Un amour retrouvé. Tome II

Chapitre 15

Ignacio

Un mois plus tard.

Je cherche de la main la présence de Athéna qui de toute évidence est déjà debout, j'attrape mon téléphone et me redresse rapidement et quitte la chambre rapidement.

- Pourquoi, tu ne m'as pas réveillé petit cœur ?

Je m'arrête net en découvrant Athéna vêtu, d'une jupe tailleur noir et d'un chemisier blanc, cette simple tenu réveil tous mes sens alors qu'il y a deux minutes étaient endormis.

- Je pensais t'amener le café au lit pour ma première journée.

- Tout ira bien, petit cœur, je serai là avant la fin de tes cours.

Tout en la rassurent Je glisse mes paumes sous son chemisier et les remontent jusqu'à son soutien-gorge. Ses seins ronds remplissent mes paumes que je pétris entre deux caresse, ma bouche s'aventure dans son cou. Un désir accablant explose dans mes reins pour se propager à toute vitesse dans mes veines. Je n'ai plus qu'une envie, sentir son excitation ruisseler le long de mes phalanges. J'exerce une pression contre son abdomen pour l'attirer plus contre moi. Elle se cambre davantage et gémit lorsque mes doigts se replis autour de ses mamelons. Son corps réagit immédiatement et ondule tandis que l'une de mes mains roulent le long de son ventre. Elle gémit plus fort derrière ses paupières mi-closes lorsque je franchis l'élastique de sa jupe.

- Je vais t'aider à gérer ton stress ! Je lui chuchote d'une voix sensuel.

- Avec ta solution, pour commencer une bonne journée, je suppose ?

- Ta tout compris sauf que ce matin, c'est moi qui vais rendre ta journée bonne.

Mes doigts atteignent son point sensible, je procède à de douce caresse contre sa fente mouillée. Sa tête bascule sur mon épaule, me donnant feu vert. Je m'enfonce en elle un soupire alléchant s'échappe de ses lèvres. Ma langue trace le contours de sa clavicule que je mords, embrasse puis lèche avant de recommencer. Ses doigts s'agrippe au rebord, pendant qu'elle me supplie de continuer entre deux gémissement.

Je procède à de langoureux va et vient, mon cœur s'accélère sous sa moiteur même si nous n'avons plus besoin de préservatif, je ne me lasserai jamais de toucher Athéna comme au tout début de notre relation.

Son corps se détends au plus elle approche du point culminant. Mes yeux observent sa bouche entre ouverte qui dévoile le plaisir que je lui procure, ma queue collé contre ses fesses palpitent, je me retiens de ne pas remonter sa jupe pour la sentir autour de moi.

- Plu...Plus vite... M'ordonne-t-elle entre deux râle.

Ma bouche continue de la savourer, ma main sur son sein ne s'arrête pas de la palper quant à mes doigts, je les retirent. Elle soupire de déception,, mais je remplace rapidement se soupire par des cri aigue en frottant mes doigts à toute vitesse contre son clito. Sa tête bascule en avant, ses dents s'emparent de ses lèvres, ses phalanges blanchissent contre le marbre. Elle n'arrive plus à prononcer un seul mot, ses gémissements accélère mon excitation m'arrachant des grognements étouffés. Je ne suis plus très loin du précipice. Je sens son sein durcir sous ma paume, son corps se contracte déployant une avalanche de jouissance sur sa dentelle, mes doigts complètement trempé m'amène à l'explosion. Son dos se redresse pour s'écraser contre ma poitrine, je quitte son soutient gorge et coince son visage dévorant ses lèvres gonflés.

Je pourrais faire ça, chaque matin me laissant bercer par ses lamentations, par son corps qui se laisse guider par mes gestes, j'enfonce à nouveau mes doigts, plus loin, plus vite, lui arrachant une plainte. Ses ongles s'enfoncent dans mes cheveux, sa poitrine monte et descend à vive allure, la vue est juste incroyable, sous son chemisier.