smack, des pockys

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Au titre, vous voyez de quoi je parle.

Mais même si vous savez tout, je vais vous expliquer tout ! ^^ (merci qui ? Merci moi !)

C'est un cliché de RusAmé ( y en a beaucoup des clichés, dans ce ship, décidément) et qui arrive... BEAUCOUP trop de fois, nous sommes d'accord.

Le déroulement est le suivant :

Amé et Russie discutent. Ou se foutent sur la gueule. Ou baisent. Enfin bref, ils font un truc, quoi.

Puis soudain, un grand bruit retentit. Méri blêmit et frémit.

- Salut la compagnie !

- Oh non, c'est bien ce que je pensais ! Japon est là !

- Tu ne pourras pas me fuir ! PAR LE POUVOIR DU YAOI !

- NAOOOON !

( Oui, Japon est plus forte que Russie. Beaucoup plus. C'est terrifiant, hein ?)

- Mais là n'est pas le sujet. J'ai un jeu.

- J'ai peur.

- Tu peux. Mais bon, j'explique : Voici des pockys !

- Des quoi ?

- Des mikados japonais, si tu préfères.

- Ah, ok !

- Et donc, c'est un jeu pour faire fangirliser les lectrices en manque et satisfaire les autres lecteurs !

- Elles sont en manque de quoi ?

- De ta gueule. Allez, chut. Le but, c'est de vous embrasser.

Amé prend un sourire de gros sadique psychopathe.

- Intéressant... tu marches, Russ' ?

Russie, plus rouge que le drapeau de son paternel ( vous voyez ? J'use et abuse des clichés du genre.) laisse ostensiblement paraitre la réponse : "plutôt décéder, mon jeune ami". Amé, par un habile stratagème qui consiste à blesser l'ego de Russie ( ou plutôt devrais-je dire "my Russ' !"), réussit à convaincre ce dernier à jouer à ce jeu de KAKA.

- Tenez, prenez ce pocky, et tenez les extrémités avec vos petites lèvres sur lesquelles l'auteur va biiien appuyer.

Ainsi fut fait.

- Et... GO !

C'est parti pour la séquence où l'auteur va décrire chaque millimètre croqué, l'écart minuscule entre les lèvres de nos protagonistes, et le regard acéré de Japon, qui se documente pour son prochain yaoi. Les lectrices et les lecteurs sont à bout. Leurs réactions derrière leurs écrans sont celles ci-dessous :

Lectrice 1 : Vite ! Vite ! Je ne vais bientôt plus tenir ! Vite, je vais crever !

Lecteur 1 : LE BISOU ! LE BISOU ! LE BISOU !

Moi : Bon, vous vous embrassez ou vous attendez jusqu'à la fin de l'éternité ?

Mais revenons à notre BIWOU.

Enfin, leur lèvres se frôlent, non, elles se touchent ! Et c'est un BUUUT !

- AAAAAAAAAAAAAAAAAH ! YAAAAAAOOOOOI !

(En vrai, ce jeu est cool parce que il n'y a pas de gaspillage de nourriture !)

Voici comment se termine ce cliché.

Conclusion : si vous voulez embrasser quelqu'un, prenez des mikados.

- Père Castor, raconte nous une autre histoire ! piaillent des voix de mioches exigeants.

- Non, ta gueule ! répond Magda en frappant les petits mal élevés.

Mais ? On l'a appelée "Père Castor" ! Quel est donc cet étrange phénomène ?

A suivre...

Les fucking clichés des countryhumansOù les histoires vivent. Découvrez maintenant