Chapitre 22

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- Et Omar, tu l'as pas revu ?

- Omar... ah si je l'ai vu, c'était y'a deux jours si je me trompes pas, dit-il en passant sa main sur ses cheveux.

- Vous aviez fais quoi ?

- Eh Yassine maintenant que j'y pense, Omar il est grave chelou c'est dernier temps enfaite depuis que t'es partis, il est chelou, dit James.

- Chelou comment ?

Omar chelou n'est pas Omar.







~~~

3 heures auparavant.
















YASSINE





- Tu penses que c'est lui, demandai-je.

- Nan nan ça peut pas être lui, j'pense pas nan, dis James en secouant la tête.

- Alors en quoi il est chelou ?

- Il est trop absent, c'est une dinguerie, à chaque fois on veut faire des tournées en ville, il dit qu'il a pas de temps ou qu'il a quelque chose de urgent à faire, dit James.

- Après je dis pas qu'il a pas le droit tu vois mais ça revient comme si il nous éviter tu vois, dit-il.

J'hocha la tête comme signe de compréhension.

J'espère qu'il nous cache rien ce fou.

Le jet arriva en Espagne après quelques longues minutes, on descendis avec James et voilà que Naël était en bas entrain de nous attendre devant une voiture.

- Ah ouais maintenant ça prend des jets et tout, dis ce con en souriant de toute ses dents.

- Wesh ma vie tu m'as manqué wesh, dis James en descendant en vitesse les petits escalier.

- Toi aussi le sang tu m'as manqué wesh eh c'était top dur de pas te voir, dit-il en se rapprochant de James.

J'me demande si les deux là, ne sont peut-être pas ...

- Mais t'as vu, viens le sang dans mes bras, dit James en ouvrant grand les bras.

Les deux s'enlaça comme des gros cons, tout en souriant.

Ils sont vraiment bêtes s'est deux là, encore heureux que j'suis pas comme eux.

- YASSINE MA VIE, cria Naël.

- Oh oh pourquoi tu cries, tu veux aussi me casser les oreilles ou quoi, lui dis-je avec un petit sourire, les sourcils légèrement froncés.

- Tranquille le sang wesh aller viens, fit-il en ouvrant grand les bras. 

Je m'avança vers lui et lui feinta en le contournant pour monter dans la voiture. 

- AH T'ES COMME SA YASSINE, cria encore Naël. 

- Ah le chien, rigola James. 

Je ferma la porte du coté passager de la voiture tout en souriant fier de mon coup. 

Ils entra chacun à leur tour dans la voiture, James derrière et Naël coté conducteur démarra aussitôt installé. 

- Donc c'est quoi le plan, demanda Naël les yeux rivés sur la route. 

- Il n'y a pas de plan, on va en France, on prend Elikya et c'est tout, dis-je en regardant droit devant. 

- Euh quand tu dis "on prend Elikya" en mode on la kidnappe à notre tour ou, fit James. 

ELIKYA: l'avoir détester au point de l'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant