D'une simple prophétie

Chapitre 16

Une semaine est passé depuis la retrouvaille d'Hermione avec ses parents, et elle avait passé le plus clair de son temps avec eux au manoir Zabini, accompagné de son frère. Le professeur McGonagall leur avait laissé une semaine pour qu'ils puissent se retrouver se qui avait été une bonne idée, en un sens. Il faut dire qu'elle n'avait accepté que pour les jumeaux, leurs amis devaient aller en cour, séparant Draco et Hermione pour une longue et dur semaine. Durant celle-ci, ne pouvant être en compagnie de sa bien aimée, le jeune Malfoy avait décidé de se mettre véritablement au travail et lança à ses amis haut et fort le début de l'opération " Torturer la belette". Cela avait bien fait rire le groupe mais ils voyaient bien que le Serpentard ne plaisantait pas du tout. Ce fut donc la pire semaine de la vie du jeune Weasley. De faux articles dans la Gazette, des rumeurs embarrassantes, de la glue sur sa chaise lui arrachant son pantalon, du gèle sur le sol le faisant glisser et surtout, un coup de poing bien placé. Pour Draco, cette semaine avait été la meilleur et la pire de toute sa vie. Meilleur parce qu'il avait bien rit avec ses amis en se vengeant douloureusement de Weasley, mais pire parce qu'Hermione n'était pas là. 

De son côté, la Gryffondore avait appris à connaitre ses parents et s'était trouver beaucoup de point commun avec eux. Son frère lui avait fait visiter l'endroit préféré de leur père, et maintenant également le sien, la bibliothèque, et il faut dire que l'on pouvait vite comprendre pourquoi. Cette pièce était la plus grande de tout le manoir, et elle est immense. Des livres partout et en tout genre, 3 étages parsemé de ses rêves les plus fou. En bref, le paradis. Ca avait été pour les deux jumeaux des vacances bien mérité après de telles découvertes, mais quelques chose leur maquait atrocement, leur compagnons respectif. Et leurs autres amis également, bien entendu. Les aux revoir avait été déchirant et ils ne souhaitaient qu'une chose, se retrouver. D'autant plus que des révélation avait été faites et qu'ils allaient devoir tout leurs raconter. En effet, Hermione avait pris le temps de parler avec ses parents et leurs avait posé les questions auquel ils n'avaient pas de réponse. Sa conception des chose avait littéralement changer. Son frère fut le premier mit au courant par ses découvertes, et ils auraient très bien pu envoyé une lettre pour prévenir les autres plus rapidement, mais ils se dirent qu'il valait mieux le leur annoncer en face. 

A présent le samedi soir, il est l'heure pour eux de retourner au château. Leurs valises dans les mains, ils embrassent leur parents et la jeune femme leur promet de se joindre à eux pour les vacances de Noël. Quelques minutes plus tard, Blaise et elle entrent chacun leur tour dans la cheminer du salon, et y disparaissent en une faction de seconde pour réapparaitre dans le bureau du professeur McGonagall. La directrice n'étant pas présente, ils se dépêchent de sortir pour déposer leurs affaires à leur dortoirs respectif. Une fois chose faite, ils s'échangent un regard très significatif et commence à courir à toute vitesse dans les couloirs du château pour rejoindre la Grande Salle, faisant la course. Arrivé à destination, Hermione cri de joie, amenant l'attention des élèves sur le bruit provenant du couloir. 

- J'ai GAGNER ! Tu as PERDUUUUU !!!!!! Je te l'avais dit, c'est TOI le Flatullllleeeeeeee !!!!! S'égosille t-elle en ricanant. 

- C'est pas vrai. Tu as triché, tu m'as fait tombé avec un sort ! S'exclame Blaise.

- On a jamais dit que la magie était interdite, ce n'est donc pas de la triche. Fait-elle en lui tirant la langue. 

Ils arrivent face aux portes de la Grande Salle en se chamaillant gentiment, et en se rendant comptes qu'ils sont arrivé, regardent immédiatement dans la directions des deux tables pour voir où sont leurs amis. Cette fois tous rassemblé chez les Gryffondors, ils se lèvent pour aller les prendre dans leurs bras chacun leur tour, et une fois arrivé aux compagnons respectif, ils s'embrassent avec fougue.