L'argent.
Cette chose capable d'aider des vies, tout comme de les détruire.
Cette chose capable d'être une source de bonheur, tout comme elle peut-être source de malheur.
Cette chose pour qui l'homme est prêt à tout échangé, même son âme pour en acq...
- Alors là, Cette situation ne me fais pas rire du tout maître !!
- Ah bon? Moi je trouve ça très amusant plutôt.
- Très embarrassant oui!
Vous l'entendez rire sans savoir où il se trouve, ce qui vous fit soupirer de frustration et de gêne. Votre respiration était rapide et difficile, et le rouge colorait votre visage ( Couleur de peau ).
- Nous ne sommes que tous les deux, je ne vois pas en quoi cela puisse t'embarrasser.
- Ça ce voit non!?
- Humm, éclair moi plus.
Vous poussez un grognement de frustration.
- Le fait que je me trouve toute nue, piégé dans une de vos toiles à 10 mètres du sol! Comme un insecte qui serai tombé dans un piège tendu par une arachnide!
- Oh! Je vois à présent. C'est vrai que c'est marrant.
Vous soupirez, décidément il se foutait de votre gueule. Vous essayez de revenir en arrière, pour essayer de comprendre comment vous en étiez en arrivé là ?
........
Après avoir faussé compagnie à Asmodée et Fizz, une fois sur le navire Mammon avait décidé de plutôt se rendre dans la villa qui se trouve sur l'île privé car il trouvait que les cabines du navire bien que luxueuse, n'était pas vraiment adapté pour lui sous sa véritable forme.
En deux temps trois mouvements, vous vous étiez retrouvé dans la chambre que vous partagez tous les deux et dans laquelle il avait abusé de vous.... Cette vision n'avait pas manqué de réapparaître dès l'instant où votre regard s'était fixé sur le lit.
Une immense nausée avait menacé de traversé vos lèvres mais vous vous étiez retenu à temps. Mammon l'avait bien remarqué, ce qui lui avait donné cette idée. Au lieu de le faire sur le lit qui vous rappelais de mauvais souvenirs, par sa faute, pourquoi ne pas le faire ailleurs ?
Sur une table cela était trop basique et ennuyeux, c'est en réfléchissant la tête levé que l'idée de vous suspendre dans une de ses toiles lui est venu. Il ne l'avait jamais fait, c'était l'occasion idéale.
Il avait posé une main sur votre épaule, ce qui vous avait fait revenir à vous. Avant d'afficher un regard confus, en voyant la façon dont il vous regardait.
- Qu'es ce qu'il y'a ?
- Je sens bien que ce lit te rappelle.... Tu sais quoi. Et j'ai peut-être un autre endroit à te suggérer, seulement il faut que tu bois ça.
Il vous avait tendu un verre sorti de nulle part et après avoir longtemps hésité, vous l'avez bu et seulement quelques secondes après vous vous étiez évanoui, pour vous réveillez dans cette drôle de position aussi humiliante, terrifiante et grotesque soit-elle.
- Bon je vais rester combien temps comme ça ? C'est humiliant à la fin.....
- Moi je te trouve très belle ainsi.
Vous roulez des yeux.
- Et je peux savoir où vous êtes enfaite ? Je vous entends mais je ne vous vois nulle part.
En effet depuis que vous vous étiez réveillez suspendu au plafond, à part l'entendre vous n'avez pas pû le voir. Pourtant de la où vous êtes, vous aviez une vue sur l'ensemble de la pièce sans exception.
Pourtant, il n'était nulle part.
Une vibration sorte de vibration se fit sentir. Comme les cordes d'une guitare ou autres instruments, celles de la toile vibraient de façon répété. Mais vous ne pouviez tourner votre tête ni vers la gauche ni vers la droite. La toile vous collait à la peau et dans les cheveux aussi solidement que possible, afin que vous ne fassiez pas une chute mortelle.
- Maître ? Qu'es ce qui se passe ?
- Rien, à part être sur le point de savourer mon deuxième diner de ce soir~
Un frisson vous parcouru l'échine et au même instant il vous fit face. Abordant un grand sourire, ses huit yeux luisaient de désir et de malice. Pas besoin de réfléchir plus pour comprendre, qu'il était sous sa forme démoniaque.
Il vous vola un baisé avant de dire:
- Alors, prête à sentir de nouvelles sensations ?
- Es ce que j'ai vraiment le choix?
Il prit un air sérieux.
- Oui, tu as le choix. Un simple mot et je fais descendre de là sans broncher.
Votre impression se fut confuse.
Était-il sérieux ?
À voir som expression, cela semblait être vrai. Alors si vous lui dites ce mot, il vous laissera tranquille ?
Un simple non.
Pourtant....
- Non.
- Très bien.
Il s'apprêta à détacher vos mains, quand vous rajoutez:
- Je veux dire, je n'ai pas envie de renoncer. J'ai très envie de découvrir ces sensations...
Il vous regarda pour voir si vous étiez vraiment sûre, parceque à présent qu'il avait compris l'énigme votre consentement était sa priorité désormais.
- Vos désirs sont des ordres.
Puis il vous embrassa une seconde fois plus intensément, avant de descendre ses baisers plus bas jusqu'à atteindre votre fleur.
........À suivre........
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