Le mot de Tracker : Le goût du risque

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« Le plus dur, ce n'est pas d'avoir conscience d'être en train de déraper, mais d'avoir la volonté de se reprendre. Il est difficile de renoncer à ce que l'on apprécie, même pour le plus grand bien. Ce n'est pas naturel de faire primer l'intérêt collectif sur les individuels. Pas pour moi en tout cas. J'estime avoir assez perdu dans ma vie... pour une fois que j'ai l'occasion de goûter à autre chose que la haine et la violence. Je me sens sur un pont suspendu à plusieurs centaines de mètres de hauteur. La sensation est vertigineuse, mais le paysage en vaut le détour.  »


L'amor ne prévient pas avant de frapperOù les histoires vivent. Découvrez maintenant