Chapitre 31

513 20 0
                                    




~~~





ELIKYA










On est le 1er février et malheureusement j'ai cours.

Le réveil n'avais pas encore sonner et Divine dormait à coté de moi comme un bébé, je me leva du lit, marcha à pas de loup vers la porte pour éviter de la réveiller puis ouvra la porte et sortis.

Je partis dans la cuisine et sur l'horloge, il était écrit 4h, et bien sûr comme toutes les nuits, je n'ai pas dormis.

Je partis et sortir sur le balcon pour prendre de l'air frais et froid qui me fis trembler directement tellement il fait froid.

Ces derniers temps, la cité était plutôt calme, il y avait une bonne ambiance mais chacun vit sa vie de son côté.

Je m'appuya sur la rambarde et observa les premiers habitants de la cité se réveiller pour aller au travail et par ailleurs, les derniers guetteurs réalisant leurs dernières heures avant d'échanger leur tour.

Une silhouette tout en noir interpella mon attention, elle marchait puis s'arrêta et se tourna et sorti un flash de sa poche.

Ne sachant pas quoi faire, je me baissa et heureusement que sur les rambardes, il y a un garde-corps collé dessus sinon la personne m'aurait cramé.

- OH ELIKYA, cria une voix grave.

Quand j'entendis mon prénom, je sursauta comme une folle me cognant à la rambarde.

- ELIKYA J'T'AI VU DESCENDS !

Eh mais c'est qui ça et comment ça descends ?

Moi j'descends pas moi.

Je veux pas mourir mais je veux trop savoir c'est qui.

Est ce que je descends ?

Nan, mais au moins je montre ma tête.

Je me releva doucement et vis la silhouette avec son gros flash toujours en bas.

- VAS-Y DESCEND DÉPÊCHE FRÈRE !

Wesh mais c'est qui lui pour m'appeler frère donc moi maintenant je porte le truc là des gars pour faire pipi pour qu'on m'appelle frère.

Je lui mima un "t'es qui ?" afin d'avoir une réponse à ma question.

- C'EST YASSINE DESCENDS.

Eh il me veut quoi dès 4h du matin, il crie comme ça, on est pas au marché ici.

Je pris un moment de réflexion en le regardant pour me demander si je descendait réellement ou non.

Parce que si je descends lui et moi on risque de se battre même si je sais que ce sera lui qui me massacrera mais si je ne descends pas je ne saurais jamais ce qu'il me veut.

Je lui fis un signe "d'attendre" pour lui indiquer que je descendais.

Je sortis du balcon, passa par la cuisiné et le couloirs pour atteindre la chambre, où je pris un long manteau noir et mes clés puis ressortis sans faire aucun bruit, me dirigeant vers la porte d'entrée.

ELIKYA: l'avoir détester au point de l'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant