça.

- Comme tu veux. Dit-elle en haussant les épaules.

J'ai mentis, je m'apporte jamais de snacks. Ma mère m'a dit que j'avais pris beaucoup de poids, depuis mon ancien déménagement. Alors, j'essaye de ne rien avaler le plus possible. Elle sera peut-être fière de moi si elle voit que je perds du poids petit à petit.

- Enfaite, c'est quoi ton nom ? Lui demandais-je

- Sarah Miller et toi ?

- Anastasia Johnson.

Je vais l'ajouter plus tard sur les réseaux. Là c'est l'heure de retourner en cours. Sarah et moi on a tout les cours ensemble. D'abord, je suis aller à la toilette avant d'aller en classe. Je lui est dis de ne pas m'attendre.

J'arrive en classe en retard. Je frappe à la porte de mon cours et le prof m'ouvre la porte.

-Désolée pour le retard.

- Dernière fois que je le tolère mme.Johnson.

Je me dirige vers ma place avant de m'enfarger et manque de tomber tête première. C'est se Walton qui se croit drôle. Je marmonne

- Pauvre con.

Malheureusement, je suis à la même table plus précisément à côté de lui en science. Je sors un cahier pour prendre des notes, mais je ne comprend pas plus. Moi et les sciences sa fais 2. Heureusement, Sarah est en avant de moi. Je fais donc en sorte d'attirer son attention, elle finit enfin par se tourne. Je lui demande si elle pourra me donner les notes de cours à la fin. Elle accepte, je lui ai seulement demander parce que je suis trop fatigué pour essayer de comprendre. Je ne me sers pas d'elle. Je vais réviser le cours, en rentrant chez moi.

...

Je suis rentré chez moi, mon beau-père est à la maison, dans son bureau. Je vais prendre une douche, là journée à été longue. Après ma douche, je vais à mon dressing. J'enfile un jogging nike gris avec un débardeur blanc. Je me sors un livre et commence à le lire.

Je l'ai presque fini, quand ma mère rentre à la maison. Je range mon livre et je vais sur mon téléphone. J'ajoute Sarah sur tout les réseaux. Je me couche dans mon lit pour au final m'endormir.

Jaden Walton pov

Je rentre d'une pratique de baseball, je me dirige direct dans ma douche, c'est raffraichissant. En sortant de ma salle de bain, mon frère jumeau m'attendait pour jouer a la play.

- J'en ai marre. Dis-je en déposant ma manette.

Je m'assois sur mon lit et scroll sur les réseaux. Il n'y a tellement rien d'interessant. Il se passe rien d'interessant dans ma vie, je m'ennuie. Je regarde par ma fenêtre, puisque je n'ai rien à faire. À croire qu'elle est ma voisine, elle me suit partout. C'est sa chambre, je la voie dormir. Elle me répugne. Une chance que j'ai aucun ami en commun avec elle. Je n'ai pas à la supporter.

Le cauchemar.

Je suis à toi sans être à toi Où les histoires vivent. Découvrez maintenant