Je ne sais pas depuis combien de temps je suis enfermée dans cette pièce que ça soit des semaines, jours, heures, minutes. J’ai réussi à me maintenir au chaud grâce au vieux vêtement que nous y avons laissé.
Alors que je cherché de quoi me couvrir, je suis tombé sur une vieille lame assez usé. Je pense que quiconque serait blessé par cette larme devra se faire un vaccin de tétanos. Des idées noires m’ont traversé l’idée en l’apercevant.Sa mettra fin à tout, je ne souffrirai plus et en plus personne ne se rendra compte que j’ai disparu. Je pourrai trouvai peut-être une place dans les cieux ou je serai heureuse s’il veut bien de moi Mais je pense que s’il m’aime il m’aurait déjà aidé.
Je pris la lame et l’ai mise dans ma poche. Je ne sais vraiment pas pourquoi mais je la pris. J’essayais de trouver des idées pour me maintenir, ne serait-ce qu’une seule chose que pouvait m’aider à oublier ses idées noirs mais il y en avait pas.La seule personne qui jusqu’à présent m’avait aidé à maintenir ma tête hors de l’eau est cette même personne qui l’a enfoncé au plus profond. Bien vrai que ma mère me faisait du mal, que mon frère m’avait blessé, la personne qui m’avait le plus détruite était mon père parce que j’avais une confiance aveugle en lui. Jamais je n’aurai cru qu’il pourrait me faire du mal. J’aurai été prête à mettre ma main au feuj pour l’amour qu’il avait pour moi mais il s’est avéré qu’il m’aimait mais pas comme j’aurai voulu.
Je regardais autour de moi, la poussière me faisait tousser, le froid me faisait trembler. J’avais une vie vraiment merdique pour une gamine qui entrait à peine dans la puberté. J’avais l’impression que la lame me parlait, m’appelais, je crois que je devais folle à cause du temps passé dans la pièce.
J’apercevais un semblant de lumière au bout de cette souffrance. Je me voyais plus heureuse ou le sourire au lèvre ce monde que j’apercevais m’appelais avait les bras grands ouvert. Alors mon regard se posa sur la lame encore une fois puis se promenait dans toute la salle c’était comme si je me rassurais que c’était la bonne chose à faire.
Cette salle vide me rappela que c’était sa ma vie oui ma vie était aussi merdique que cette pièce miteuse j’aurai beau travailler, faire des efforts mais rien ne changera ma mère ne m’aimera jamais et mon père. A la pensée de mon père mon cœur me fit mal oui très très mal. Je pris la lame, la rapprocha de mon poignet puis entailla mon poignet gauche. Celui-ci pissait le sang, aussi toxic ou sombre que cela puisse paraitre, me voir me vider de mon sang me fit sourire. Je fis de même avec mon poignet droit puis me couché couverte par les vêtements usager pour me protéger du froid en attendant ma mort.
Pendant le lapse de temps que j’étais consciente, j’aperçus maman, papa et mon frère qui étaient tous ensemble à jouer à la famille parfaite et ils paraissaient bien plus heureux sans moi dans leur vie. Maman sourire à papa et à Bryan comme s’ils étaient le centre de sa vie. Mon absence n’avait aucun poids sur leur vie. Elle faisait des bisous à Bryan et lui disant à quel point elle l’aimait et était heureuse qu’il soit son enfant. Je m’approchai d’eux mais ils ne me voyaient pas j’étais invisible, aussi invisible qu’un fantôme. S’avait toujours été ainsi. D’un autre côté je vis une lumière resplendissante, je ne sais pas ce qui se trouvais mais j’imaginais que ce devait être quelques choses de vraiment géniale et je voulais y aller. Mais pour une raison que je ne comprenais pas, plus je me rapprochais de cette lumière, plus elle s’éloignait de moi. Je me suis alors mise à lui courir après en criant et suppliant de m’attendre.-Je ne veux pas rester ici stp attends-moi ne me laisse pas seul dans ce froid, j’ai besoin de ta chaleur stp ils ne veulent pas de moi, je veux rejoindre cette lumière attend-moi je t’en supplie.
Je m’accroupis alors à cour de souffle, les larmes se déversant sur mes joues à me poser des milliers de question
Pourquoi ? Oui Pourquoi la lumière a-t-elle disparu ? Je ne suis pas assez bien pour y rentrer, même cette lumière m’a rejeté.Je regardai au tour de moi et il y avait le vide oui le vide j’étais seul dans ce trou noir, il n’y avait plus ni famille, ni lumière j’étais complètement seul et pour une raison inconnu je me suis senti apaisée par cette solitude. J’y étais déjà habituer donc cela ne me dérangerait pas de rester ainsi pour toujours. J’avais l’impression de pouvoir respirer à nouveau quand tout à coup je reçu un violent coup dans la poitrine, puis un deuxième
-j'ai mal qu'est.. puis un troisième coup qu'est ce qui passe je n'arrive plus à respirer, je suis faible. Puis un quatrième et c'est le trou noir.
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Last Night
Aksiyonun nouveau jour, une nouvelle difficulté. Chaque bouffé d'air est un calvaire qui me rappelle toute la souffrance que je veux oublié depuis des années. il faut que j'y mette fin ça c'est sûr mais comment ? comment arrêter un calvaire sur lequel je...