Chapitre 8

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je n'ai pas vue le soleil depuis un moment, seule le froid me tiens compagnie et ne me quitte pas. Depuis que je suis ici, il ne m'a pas enlever une seule fois le bandeau qui est sur mes yeux, jamais. Je n'entends que sa voix et la sensation de ses mains sur ma peaux ne me quitte malheureusement jamais.

J'essaye à chacune de ses visites de tenir de ne pas me laisser submergé m'a la douleur de ses coups et la douleur de ses paroles mais cela deviens de plus en plus dure.

J'ai laissé tomber tous espoirs que le club puisse venir me sauver depuis un moment mais je garde espoir pour les garçons.

Je crois en eux , ils ont été là quand je me laisser tomber dans la peine n'ombres et ils m'ont promis d'être là pour moi.

Ils ne m'abandonneront pas, cela m'aide même si cela deviens de plus en plus compliqué.

La porte s'ouvre, seule ces pas se font entendre en premier temps puis je sens son souffle près de mon oreille.

Sa main se faufile sur la marque que j'ai au flan, il la caresse avec délicatesse et j'arrive à deviné la fierté sur son visage tandis que je n'ai qu'une envie c'est de crier de ne pas me touchée de s'éloigner de moi.

Mais si ses mots franchis la barrière de mes lèvres je ne veux pas imaginer la punition qu'il m'infligerait.

-Ma rose, aujourd'hui est un jour spécial. Lui qui contrôle habituellement sa voix laisse transparaître de l'excitation.

La boule qui ne quitte jamais mon estomac grossit me procurant des sueurs froides.

-Aujourd'hui je t'offre un cadeau mais tu pourras le découvrir quand nous reprendrons la partie.

Je comptes sur toi pour en être fière, ma rose.

Reprendre la partie...

Ce jeu dont je n'ai jamais donné mon accord, ses règles qui s'applique cas la victime.

Je rêve que la partie ce termine, sachant que je ne survivrais pas au tour final mais je ne quitterais pas ce monde sans faire plonger chacun de ses alliés et je terminerai avec lui l'emportant dans une mort aussi douloureuse que longue.

Je le sens s'éloigne mais son regard sur moi me brûle la peau, le bruit de la porte ainsi que le bruit d'un chariot m'alerte.

Personne d'autre n'était rentré dans cette pièce à part lui, pourtant je savais que nous n'étions pas les seules personnes à êtres dans ce lieu mais jusqu'à aujourd'hui il n'avait laissé aucun d'eux franchir ses portes.

Personnes ne parles cependant la personne au chariot se déplace comme si il préparait quelque chose, ces pas son plus lourd moins calculer que les siens.


Les heures qui suivent son douloureuse, pourtant aucune larmes et aucun sons ne sort, ils restent comme bloquer.

La sensation de l'aiguille sur tous mon corps, m'anesthésie de l'intérieur.

Il laisse une marque que je ne pourrais pas camoufler, cette  marque qui me rappellera à chaque seconde que je suis « sa rose », une marque me rappelant que je ne pourrais jamais gagner son jeu.


Il n'a prononcé aucun mot, me faisant douter de sa présence mais la brûlure que me procure ses yeux posé sur moi est encore là.

Mon cœur fini par ne plus le supporter, je m'évanoui sombrant dans le même cauchemar, le tout premier. Celui me ramenant à cette nuit ou le jeu avait commencé.

Back to hell   Où les histoires vivent. Découvrez maintenant