Chapitre 33

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YASSINE















3 jours.

3 putain de jours, qu'elle ne s'est pas réveiller.

Depuis qu'elle est à l'hôpital, je ne suis pas partis la voir, je sais pas pourquoi.

Mais je voulais simplement pas voir cette image d'elle branchée à plusieurs fils avec monitoring à côté et écouter les battements de son cœur.

Nan merci, le cauchemars.

Quand j'ai vu ce chien, ce fils de pute sur elle entrain de la violer, j'ai pété un câble, j'me suis pas contrôler et je me suis pas retenus.

Et en aucun cas je me serais retenus.

Je l'ai frappé fort mais j'ai l'impression de ne pas bien l'avoir cogner.

Putain, il aurait dû crever.

J'vais le tué.

Rien qu'en revoyant la scène, mes muscle se contracte, je serra les poings marchant vers la cave.

James et Naël m'ont arrêté de le massacrer même si il était quasiment mort, ils l'on pris et l'on mis dans la cave.

Depuis qu'il y est dedans personne n'est parti le voir, j'entra dans la cave et m'avança vers le gars et m'arrêta pour l'observer, les sourcils fronçant avec mes mains dans les poches.

Il était pas le seul qu'on a capturé cette nuit là, c'était la guerre.

Plusieurs de ces gars sont venus et ces parties en bagarre et en tir, 1 mort et beaucoup de blessés.

On en avait capturé beaucoup parce que j'étais d'humeur à les collectionner.

Le gars leva sa tête ensanglantée et bleutée de partout et me regarda avec toute la haine qu'il pouvait réussir à dégager malgré son horrible état.

C'était pas lui que je devais voir mais ils s'est avéré que des gens s'était infiltré dans ma soirée afin de récolter des informations et il en fait partie.

Et je veux savoir qui les a envoyé même si j'ai déjà ma petite réponse derrière la tête mais je veux une confirmation.

Je m'approche un peu plus du gars et continua l'observer, il me rappelé vaguement quelqu'un mais j'arrive pas à m'en souvenir avec son visage moche.

- Tu veux une photo de moi pour mieux m'observer, dit le gars froidement et essoufflé.

- Beurk pour faire des cauchemars, nan merci, répondis-je froidement.

- Tu ne sais pas ce que tu fais en capturant comme ça, dit le gars.

- Parce que toi peut-être tu sais, lui dis-je.

Il se mit à sourire puis rigoler.

- Ahlala quand t'il sauras ce que t'as fais, le patron pètera un câble, ria le gars.

- C'est qui ton patron ?

Il rigola encore, à croire que je venais de dire une une blague.

- Tu le sais très bien Yassine.

Je fus étonné quand il a dit mon prénom mais je restais impassible.

- C'est qui ?

- Pourquoi te le dire quand tu connais déjà la réponse, dit-il en continuant à sourire. 

ELIKYA: l'avoir détester au point de l'aimerOù les histoires vivent. Découvrez maintenant