Chapitre 40.

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C'est le septième jour que mes yeux s'ouvre dans cette pièce c'est rare est même si j'me sens pas parfaite bien chez ma tante. Je n'est qu'une envie c'est de rentrer est d'être dans mon lit.

Je suis toujours mal mes je vais quand même beaucoup mieux l'es docteur on dis qu'il passerais dans mon étage à 15h.

Sincèrement j'espère qu'il vont me laisser sortir je n'e suis pas aller au parloir j'ai du mentir a mon père pour me justifier c'est vraiment compliqué je suis tellement perdu est seul cette sensation est tellement rabaissante.

La latina tournée en rond dans sa chambre d'hôpital jusqu'à quasiment 16h jusqu'à que les médecins lui annoncèrent sa sorti pendant qu'il lui expliquer comment prendre c'est médicament elle ne rate pas une seconde est ramasse toute c'est affaire elle quitta la chambre en sortant de l'hôpital elle ne pu s'empêcher de demander une cigarette à un passant des fois elle aimer jouer de son charme.

Elle marche jusqu'à l'arrêt de bus est elle remercia le ciel quand elle vue qu'un bus passer dans 10 minute pour aller jusqu'à corbeille Essone

Une fois arrivé elle traverse tout son quartier à pied pas très sereine le vent qui l'a frappé lui fesais du bien elle n'avais pas vue le soleil depuis un sacré temp devant son bâtiment sa respiration se coupa quand elle vue l'algérien

Prise par l'adrénaline sa bouche la trahi est elle lui parla

- salut Nabil

Il lève les yeux il me regarde est je sens tout de suite une mauvaise tension quelque chose qui ne va pas.

Je range mon sourire est le fixe fermement

Nabil - bouge de la

Woh certes d'habitude il n'est pas très jovial mes la je dois avouer que je reste sur le cul.

Je lui lance un dernier regard furtif est m'empresse de monter le laissant derrière moi .

Je ne dois plus parler à se mec, je ne dois plus penser à lui, je ne dois plus l'approcher, ni m'intéresser à lui il est trop bizzare.

J'entre dans l'appartement il ni avais aucun bruit je m'avance jusqu'au salon est je retrouve sarah est ma tante sur le canapé quand ma tante me vois elle me regarde avec un regarde particulier que je ne saurais d'écrire quand à sarah elle baisse les yeux.

- je suis sorti aujourd'hui j'ai préféré rentrer seul est déranger personne puisque vous êtes pas venu me voir une seul fois

Je fini ma phrase est je leur tourne le dos c'était plus fort que moi fallait que sa sorte

J'ouvre la porte de la chambre j'allume la lumière est c'est avec stupeur que je retrouve un couffin avec un bébé dedans je m'avance sur la pointe des pieds je baisse délicatement sa couverture je le détails il est très petit je remarque à c'est trait qu'il vient a peine de naître.

« il s'appel wahid »

Je me retourne en surtout est regarde sarah

- c'est ton..

Elle - oui c'est mon fils

- m'es comment c'est possible sarah

Elle - j'ai fais un déni de grossesse quand tu est rentrer à l'hôpital j'ai appris le lendemain que jetait  enceinte...à terme à vrais dire j'ai accouché sous x il ne connaîtra jamais son père tout au long de son récit elle fixer le plafond pour retenir c'est larme son visage était pâle est creusé

- je..je ne sais pas quoi te dire félicitations

Sarah - félicitations il a gâcher ma vie Amira putain mes frère ne m'adresse plus la parole je la vois tellement triste dans c'est propos est m'imaginant a sa place j'avoue qu'elle était dans la plus grosse merde qui puisse existé

PNL - Le cœur qui brûle, sentiments glacés. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant