The Horsemen of Death- 4ever - 🔞🔞🔞🔞🔞🔞🔞

1. Quand on arrive en ville

PDV PAUL ( NDA, en lien vous trouverez l'acteur que je voyais pour être Paul, libre à vous de l'imaginé comme vous le souhaitez')

Assis une fesse sur le siège de ma toute nouvelle moto - que j'ai reçue de mon grand-père le jour de mes 16 ans- j'attends que les jumeaux se décident enfin à ramener leurs gros culs. Ça me saoul de devoir les attendre tous les jours après les matchs car depuis qu'ils ont découvert que les filles mouillent leurs culottes dès qu'ils étaient dans les environs, ils passent plus de temps leur froc sur les chevilles. Je souffle la fumée de ma clope et lance le mégot aux pieds de mon rouquin préféré, Valentin.

_ Bordel, fils de pute. Tu as failli griller mes nouvelles pompes.

_ Pour toi c'est monsieur fils de pute mon frère.

Quand mon ami me traite de fils de pute, il n'y a rien de péjoratif car ma mère est vraiment une pute. Pute qui m'a abandonné à mon père après avoir appris qu'il ne lui passerait pas son cut même si elle lui donnait un fils. Depuis ce jour, je suis élevé au sein du chapitre mère des The Horsemen of Death par mon père, aujourd'hui décédé, mon oncle qui aujourd'hui à posé son marteau pour laisser la place de président à Vicious qui est tout comme mon oncle un des descendants des membres fondateurs du club. Si je me souviens bien de l'histoire sur les début du club, les fondateurs étaient des nomades des Son's of Charon et après un incendie qui tua la moitié des membres du chapitre mère ont décidé de posé leurs valises dans cette ville uniquement pour être proche des survivants et leur donner un coup de main en cas d'attaque. Trois ans plus tard, le club The Horsemen of Death est créé et depuis lors les deux clubs sont alliés. J'ai eu l'occasion de rencontrer pas mal de leurs membres depuis que je suis né et même si lors des premières visites ou rencontres la chose qui me choquait le plus était que beaucoup de leurs membres étaient en couple à plusieurs.

Pour bien emmerder Valentin, je m'allume une nouvelle sèche, tire deux tafs et balance ma clope sur ses chaussures. En deux trois mouvements, le champion régional en combat libre junior me saute dessus en me faisant tomber de mon siège. S'ensuit un combat sans trop de coups super douloureux, dans la terre avant que nos corps soient ensevelis sous les corps des jumeaux Blade, Scott et Jonas qui n'en ratent pas une pour essayé de nous assommer en coup de traître. Quand nous arrivons finalement à nous libérer des deux corps, nous sommes remplis de poussière et de feuilles mortes mais nos deux amis sont rougis par nos coups.

_ Bordel, les enfoirés. Grogne le plus marqué des jumeaux, Scott il me semble.

_ Ils t'ont pas loupé ses enfoirés. Lui confirme son frère.

_ Quand est-ce que vous comprendrez qu'il ne vaut mieux pas les chercher ? Leur demande Juliette, la copine de mon meilleur ami, ils sont capables de mettre au tapis des bikers à eux deux.

_ On y croira quand on le verra.

_ Hors de question que je vous invite à venir au club alors que la chose que vous aimer le plus que de baiser c'est de foutre la merde après avoir trop picoller.

_ Invite-les à une réunion familiale alors.

_ Pas question, non plus. Tu le sais bien, seuls les membres de la famille sont invités.

_ Alors pourquoi Val et l'autre pétasse ont été invités pas plus tard que le mois dernier ? Demande Scott qui essuie le sang qui coule de son nez avant de gémir, bordel, lequel de vous deux m'a pété le nez ?

_ S'il était pété il serait tordu plus que ça et tu piquerais plus le sang.

_ T'es médecin maintenant Juliette ?

_ Non, mais j'ai dû le soigner assez souvent pour que je sache quand un nez est pété ou pas. Le premier que j'ai vu, c'était le tien il me semble. Me demande la seule fille de la bande.

_ Non c'était celui du prospect qui était chargé de me suivre quand j'ai décidé de voler la moto à mon oncle juste pour l'essayer.

_ Ha oui.

Je me souviens de ce jour comme si c'était hier et non il y a deux ans. Je venais de me prendre la tête avec Valentin car il avait réussi à lever une meuf que j'avais dans mon viseur depuis plus de 6 mois et pour évacuer ma rage je suis rentré au club. Mon oncle était en train de nettoyer sa bécane et quand je lui ai demandé de me la prêter pour faire un tour du terrain, il a refusé tout net. Mon meilleur pote, qui savait que j'allais faire une connerie m'avait suivi et pour se faire pardonner il a décidé de divertir tonton pendant que moi je me barrais avec la fameuse chérie de tonton. Mon grand-père qui était assis sur les escaliers du club a vu le coup arrivé et a chargé un prospect, aujourd'hui full patch, de me suivre et de les prévenir si je quittais la ville. Je n'avais pas rouler 10 minutes quand j'ai dû m'arrêter parce que le fameux prospect venait de me couper la route et vu que je n'étais pas calmé je lui ai balancé le casque dans la tronche et bien évidement quand nous sommes rentré au club, Valentin et Juliette étaient à genoux sur le gravier. La punition favorite de mon oncle quand nous faisions trop les cons. Quand Valentin a vu le sang j'ai à peine eu le temps de le rattraper alors que sa cousine était morte de rire face à la tête du prospect. Quelques mois plus tard le prospect est devenu enfoncers et a pris le nom de route de Blood en hommage à la première fois qu'il a saigné pour le club.

Je donne le départ à tout le monde, Juliette monte derrière moi tandis que son cousin monte dans la voiture de nos deux jumeaux qui ont arrêté de saigner. Direction, chacun chez sois, je pose Juju dans son allée et attend qu'elle passe la porte de sa maison avant de partir vers le parc ou m'attendent surement les deux ados d'un de mes oncles pour que l'on finissent la route ensemble comme tous les soirs depuis qu'ils ont débarqué dans notre vie il y a de cela 11 ans. Je place ma bécane sur sa béquille et j'ai à peine le temps de descendre que je me fais violemment percuter par mes deux têtes brunes, Josie et Cara.

_ Salut ma Jojo comment s'est passé ton exposé ?

_ De la merde. Tout le monde s'est foutu d' ma gueule car je me suis mangé le tableau au tout début et plus personne n'a écouté.

_ et ton prof n'a rien dit?

_ Les profs ne disent jamais rien pour nous soutenir, c'est ça d'être élevé par une bande de sauvages, de leurs armés jusqu'au dents et tueurs de masse. Me répond ma belle cynique.

_ Je suis désolé pour toi ma belle. Vraiment.

_ Je sais. T'inquiètes tous les commérages ne m'atteignent plus, ce qui me soule c'est que j'ai bossé un mois entier pour rien.

_ Et toi mon caramel d'amour ?

_ Moi, comme d'habitude, j'ai cassé quelques dents, remis en place des connards et mon prof qui m'a collé tous les samedis matins jusqu'à la fin de l'année.

_ Une journée ordinaire pour des bébé-bikers quoi. Je lui répond après l'avoir aidé à monter sur la moto du prospect qui lui aussi s'occupe de les ramener au QG tous les soirs. Je prends ma jolie cynique et la pose sur le devant de mon siège et direction le QG ou la régulière de Smart les attends pour leur donner leur goûter et les aider à commencer leur devoir, le temps que Jock finisse sa journée au garage.

Les filles amenées à bon port je vais dans ma tanière et la première chose que je fais est d'écrire à mon père pour qu'il pense à prendre des chocolats pour la régulière/ cuisinière du club pour son anniversaire, son homme l'aillant couvertes de fleurs toute la journée comme à chaque anniversaire, elle n'a pas besoin que nous le lui en offrant en plus. Elle en a tellement qu'elle pourrait ouvrir une étale au marché de demain et se faire un salaire mensuel en une journée, quand on dit qu'en amour on ne compte pas...

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