BloodFeud

CHAPITRE 1 -

Les nuages partagent le ciel avec les différentes créatures ailées de ce monde. Un aigle parcoure le firmament en se rapprochant des terres de Cathyopé. Une fois à un kilomètre du sol son regard se fait plus vif. En quelques secondes il trouve une proie assez fragile pour assouvir sa soif de destruction. Il pique une pointe rapide vers la terre. Tend ses serres au moment le plus favorable en saisissant sa proie. Il remonte royalement, imitant un souverain du ciel. Les rayons solaires illuminent la cité tout en propagent de la chaleur sur mes joues, ainsi qu'en nourrissant ma peau.

Cathyopé est la ville principale elle est situé au centre des délimitations de notre civilisation. Elle a été désignée capitale des villages environnant. Cette région qui autre fois était un seul village est désormais partagé en plusieurs secteur. Ils sont circonscrits par de grand murs formant une spirale gigantesque. Cette spirale est composée de six ville, afin de les démarquer elles ont toute été découpé en cercle. Les six cercles comportent tous une énorme porte médiévale, afin de retranscrire les vas-et-viens. Ces entrées majestueuses sont sécurisées par des pont-levis et des herses en fer impénétrables. Chaque porte est occupée par au moins deux gardes royaux veille à repérer les infractions, ainsi que les autorisations de passages.

En des temps plus reculés, l'existence des villages n'était pas diriger par de telles infrastructures. Chacun avait libre droit de passage. Par malheur, une guerre sans précédent a vu le jour plusieurs siècles auparavant, dont les origines ont mystérieusement été égarées dans les limbes de l'Histoire. Aucun élément déclencheur ne subsiste dans les esprits - comme une amnésie générale. Tous se souviennent de cet événement marquant et de la douleur qu'il a laissé en son sillage, cependant, aucun n'est en mesure de fournir des détails précis. L'élaboration des murailles a d'abord eu pour buts de chasser les menaces extérieures, et de les pousser à toucher prioritairement les villes les plus proche du monde interdit. Au fil du temps elle a contribué à la distinction entre les différentes castes sociales, les villes ont été pour la plus par détruite puis reconstruite, celles qui autrefois avait un nom ont été reclassé par de vulgaire numéro afin de les différencier et de les classé plus rapidement, et plus efficacement. Seul Cathyopé à garder sa nomination.

La porte la mieux gardée était celle qui offrait l'ouverture du village centrale. Les habitant du secteur Un hérite de la classe sociale la plus élevée. C'est ici que demeure le Roi, ainsi que ses invités. D'autres personnes prestigieuses y vivent ainsi que certains nobles. Lorsqu'on arrivait dans la classe Une on n'avait que d'autre choix que de réussir sa vie, un avenir radieux nous tendait les bras. Je n'ose imaginer la pression qu'on accorde aux enfants de ce secteur, leurs études était plus ardu que dans les autres villages. Je n'ose imaginer une de ses enfants qui échouerait dans un domaine entrepris.

Subsistaient-ils obliger d'aimer une personne uniquement pour son rang social, ou étaient-ils obligé de devenir glorieux comme leurs parents. Leurs parents avait-il le droit de renier leurs progénitures s'ils n'étaient pas prodigieux à leurs tours. Peut-être que leur simple richesse comblait leurs enfants sur plusieurs générations, et donc qu'aucune de mes questions plus ou moins rhétoriques n'avait de réponses.

Il y avait au total six castes, la sixième était la plus mauvaise, la température oscillait entre le chaud torride de l'été et le froid glacial de l'hiver. Les personnes qui y travaillaient devait fournir des efforts exténuants en travaillant plus que les autres et souffrait fréquemment des problèmes de santé à force de travailler en continue, certaines personnes perdaient la vie dans les mines ou en cultivant leurs terres succombant à la chaleur. La plupart n'arrivait ni à joindre les deux bouts ni subvenir à leurs besoins en alimentation, cette ville incarnait tellement la pauvreté qu'elle pouvait être comparer à un autre monde. Vivre dans cette ville était une véritable damnation, que ce soit pour ceux qui y ont été reclus à cause d'un blâme en conséquence d'une violation des lois, tant dis que d'autre miséreux y vivait depuis leurs naissances.